Cest un habituĂ© des planches de théùtre. Se battant contre un cancer du pancrĂ©as pendant deux ans, il dĂ©cĂšde en 2007. GROS PLAN . ElĂ©gance, humour, originalitĂ© : Chapeau melon et British Touch Canal+,ces sĂ©ries cultes anglaises qui se sont hissĂ©es au box-officeCe lundi, Canal+ diffuse Ă  22h45 le documentaire inĂ©dit d’Olivier Joyard sur les feuilletons cultes d’Outre-Manche. L’occasion de dresser notre Top 5 des films adaptĂ©s des sĂ©ries anglaises. Les meilleures sĂ©ries de nos enfancesEN FAMILLE - De Chapeau melon et bottes de cuir Ă  Amicalement vĂŽtre, notre sĂ©lection des feuilletons qui ont marquĂ© l’histoire de la tĂ©lĂ©vision. Honor Blackman, la Bond Girl aux cheveux d'or, est morte Ă  l'Ăąge de 94 ansDISPARITION - Avant d'ĂȘtre la terrible Pussy Galore de Goldfinger, l'actrice a accĂ©dĂ© Ă  la notoriĂ©tĂ© avec Chapeau melon et bottes de cuir en 1962. Elle est dĂ©cĂ©dĂ©e lundi de sa mort naturelle. Chapeau melon et bottes de cuir bientĂŽt de retour?SÉRIE - Shane Black, rĂ©alisateur de The Nice Guys et Iron Man 3, travaille sur un reboot de la sĂ©rie culte des annĂ©es 60. Les meilleures vieilles sĂ©ries en toutes lettres CRÉTRO, C’EST TROP - Chaque semaine, Jean-Christophe Buisson se souvient avec mĂ©lancolie des Trente Glorieuses tĂ©lĂ©visuelles 1950-1979. À bas les robots, rendez-nous les cybernautes de Chapeau melon et bottes de cuir!RÉTRO, C'EST TROP - Chaque semaine, Jean-Christophe Buisson se souvient avec mĂ©lancolie des Trente Glorieuses tĂ©lĂ©visuelles » 1950-1979. Chapeaux melons et bottes de cuir Ă  offrir pour NoĂ«lRÉTRO, C'EST TROP - Chaque semaine, Jean-Christophe Buisson se souvient avec mĂ©lancolie des Trente Glorieuses tĂ©lĂ©visuelles» 1950-1979. Les sĂ©ries de
 Bertrand BurgalatSTARS EN SÉRIESS - Chaque semaine, une personnalitĂ© nous fait partager sa passion pour les sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es, ses coups de cƓur, ses coups de griffe
 Chapeau melon et bottes de cuir et soudain surgit Diana Rigg!RÉTRO, C'EST TROP - Chaque semaine, Jean-Christophe Buisson se souvient avec mĂ©lancolie des Trente Glorieuses tĂ©lĂ©visuelles» 1950-1979. Patrick MacNee Chapeau melon et bottes de cuir est dĂ©cĂ©dĂ© Patrick MacNee Chapeau melon et bottes de cuir est dĂ©cĂ©dĂ© Patrick MacNee Chapeau melon et bottes de cuir est dĂ©cĂ©dĂ© Patrick MacNee Chapeau melon et bottes de cuir est dĂ©cĂ©dĂ© DĂ©cĂšs de Brian Clemens, scĂ©nariste de Chapeau melon et bottes de cuirDISPARITION - Il a su apporter un grain de folie surrĂ©aliste Ă  la cĂ©lĂšbre sĂ©rie britannique tout en crĂ©ant deux personnages mythiques John Steed et Emma Peel. Programme TV Chapeau melon et bottes de cuirJohn Steed et Emma Peel dĂ©poussiĂ©rĂ©s sur grand Ă©cran Chapeau melon et Bottes de cuir sur ArtePour les 50 ans de Chapeau melon et Bottes de cuir, Arte diffuse la cĂ©lĂšbre sĂ©rie d'espionnage britannique dans son intĂ©gralitĂ©, une premiĂšre en France ! Coup d'envoi lundi Ă  18h05 avec des Ă©pisodes d... Les plus belles voitures des sĂ©ries tĂ©lĂ©Du Mentalist Ă  Amicalement vĂŽtre, nos hĂ©ros en ont sous le capot ! Chapeaumelon. Tous les dimanches jusqu'en troisiĂšme, elle se glisse dans la chambre de ses parents pour regarder des rediffusions de la sĂ©rie anglaise sixties Chapeau melon et bottes de cuir
LE RETOUR DES CYBERNAUTESRETURN OF THE CYBERNAUTS Steed pulls some strings – Emma becomes a puppet Tournage TerminĂ© le 15 juin 1967 Diffusion ITV, 30 septembre 1967 – 1re chaĂźne ORTF, 15 juillet 1973 ScĂ©nario Philip Levene RĂ©alisation Robert Day Peter Cushing Paul Beresford, Frederick Jaeger Benson, Charles Tingwell Dr. Neville, Fulton Mackay Professor Chadwick, Roger Hammond Dr. Russell, Anthony Dutton Dr. Garnett, Noel Coleman Conroy, Aimi MacDonald Rosie, Redmond Phillips Hunt, Terry Richards Cybernaut. RĂ©sumĂ© Paul Beresford fait enlever les meilleurs scientifiques pour venger la mort de son frĂšre, feu le docteur Armstrong. L'Ă©limination des Avengers est programmĂ©e
 Épilogue Steed essaie de rĂ©parer le toaster de Mrs Peel. Les rĂ©sultats sont explosifs
 "That's the first thing Great-Britain's ever got into orbit!" [C'est la premiĂšre chose que la Grande-Bretagne envoie sur orbite !] CRITIQUES Denis Chauvet Avis Une suite n’égale jamais l’original. Bien qu’il y ait moins de suspense qu’à l’accoutumĂ©e, car nous connaissons le mĂ©chant et ses motivations trĂšs tĂŽt, cet Ă©pisode est un classique de la sĂ©rie et il repose essentiellement sur les nombreuses scĂšnes d’action. Paul Beresford est le meilleur mĂ©chant de la saison et sa façon de sĂ©duire Mrs Peel, au grand dam de son partenaire, est surprenante. À dĂ©faut d’humour, la jalousie de Steed est l’attrait des dialogues. Notez le prototype de la secrĂ©taire Ă  la voix dĂ©sagrĂ©able en VO au possible. Bien qu’infĂ©rieur Ă  l’original, Le retour des cybernautes est un trĂšs bon Ă©pisode oĂč Peter Cushing personnifie admirablement le vengeur ce n’est pas ceux qu’on croit cette fois-ci ! en jouant un "game of cat and mouse". Avec le recul nouvel avis, janvier 2012 Un Ă©pisode que j’avais sous-Ă©valuĂ© lors de l’élaboration de la fiche. De trois, je passe Ă  quatre melons, mĂȘme si je prĂ©fĂšre le premier volet de la quatriĂšme saison. Peter Cushing est grandiose et l’idĂ©e des cybernautes-marionnettes est une bonne trouvaille. Les commentaires de Cyd Child Ă©clairent de nombreuses scĂšnes, en particulier celle de la poursuite finale. Les seconds rĂŽles sont trĂšs bons et le rythme sans temps mort. Steed3003 26 dĂ©cembre 2006 Voici la seule et unique suite jamais donnĂ©e Ă  un Ă©pisode des Avengers. Les Cybernautes Ă©tait sans nul doute un des meilleurs segments de la 4e saison. La loi qui veut qu’une suite soit toujours infĂ©rieure Ă  l’original s’est-elle appliquĂ©e Ă  la sĂ©rie ? Malheureusement oui
 On retrouve Philip Levene au scĂ©nario. C’est lui-mĂȘme qui avait Ă©crit Les cybernautes, il semblait donc le choix le plus lĂ©gitime pour cette suite. Liant habilement cette suite Ă  l’original et multipliant les rĂ©fĂ©rences My turn !»/ Mon tour ! » dit Steed Ă  la fin de l’épisode pour terrasser le cybernaute de son index aprĂšs que Mrs Peel l’eut fait dans Les cybernautes, Philip Levene devrait de ce point de vue rĂ©galer les fans. Pourtant, l’intrigue en elle-mĂȘme manque fonciĂšrement d’originalitĂ© et n’égale pas le premier opus. Si Philip Levene rĂ©ussit Ă  trouver un nouvel angle d’approche pour la menace des cybernautes, tout semble avoir Ă©tĂ© vu et revu dans la sĂ©rie et maintes fois ailleurs. Beaucoup trop linĂ©aire, l’épisode bĂ©nĂ©ficie pourtant d’un des meilleurs mĂ©chants de la saison Paul Beresford. AnimĂ© par une vengeance personnelle envers les Avengers mais aussi par des sentiments pour Mrs Peel, il forme un personnage complexe et fascinant. C’est bien d’ailleurs en tirant sur la corde romantique avec un triangle amoureux Beresford-Peel-Steed que Philip Levene rĂ©ussit Ă  maintenir en haleine pour cet Ă©pisode. Cette rĂ©ussite ne nous fait pourtant pas oublier les nombreuses invraisemblances et zones d’ombre. Comment, par exemple, Beresford rĂ©ussit-il Ă  contrĂŽler Mrs Peel pour qu’elle arrive en voiture chez lui Ă  la fin de l’épisode ? Les dialogues manquent aussi beaucoup d’humour, ce qui est surprenant de la part de Levene. Le retour des cybernautes constitue par ailleurs une des histoires les plus adultes et les moins fantaisistes de la saison. Philip Levene a ici Ă©crit l’un de ses moins bons rĂ©cits. Contrairement Ă  Philip Levene, le metteur en scĂšne Robert Day effectue son meilleur travail pour la sĂ©rie. Il rĂ©ussit Ă  dynamiser un scĂ©nario plutĂŽt faiblard grĂące Ă  une rĂ©alisation nerveuse et alerte. Le retour des cybernautes n’a rien Ă  envier aux meilleurs films d’action de l’époque. Les scĂšnes d’attaque du cybernaute se rĂ©vĂšlent vĂ©ritablement impressionnantes, surtout au regard du budget de la sĂ©rie. Il profite aussi audacieusement des dĂ©cors, notamment Ă  travers l’appartement de Beresford qui symbolise la dualitĂ© du personnage. Au niveau de l’interprĂ©tation, Peter Cushing se rĂ©vĂšle ĂȘtre la meilleure guest star de la saison et nous livre ici une composition sans fausses notes. Soutenus par un acteur de tel talent, Patrick Macnee et Diana Rigg font eux aussi un travail formidable, tout en nuances. On remarquera Ă©galement le retour rĂ©ussi de Frederick Jaeger qui avait dĂ©jĂ  tenu le rĂŽle de Benson dans Les cybernautes. En bref, la mise en scĂšne tranche avec le reste de la saison et apporte Ă©normĂ©ment de rythme Ă  l’épisode. Steed s’inquiĂšte du rapprochement entre Mrs Peel et Paul Beresford mais ne souhaite pas trop le montrer Ă  sa partenaire. Quand celle-ci lui dit Steed, you’re jealous ! » [ Steed, vous ĂȘtes jaloux ! »], il lui rĂ©pond No, I wouldn’t say that Mrs Peel. Just thoughtful ! » [ Non, je ne dirai pas cela Mrs Peel. Juste prĂ©venant ! »]. Pour une fois, les tenues de Mrs Peel sont assez mitigĂ©es dans cet Ă©pisode. Si on saluera son ensemble noir et sa mini-jupe violette en premiĂšre partie d’épisode, on sera plus circonspect sur son emmapeeler vert criard en seconde partie. Le manoir de Beresford est un des meilleurs dĂ©cors de la saison, juxtaposant audacieusement une salle de contrĂŽle ultra moderne Ă  un salon plutĂŽt classique Ă  l’aide d’un miroir sans tain. TrĂšs jolie localisation aussi pour l’extĂ©rieur de son manoir. Le reste des dĂ©cors apparaĂźt Ă©trangement vide et moins soignĂ©. On retrouve avec plaisir l’excellent thĂšme musical des Cybernautes, mĂȘme si son utilisation rĂ©pĂ©tĂ©e peut lasser. EN BREF Une suite infĂ©rieure Ă  l’original, la faute Ă  un scĂ©nario nettement moins excitant. NĂ©anmoins, l’interprĂ©tation de Peter Cushing et une rĂ©alisation survitaminĂ©e nous permettent de passer un agrĂ©able moment. Estuaire44 15 Septembre 2013 On reprochera certes Ă  l'Ă©pisode le caractĂšre mensonger de son titre, car Levene nous rĂ©gale ici de tout autre chose qu'un simple retour ! Bien Ă  rebours Le retour des Cybernautes s'affirme comme un parangon de ce que devrait reprĂ©senter toute suite d'un premier opus une approche innovante apportant une indĂ©niable valeur ajoutĂ©e. La scĂšne d'ouverture Ă©tablit certes une jonction nĂ©cessaire avec le premier volet de la trilogie, retrouvant la scĂšne emblĂ©matique de l'attaque du Cybernaute. Mais l'amĂ©lioration se montre dĂ©jĂ  patente, grĂące aux angles de vue remarquablement suggestifs, dĂ©busquĂ©s par un Robert Day apportant une intensitĂ© nouvelle au passage. Tout au long du rĂ©cit, la mise en scĂšne, assistĂ©e par une parfaite musique, va d'ailleurs tirer le meilleur parti des proverbiaux dĂ©cors dĂ©serts de la sĂ©rie, notamment de superbes extĂ©rieurs. Le tout au prix d'un lĂ©ger manque de vraisemblance personne ne remarque jamais la progression du robot, mais qu'importe. Les plateaux sont Ă©galement judicieusement conçus, notamment l'Ă©lĂ©gante rĂ©sidence de Beresford, idĂ©al support de l'action grĂące Ă  une optimisation de l'inusable miroir sans tain. Surtout, dĂšs l'entrĂ©e dans le vif de sujet, l'Ă©pisode connaĂźt une totale rupture de ton en introduisant une si plaisante comĂ©die de mƓurs illustrant la jalousie de Steed, face Ă  la cour menĂ©e par un entreprenant et dĂ©licieusement suave Beresford auprĂšs d'une Mrs Peel que tout ceci amuse visiblement beaucoup. La tonalitĂ© de pure Science-fiction, souvent hĂ©las bien primitive, qui animait le premier volet se voit ainsi considĂ©rablement renouvelĂ©e et aĂ©rĂ©e par ce marivaudage lĂ©ger, mais Ă©galement brillant et incisif. Une nouvelle fois, Levene joue avec brio de l'ambigĂŒitĂ© de la relation unissant Steed Ă  Emma, tandis que Diana Rigg, et peut ĂȘtre davantage encore Patrick Macnee, apparaissent ravis de s'exprimer sur ce registre. Paul Beresford, certainement l'un des meilleurs et des plus machiavĂ©liques Diabolical Masterminds de cette cinquiĂšme saison, reprĂ©sente Ă  lui seul l'un des atouts maĂźtres du succĂšs de ce Retour des Cybernautes. Il se montre en effet particuliĂšrement enthousiasmant par son aspect de double nĂ©gatif de Steed, dont il partage tant de points communs, dont l'Ă©picurisme raffinĂ© mais aussi la ruse florentine. Son aspect dual de parfait homme du monde et d'esprit impitoyable habitĂ© par une inextinguible soif de vengeance se trouve parfaitement exprimĂ© par le grand Peter Cushing Ecrire un Beresford totalement diffĂ©rent du gĂ©nie scientifique visionnaire et dĂ©voyĂ© d'Armstrong s'avĂšre judicieux au plus haut point pour le renouvellement de la saga. L'acteur se trouve assurĂ©ment au faĂźte de son art, mais trouve aussi un personnage Ă  sa mesure. GrĂące au captivant personnage, Cushing accomplit une authentique prouesse de crĂ©ation, de plus parfaitement dans l'esprit Avengers et affranchie de son rĂŽle emblĂ©matique de la Hammer, Van Helsing. Tout le contraire de ce qu'a hĂ©las connu Christopher Lee, avec l'Ă©lĂ©mentaire et indigente redite de son Frankesntein, perpĂ©trĂ©e par InterfĂ©rences. AprĂšs un tel coup d'Ă©clat, on comprend sans peine que Cushing ait remis son retour jusqu'aux New Avengers, tandis que Lee, Ă©videmment restĂ© sur une criante insatisfaction, mettra un point d'honneur Ă  retrouver son camarade Macnee dĂšs la saison suivante. On pourra Ă©ventuellement reprocher Ă  Levene de broder sur le thĂšme archi usĂ© de la vengeance, auquel se greffent quelques clichĂ©s telle la rĂ©vĂ©lation finale du lien parental du mĂ©chant. Mais le succĂšs rencontrĂ© par cette formule illustre justement son inĂ©puisable ressort dramatique. Ce dernier est encore rĂ©cemment illustrĂ© par le succĂšs de The Dark Knight Rises et sa dĂ©couverte de l'identitĂ© d'une tortueuse Talia al Ghul, agrĂ©mentĂ©e de quelques cocasseries d'une malheureuse Cotillard totalement hors sujet. GrĂące Ă  Beresford, et au talent de Cushing, Levene donne merveilleusement corps Ă  cette vĂ©nĂ©rable tradition. Qu'importe par ailleurs quelques errements comme la montre agissant soudainement sur le savant, sans que le biorythme de celui-ci n'ait Ă©tĂ© captĂ©. Surtout le grand intĂ©rĂȘt de l'Ă©pisode repose sur sa réécriture des Cybernautes, la fusion avec l'humain apportant une prĂ©cieuse et troublante innovation au robot basique, destructeur immuable de portes et nuques. Celui demeure certes, apportant son lot de scĂšnes d'action, mais l'intĂ©rĂȘt se focalise bien sur l'impressionnante scĂšne finale et les tourments de la malheureuse Emma. Transformer cette icĂŽne de la libĂ©ration de la femme que compose Emma Peel en instrument servile des dĂ©sirs du mĂąle dominant constitue bien l'ultime diablerie de Beresford, dans un effet absolument vertigineux. Diana Rigg se montre une nouvelle fois admirable dans cette composition d'une Mrs Peel claquemurĂ©e dans sa souffrance, dans un captivant effet de miroir inversĂ© aux Cybermen du Docteur. Levene soigne le moindre dĂ©tail de son nouveau chef d'Ɠuvre, dĂ©veloppant parmi ses seconds rĂŽles une Ă©tude de caractĂšre plus fine que ce que propose de coutume la pĂ©riode en couleurs de la sĂ©rie. Le dĂ©gradĂ© des sentiments des scientifiques capturĂ©s, de la rĂ©volte immĂ©diate Ă  la soumission vĂ©nale, est joli observĂ©, de mĂȘme qu'interprĂ©tĂ© par d'excellents acteurs. On apprĂ©cie particuliĂšrement la crapulerie satisfaite et goguenarde de Chadwick, avec un rĂ©ellement succulent Fulton Mackay. La dĂ©lurĂ©e Rosie ouvre une sympathique fenĂȘtre sur le Swinging London des Sixties, dont elle incarne la mode et les intonations. Elle se montre juste assez pour divertir sans lasser. La prĂ©sence de Benson, de nouveau la cheville ouvriĂšre du GĂ©nie du Mal, apporte un amusant comique de rĂ©pĂ©tition, ainsi qu'une nouvelle sympathique composition de Frederick Jaeger. EN BREF Un grandiose Peter Cushing incarne un perfide et cruel alter ego de Steed, obsĂ©dĂ© par la vengeance, un captivant portrait. L'entrecroisement avec l'humain rend bien plus intĂ©ressant le concept de Cybernaute, grĂące Ă©galement Ă  une Ă©tonnante Diana Rigg. VIDÉO Steed jaloux du bĂ©guin de Mrs Peel pour Beresford ! INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES Tournage o La maison de Paul Beresford se trouve Ă  Woolmers Park, Letty Green. o La scĂšne du rapt du Dr Russell l’introduction a Ă©tĂ© tournĂ©e Ă  Denham dans le Buckinghamshire. o Le bĂątiment oĂč on voit le cybernaute poursuivre Neville se trouve Ă  Elstree. Il a Ă©tĂ© dĂ©truit depuis le tournage. o La tour qui marque quatre heures est celle de The International University Ă  Bushey introduction. o La Bentley de Steed poursuit la Lotus de Mrs Peel le long de Holmshill Lane prĂšs de Well End. ContinuitĂ© o Lors de la scĂšne d’introduction, le cybernaute pĂ©nĂštre chez le Dr Russell, la poignĂ©e de la porte est noire puis dorĂ©e. o Le sac de Mrs Peel n'a pas Ă©tĂ© oubliĂ© Ă  l'endroit oĂč il est retrouvĂ© le lendemain. o ProblĂšme de tenue vestimentaire encore ! Steed quitte l'appartement de Paul Beresford en costume gris et arrive chez l'avouĂ© en costume bleu foncĂ©. o La ceinture de Mrs Peel est diffĂ©remment attachĂ©e dans l'appartement de Steed puis chez Beresford scĂšne continue. o Toute la sĂ©quence de la poursuite fut tournĂ©e par les doublures, Cyd Child et Rocky Taylor. On le reconnaĂźt facilement car les gros plans montrant Patrick Macnee et Diana Rigg ont une couleur pĂąlotte et furent tournĂ©s en studio. Cyd Child explique que ses chaussures Ă©taient abimĂ©es Ă  cause de la conduite excessive. Here they the shoes are. That’s me’ dit-elle lorsque Mrs Peel marche de dos vers la Lotus. La scĂšne a dĂ» ĂȘtre tournĂ©e deux fois car les pneus de la voiture ont tellement crissĂ©s que les gens qui travaillaient dans les bureaux au bout de la rue se sont mis Ă  la fenĂȘtre. Le tournage se faisait la semaine et la circulation Ă©tait coupĂ©e. Source commentaires de Cyd Child dans l’édition Optimum. o Lors de l’enlĂšvement du Dr Russell introduction, le cybernaute se trouve dans l’encablure de la porte aprĂšs l’avoir dĂ©foncĂ©e. Il n’y a aucun dĂ©bris entre la porte et le tapis. Au plan suivant, le sol en est jonchĂ©. o Le docteur Neville a changĂ© de chaussures trĂšs rapidement lors de son enlĂšvement, il porte des chaussures marron dans sa voiture puis des noires lorsqu’il est transportĂ© par le cybernaute ! o Ce n’est pas Patrick Macnee qui conduit la Bentley Ă  l’arrivĂ©e chez Hunt, l’avouĂ©, mais Rocky Taylor. o Le panorama du bureau du Dr Garnett, lors de la rencontre entre Steed et Conroy, est un fake’, une peinture dĂ©jĂ  vue dans Le tigre cachĂ©. o Le cybernaute vient rechercher Garnett dans l’appartement de Steed. Cyd Child Brian Clemens avait demandĂ© si je pouvais aller jusqu’au canapĂ© dans la chute. En fait, je suis passĂ©e par-dessus et j’ai brisĂ© le verre du tableau avec mes pieds.’ Source commentaires de Cyd Child dans l’édition Optimum. o That was me’ dit Cyd Child. Le film Ă©tait parfois accĂ©lĂ©rĂ© pour qu’on ne puisse pas reconnaĂźtre la doublure. Source commentaires de Cyd Child dans l’édition Optimum. o La montre de Steed est censĂ©e ĂȘtre photographiĂ©e pour obtenir une copie exacte. NĂ©anmoins, la photo noir et blanc reproduit la montre Ă  l’envers et l’heure indiquĂ©e est diffĂ©rente. DĂ©tails o DeuxiĂšme fois dans cette saison qu'un extrait de l'Ă©pisode Les cybernautes est diffusĂ©. La premiĂšre fois c'Ă©tait dans l'Ă©pisode InterfĂ©rences. o Le buste en bronze de Mrs Peel ressemble Ă  un masque mortuaire ! o La Lotus explose la barriĂšre de la propriĂ©tĂ© de Beresford. On peut lire sur l’écriteau "Beresford Estate. Trespassers will be prosecuted." o À part l’extrait des Cybernautes de la saison 4 et les nombreuses rĂ©fĂ©rences au docteur Armstrong, il y a deux allusions plus discrĂštes au premier volet. Garnett dĂ©clare avoir dĂ©jĂ  rencontrĂ© Steed et Benson rĂ©pond "So did I" en se frottant la tĂȘte. [Moi aussi.]. Mrs Peel veut faire tomber le cybernaute avec un doigt ce qu’elle a dĂ©jĂ  fait Ă  la fin de l’original et Steed dit "My turn." [C’est mon tour.] o La robe d’étĂ© rose sexy que porte Mrs Peel Ă  la fin de l’épisode est surtout prĂ©sente dans Le tigre cachĂ©. o On peut voir chez Beresford une lampe en forme de cavalier. On l’a dĂ©jĂ  vue dans des Ă©pisodes de la saison 4 Les aigles et Avec vue imprenable. o AprĂšs l'envol du grille-pain, Steed s'exclame That's the first thing Great Britain's ever got into orbit !. Effectivement, aprĂšs les prĂ©misces de la dĂ©cennie prĂ©cĂ©dente, les annĂ©es 60 voient se dĂ©rouler la phase la plus active de la Course Ă  l'espace. Ses grands dĂ©fis premier homme dans l'espace, objectif Lune constituent une extension de la rivalitĂ© entre les deux super puissances. L'absence totale de la Grande Bretagne dans cette compĂ©tition, Ă  la remorque du programme amĂ©ricain, est commentĂ©e par les contemporains comme une illustration significative de l'abaissement de son statut. Un aspect d'autant plus sensible que la France du GĂ©nĂ©ral se montre bien davantage active en ce domaine. FondĂ© dĂšs dĂ©cembre 1961, le CNES Centre National d'Etudes Spatiales et le projet des "Pierres prĂ©cieuses" Ă©tablissent les fondements du futur programme spatial europĂ©en. Lors de la diffusion de l'Ă©pisode, la fusĂ©e Diamant A vient d'ĂȘtre lancĂ©e avec succĂšs 1965 et met en orbite le satellite AstĂ©rix 1. Il faudra attendre 1971 pour que la Grande-Bretagne mette elle-mĂȘme un satellite en orbite, avec Prospero X-3. o Steed Ă©voque l’expression Safety by numbers. Elle signifie qu’il est toujours plus sĂ»r de se rallier Ă  la majoritĂ©. Cette sagesse populaire est d’ailleurs confirmĂ©e par les Ă©tudes statistiques modernes. Safety by numbers la force du nombre, en français y dĂ©signe une corrĂ©lation communĂ©ment observĂ©e entre la diminution des risques et l’adĂ©quation du comportement Ă  celui du plus grand nombre. Ce la s’observe notamment en matiĂšre de circulation routiĂšre les automobiles heurtent moins les cyclistes au fur et Ă  mesure que ces derniers deviennent plus nombreux o Steed vante le LĂ©oville 28 de Beresford. Le ChĂąteau LĂ©oville Las Cases, l’un des meilleurs St Julien, est un des plus anciens grands crus du mĂ©doc, apprĂ©ciĂ© par les Anglais dĂšs le Moyen-Ăąge. Le lion hĂ©raldique anglais orne d’ailleurs toujours les bouteilles de ChĂąteau LĂ©oville. Lors de la scĂšne finale de L’aile ou la cuisse 1976, le critique gastronomique Duchemin interprĂ©tĂ© par Louis de FunĂšs, privĂ© de goĂ»t, parvient Ă  reconnaĂźtre un LĂ©oville Las Cases 1953 Ă  son apparence. 1953 est considĂ©rĂ© comme l’un des meilleurs millĂ©simes de ce vin particuliĂšrement complexe, encore supĂ©rieur au trĂšs apprĂ©ciĂ© 1928. o A Loaf of Bread-and Thou, dĂ©clare Steed quand Beresford s’excuse de ne pas avoir d’informations concernant Armstrong et propose Ă  la place une bouteille de bon vin. Il s’agit d’une citation du plus fameux des Quatrains Ă©crits par le poĂšte et mathĂ©maticien persan Omar Khayyam 1048-1131. Sybarite raffinĂ©, Omar Khayyam fait souvent l’éloge du vin et des plaisirs terrestres dans ses Ɠuvres S'il existait un enfer pour les amoureux et les buveurs, le Paradis serait dĂ©sert.. A Book of Verses underneath the Bough, A Jug of Wine, a Loaf of Bread-and Thou Beside me singing in the Wilderness— Oh, Wilderness were Paradise enow ! Un Livre de Vers sous les branches, Une cruche de vin, un peu de pain, et toi, Chantant prĂšs de moi dans la solitude sauvage, Oh, cette solitude serait pour moi un paradis ! o Merely on advance on the pacemaker, fanfaronne Chadwick auprĂšs de Beresford. Lors de la diffusion de l’épisode le pacemaker est encore une rĂ©cente innovation technologique. Les premiers modĂšles rĂ©alisĂ©s au cours des annĂ©es 50 demeurent externes au corps et extrĂȘmement incapacitants pour les patients, voire comportant des risques d’électrocution. Les installations in corpore de modĂšles rĂ©duits ne surviennent qu’au dĂ©but des annĂ©es 60, grĂące aux progrĂšs de la miniaturisation des transistors. Les pacemakers ne se gĂ©nĂ©raliseront toutefois que durant les annĂ©es 70, avce la mise au point de piles longue durĂ©e en lithium. Acteurs - Actrices o Peter Cushing 1913-1994 fut attirĂ© trĂšs jeune par la comĂ©die et il Ă©migra aux États-Unis pour faire ses dĂ©buts Ă  Hollywood dans L'homme au masque de fer en 1939. Il retourna en Angleterre pendant la seconde guerre mondiale et participa aux efforts de guerre de son pays. En 1948, il apparaĂźt pour la premiĂšre fois en Grande-Bretagne dans Hamlet aux cĂŽtĂ©s de Laurence Olivier. Il devient un familier de la tĂ©lĂ©vision britannique avant de travailler pour la Hammer Ă  la fin des annĂ©es 50 qui le rendit mondialement cĂ©lĂšbre. Ses premiers rĂŽles Ă  la Hammer sont devenus "cultes" Dr Frankenstein dans Frankenstein s'est Ă©chappĂ©, Van Helsing dans Dracula et Sherlock Holmes dans Le chien des Baskerville. Les deux premiers rĂŽles vont le poursuivre pendant plus de deux dĂ©cennies dans divers films d'horreur de la Hammer. MalgrĂ© la fermeture des studios de production, il continua Ă  tourner dans des films du mĂȘme genre jusqu'au milieu des annĂ©es 70. Il Ă©tait un grand ami d'un autre "spĂ©cialiste" du film d'horreur, Christopher Lee. Une participation remarquĂ©e Ă  La guerre des Ă©toiles en 1977 l'a fait sortir de ce registre. Il arrĂȘta de tourner vers le milieu des annĂ©es 80 pour se consacrer Ă  deux autobiographies dont The Gentle Man of Horror ainsi qu'Ă  la peinture et aux oiseaux. Il fut nommĂ© Officer of the British Empire en 1989 et s'Ă©teignit d'un cancer de la prostate en 1994. Il est le sinistre von Claus du Repaire de l'aigle des New Avengers. o Frederick Jaeger 1928-2004 a participĂ© Ă  trois autres Ă©pisodes de la sĂ©rie Mort d'un grand danois, saison 2, Les cybernautes, saison 4, et Cible des New Avengers. Il tient dĂ©jĂ  le rĂŽle de Benson dans Les cybernautes de la saison 4. Jaeger est nĂ© Ă  Berlin et il Ă©tudia en France et en Allemagne avant d'Ă©migrer en Angleterre en 1939. Il commença Ă  faire du théùtre en 1949, de la tĂ©lĂ©vision en 1955 et du cinĂ©ma en 1956. Il est apparu dans de nombreuses sĂ©ries comme DĂ©partement S, Paul Temple, Amicalement vĂŽtre, Poigne de fer et sĂ©duction, Regan, Le retour du Saint, Les professionnels
 Il est dĂ©cĂ©dĂ© en Espagne. o Anthony Dutton a participĂ© Ă  Miroirs de la saison 6 mais Ă©galement Ă  DĂ©partement S, Paul Temple, Mission casse-cou, Bergerac. o Fulton Mackay 1922-1987 a participĂ© Ă  deux Ă©pisodes de la saison 6 À vos souhaits et Bizarre. Également dans Le Saint, Dr Who, Paul Temple mais c'est son rĂŽle de gardien de prison dans le sitcom Porridge qui reste dans les mĂ©moires en Grande-Bretagne. o Aimi MacDonald 1942 est une actrice Ă©cossaise qui fut trĂšs populaire dans les annĂ©es 60 et 70 dans des comĂ©dies et Ă©missions de variĂ©tĂ©. Elle a jouĂ© Ă  la TV dans Vendetta pour le Saint, tĂ©lĂ©film et Ă©pisode en deux parties de la saison 6. À noter que
 o Pour l'Ă©dition Optimum sortie en 2010 au Royaume-Uni, un commentaire audio de cet Ă©pisode a Ă©tĂ© fait avec Cyd Child, doublure. o L’image est superbement restaurĂ©e sur la collection Optimum, ce qui n’empĂȘche pas de voir que l’écran Ă©tait truffĂ© de saletĂ©s lorsque l’action se fige sur le titre de l’épisode. De plus, c’est assez rare d’avoir une image fixe pour le titre dans les Avengers plutĂŽt vu pour les New Avengers. o Une sorte de rĂ©fĂ©rence Ă  Two’s a Crowd Un Steed de trop. Steed dit Ă  Mrs. Peel There’s an old saying three is a crowd; there’s equally an old saying safety in numbers.’ o DeuxiĂšme Ă©pisode de la saga des Cybernautes. On retrouve Frederick Jaeger dans le rĂŽle de Benson, c'est le seul personnage rĂ©current de la sĂ©rie avec Brodny Un Steed de trop et L'homme transparent. Les cybernautes reviendront une troisiĂšme fois dans les New Avengers Le dernier des cybernautes. o L’image n’est pas de bonne qualitĂ©, loin s’en faut griffures, tĂąches. On le remarque dĂšs la scĂšne d’introduction. Il y a Ă©galement quelques craquements prononcĂ©s au niveau du son particuliĂšrement dĂ©sagrĂ©ables DVD kiosque. o Sur certains sites anglo-saxons, cet Ă©pisode est le premier de la saison... 6 ! Les huit derniers Ă©pisodes de la saison couleur Emma Peel furent tournĂ©s aprĂšs une pause et sont parfois considĂ©rĂ©s comme une saison Ă  part entiĂšre. o Erreur sur la jaquette du DVD kiosque le rĂ©alisateur est non pas Sidney Hayers comme indiquĂ© mais bien Robert Day. o Intro de Patrick Macnee Cette sĂ©rie Ă©tait fascinante car nous innovions Ă  la tĂ©lĂ©vision bien avant tout le monde. Dans cet Ă©pisode, Steed et Emma rencontrent des robots tĂ©lĂ©guidĂ©s. Les scĂ©naristes Ă©taient toujours Ă  la pointe de la technologie. Dans un Ă©pisode prĂ©cĂ©dent, on voyait pour la premiĂšre fois Ă  la tĂ©lĂ©vision un rĂ©pondeur. » source DVD 5 de la collection Optimum, Granada Plus Points o Commentaire de Laurie Johnson, compositeur sur la sĂ©rie Je n’avais travaillĂ© que sur des longs mĂ©trages. Ce qui Ă©tait fabuleux avec Chapeau melon, c’est que j’ai pu traiter chaque Ă©pisode comme un long mĂ©trage, grĂące Ă  ses personnages bizarres et ses ambiances diffĂ©rentes. Tous les Ă©pisodes Ă©taient singuliers. De ce point de vue, la sĂ©rie Ă©tait unique. » source DVD 5 de la collection Optimum, Granada Plus Points o Coupures de presse lors de la 1e diffusion française. TĂ©lĂ© 7 Jours Fiche du Retour des cybernautes des sites Ă©trangers En anglais flamand En italien espagnol

Chapeaumelon et bottes de cuir: La Jaguar XJC Broadspeed de John Steed En 1976, la BBC lance une nouvelle série de Chapeau melon et bottes de cuir, dans laquelle

PubliĂ© le 26/06/2015 Ă  1319, Mis Ă  jour le 20/07/2015 Ă  0912 Patrick Macnee dans le faux documentaire Spinal Tap 1984 DR Au cinĂ©ma, l'immortel interprĂšte de John Steed dans Chapeau melon et bottes de cuir cĂŽtoya James Bond, fut le propriĂ©taire d'un label de hard rock et dirigea une secte de loups-garous... Patrick Macnee, dĂ©cĂ©dĂ© le 25 juin Ă  l'Ăąge de 93 ans, ne fut pas que John Steed. AprĂšs Chapeau melon et bottes de cuir, l'acteur mena une petite carriĂšre au cinĂ©ma, apparaissant au second plan dans une poignĂ©e de films mĂ©morables des annĂ©es 1980 Hurlements de Joe Dante, Spinal Tap de Rob Reiner, Dangereusement vĂŽtre de John Glen ...Avant de diriger une secte de loups-garous, d'ĂȘtre le propriĂ©taire d'un label de hard-rock et de cĂŽtoyer James Bond, Patrick Macnee multiplia les figurations. Il apparait ainsi briĂšvement en 1943 dans Colonel Blimp de Michael Powell et Emeric Pressburger, puis dans Hamlet de Laurence Olivier en 1948. Pour Gene Kelly, il devient avocat Les Girls, 1957. Entre-temps, l'acteur a retrouvĂ© Powell & Pressburger en 1956 pour La Bataille du Rio de la Plata, Ă©vocation d'un Ă©pisode de la Seconde Guerre mondiale. Les rĂŽles deviennent de plus en plus consistants. On peut apercevoir Macnee dans cet extrait du long-mĂ©trage de Powell et PressburgerOccupĂ© entre 1961 et 1969 par Chapeau melon et bottes de cuir, puis en 1976-1977 par sa suite The New Avengers, Patrick Macnee rĂ©apparait progressivement au cinĂ©ma Ă  l'orĂ©e des annĂ©es 1980. C'est Ă  cette Ă©poque qu'il incarne certains de ses rĂŽles les plus marquants. En 1981, Joe Dante lui confie celui du docteur George Waggner. Un rĂŽle aux antipodes du flegmatique John Steed le centre de soin du thĂ©rapeute, La Colonie», est en rĂ©alitĂ© un repaire de loups-garous pouvant se mĂ©tamorphoser Ă  volontĂ© sans pleine Lune...Sans transition, Patrick Macnee passe de l'univers des loup-garous Ă  celui du hard rock. Dans Spinal Tap, pastiche des documentaires rock rĂ©alisĂ© par Rob Reiner, l'acteur incarne Sir Denis Eton-Hogg, PDG du label de Spinal Tap, le groupe de hard rock fictif composĂ© de Michael McKean, Christopher Guest et Harry 1985, John Steed rencontre enfin James Bond dans Dangereusement vĂŽtre. Patrick Macnee est Sir Godfrey Tibbett, expert du cheval et agent du MI-6, dĂ©signĂ© par M pour assister 007 dans une mission Ă  haut-risque Ă  Paris. La rencontre est loin d'ĂȘtre anodine au fil de ses six saisons, la sĂ©rie Chapeau melon et bottes de cuir multiplia les rĂ©fĂ©rences Ă  James Bond. Roger Moore et Patrick Macnee s'Ă©taient dĂ©jĂ  Ă©changĂ©s la rĂ©plique dans les tĂ©lĂ©films Sherlock Holmes Ă  New York 1976 et Le Commando de sa MajestĂ© 1980.Le reste de sa filmographie comporte moins de pĂ©pites. Il commet quelques parodies de films d'horreur Waxwork 1988, L'Homme homard venu de Mars 1989 avec Tony Curtis ... Avant de tirer sa rĂ©vĂ©rence, il a toutefois prĂȘtĂ© sa voix Ă  l'adaptation cinĂ©matographique de Chapeau melon et bottes de cuir, avec Uma Thurman, Ralph Fiennes et Sean Connery. Sousla rubrique Chapeau-Melon-Bottes-De-Cuir Ă  Westmount QC, des Pages Jaunes, dĂ©couvrez et comparez rapidement les informations et les coordonnĂ©es des entreprises locales qui s'y trouvent. 25/06/2015 Ă  2134, Mis Ă  jour le 25/06/2015 Ă  2153 L'acteur britannique Patrick Macnee, star de la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e "Chapeau melon et bottes de cuir", est dĂ©cĂ©dĂ© jeudi. Il incarnait l'inoubliable agent secret John Steed. L'acteur britannique Patrick Macnee, star de la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e "Chapeau melon et bottes de cuir ", est dĂ©cĂ©dĂ© jeudi Ă  93 ans Ă  son domicile de Rancho Mirage en Californie ouest des Etats-Unis, d'aprĂšs un communiquĂ© sur son site Patrick Macnee avait acquis une renommĂ©e internationale grĂące au rĂŽle du flegmatique et Ă©lĂ©gant agent secret John Steed dans cette sĂ©rie culte des annĂ©es 60, aux cĂŽtĂ©s notamment de Emma Peel incarnĂ©e par Diana Rigg puis de Joanna Lumley qui jouait Purdey. Il Ă©tait aussi apparu dans d'autres sĂ©ries Ă  succĂšs comme "Magnum", "Pour l'amour du risque" ou "Frazier". La suite aprĂšs cette publicitĂ© Toujours sur fond d'espionnage, de fantaisie et d'enquĂȘtes policiĂšres, la sĂ©rie se centrait sur le trio formĂ© par l'agent John Steed toujours interprĂ©tĂ© par Patrick Macnee et de ses complices l'intrĂ©pide Purdey Joanna Lumley et le fringant Mike Gambit Gareth Hunt. ChapeauMelon et Bottes de Cuir. 171 likes. Groupe d'animation musicale
Ces sĂ©ries ont marquĂ© le petit Ă©cran, mais vous souvenez-vous de la fin ? Cette semaine "Chapeau melon et bottes de cuir". 4. ... et son parapluie + © DR Saison 2 - Ă©pisode 13 "Emily" Pour ce dernier Ă©pisode de Chapeau melon et bottes de cuir, les agents secrets anglais sont au Canada. Steed, depuis la reprise du show, qui s'Ă©tait interrompu entre 1969 et 1976, a pour acolytes Gambit et Purdey. Quand l'Ă©pisode commence, Purdey prend la fuite aprĂšs que sa mission d'infiltration pour retrouver l'identitĂ© d'un agent double appelĂ© le "Renard" a Ă©chouĂ©. Lorsqu'elle arrive enfin Ă  rejoindre le quartier gĂ©nĂ©ral, elle donne des informations qui permettent Ă  l'Ă©quipe d'organiser une filature de l'agent de liaison du Renard. Cette filature se termine dans un garage oĂč Steed et le Renard se battent. Le Renard parvint Ă  s'Ă©chapper, mais laisse une empreinte de sa main sur le toit d'une voiture, appelĂ©e "Emily". Steed met malheureusement du temps Ă  se souvenir de ce dĂ©tail, et lorsqu'ils reviennent au garage, la voiture a disparu, rĂ©cupĂ©rĂ©e par sa propriĂ©taire, l'honorable et trĂšs ĂągĂ©e Miss Daly. Lorsqu'ils retrouvent enfin la vieille dame, la voiture est prĂȘte Ă  passer sous les rouleaux du lavage automatique. Afin de protĂ©ger l'empreinte, Purdey se lance sur le toit du vĂ©hicule sans hĂ©siter, tandis que le lavage automatique continue. Road Trip Mission accomplie pour Purdey. Il lui faut maintenant ramener la voiture dans les locaux des services secrets. John Steed utilise son cĂ©lĂšbre chapeau melon, qu'il scotche sur le toit d'Emily pour protĂ©ger ce prĂ©cieux indice. S'ensuit une course poursuite entre les agents secrets, les hommes de main du Renard et la police. Mais le chapeau melon attire vite l'attention. Steed accepte donc de sacrifier son chapeau et de l'Ă©changer contre un chapeau de cowboy afin de dĂ©tourner l'attention de leurs poursuivants. Emily n'est pas de premiĂšre jeunesse et Steed et son Ă©quipe doivent faire face Ă  divers problĂšmes techniques, qu'ils pallient grĂące Ă  des Ɠufs frais ou encore de l'alcool. Alors qu'ils sont tout prĂšs du but, la voiture tombe dĂ©finitivement en panne, au moment oĂč le Renard les retrouve. Il vise le vĂ©hicule avec un lance grenade et parvient Ă  la toucher. Pour sauver l'indice, Gambit et Steed se relaient pour dĂ©couper la partie du toit concernĂ©e, mais ils prennent trop de temps et la voiture explose. Un seul morceau est intact la partie du toit oĂč se trouve l'indice, qui leur permet de confondre le Renard, alias Douglas Collins, un agent de liaisons entre les services secrets anglais et canadien. Nos trois agents ramĂšnent le peu qui reste de la voiture Ă  Madame Daly, avec un bouquet de fleurs. Elle offre une rose Ă  John Steed, qui l'Ă©pingle Ă  son veston. C'est sur cette image en clin d'Ɠil les gĂ©nĂ©riques de la premiĂšre sĂ©rie montraient Emma Peel et John Steed avec une rose que se termine la sĂ©rie et que l'on quitte les personnages. On les retrouvera au cinĂ©ma, plus de 20 ans aprĂšs, en 1998, avec Ralph Fiennes et Uma Thurman. Le gĂ©nĂ©rique de Chapeau melon et bottes de cuir de 1976
72idĂ©es de Chapeau melon et bottes de cuirs | chapeaux melon, chapeau, bottes chapeau melon et bottes de cuirs 70 Épingles 3 ans V Collection de ValĂ©rie Gatteau IdĂ©es similaires EMILYEMILY Tournage aoĂ»t 1977 Diffusion ITV, 1er decembre 1977 – TF1, 24 aout 1979 ScĂ©nario Dennis Spooner RĂ©alisation Don Thompson Les Carison Collins, Richard Davidson Phillips, Lane Mallett Miss Daly, Peter Torokvei Kalenkov, Peter Arkroyd Mirschita, Brian Petchy Reddington, Don Corbett Alkoff, Don Legros Mechanic, Sandy Crawley First policeman, John Kerr Second policeman, Pat Patterson Third policeman, Bill Ballentine Fourth policeman. RĂ©sumĂ© Un agent double laisse l'empreinte de sa main sur une vieille automobile. Steed et ses partenaires devront Ă©viter de nombreuses embĂ»ches pour sauvegarder cette preuve irrĂ©futable. Fin de l'Ă©pisode Steed reçoit une rose rouge de Miss Daly et il la met Ă  sa veste. C'est un clin d'oeil au gĂ©nĂ©rique de la saison 6 avec Tara King. CRITIQUES Denis Chauvet Avis Le nanar de la sĂ©rie et c’est un vĂ©ritable scandale qu’une telle nullitĂ© puisse conclure ce chef d’Ɠuvre tĂ©lĂ©visuel ! Trois scĂšnes se laissent regarder la poursuite de l’introduction, le lavomatique et le poulailler. Cinq minutes et le reste, rythmĂ© par une musique Ă©pouvantable, est Ă  zapper. Les Canadiens se sont appropriĂ©s la sĂ©rie et on peut se rĂ©jouir que l’affront s’arrĂȘte lĂ  ! Les quelques rĂ©pliques de Miss Daly, l’excentrique de l’épisode, ne peuvent pas faire oublier la poursuite ridicule Ă  travers le Canada. Redonnez-nous le fog londonien ! Avec le recul nouvel avis, aoĂ»t 2012 Avec cet opus, je clos ma rediffusion des 109 Ă©pisodes Avengers/New Avengers entamĂ©e en janvier 2011. J’aurais prĂ©fĂ©rĂ© une ressortie Optimum pour les New Avengers, mais j’espĂšre qu’elle viendra et qu’elle sera le prĂ©texte d’une autre mise Ă  jour des fiches grĂące Ă  une image plus correcte, et cela sera l’occasion aussi de continuer l’inventaire de la garde-robe de Purdey, effectuĂ© seulement pour les Ă©pisodes hors Royaume-Uni. Emily est justement critiquĂ© pour la principale raison que la sĂ©rie se termine sur une mauvaise impression. Sinon, il faut ĂȘtre juste l’épisode n’est pas le plus mauvais des New Avengers. Les vingt premiĂšres minutes peuvent mĂȘme laisser prĂ©sager une sortie honorable j’écrivais cinq minutes Ă  l’époque !. La sĂ©quence prĂ©gĂ©nĂ©rique est excellente, puis la filature, le rendez-vous au lac et The Fox’ en skis nautiques sont de bons moments. La poursuite en voiture montre une doublure de Patrick Macnee trop apparente, mais on l’oublie avec le passage du lavomatique qui est le clou de l’aventure. AprĂšs, il ne se passe rien d’intĂ©ressant pendant une demi-heure interminable. La promenade de notre trio dans la Plymouth marron dans les champs canadiens au rythme de la musique country n’a absolument rien d’Avengeresque. Les passages des Ɠufs ramassĂ©s au poulailler par Steed et du combat de Gambit avec le molosse meublent bien maladroitement un Ă©pisode sans intrigue, qui se termine Ă  coups de mortier ! Il fallait mieux en rester lĂ  plutĂŽt que de poursuivre le massacre canadien ! Steed 3003 Critique Ă  venir ! Estuaire44 7 juillet 2015 On comprend que l’opus soit quasi unanimement dĂ©criĂ© par les amateurs de Chapeau Melon et Bottes de Cuir / le scĂ©nario se limite pour l’essentiel Ă  une course poursuite mollement filmĂ©e et pauvre en action, illustrant plus que jamais le tarissement de l’imagination de Clemens. La nouvelle sĂ©rie s’achĂšve su un Ă©niĂšme traĂźtre/agent double, figure qu’elle aura vraiment exploitĂ© en surabondance. D’abord amusant, le gag du chapeau devient irritant Ă  force de rĂ©itĂ©rations. DĂ©cidĂ©ment les New Avengers auront payĂ© au prix fort le fait de n’avoir que deux scĂ©naristes en tout et pour tout, de plus moins investis dans son ultime ligne droite. Demeurent toutefois quelques scĂšnes amusantes, comme le shampoing trĂšs spĂ©cial de Purdey ou bien encore les apparitions de la sympathique vieille dame. Si la mise en scĂšne ne se montre pas particuliĂšrement inventive, l’épisode n’en contient pas moins les plus jolis plans du Down Town Toronto et des forĂȘts environnantes que nous ont proposĂ© les Ă©pisodes canadiens, mĂȘme si l’on prĂ©fĂšre les paysages de la Colombie britannique. Le dĂ©filĂ© de voitures de l’époque plaira aux amateurs des quatre roues, il en ira pareillement pour la valeureuse Emily, au cruel destin. On apprĂ©cie tout particuliĂšrement que les New Avengers vivent ensemble leur ultime aventure, le charme du trio et le professionnalisme des interprĂštes permettant Ă  l’épisode d’échapper au nĂ©ant. L’ultime image rend un Ă©mouvant hommage Ă  Patrick Macnee, auquel on pense Ă©videmment tout particuliĂšrement suite Ă  sa disparition en juin 2015. Merci Ă  lui pour avoir campĂ© un personnage aussi immortel que John Steed, en dĂ©finitive le moteur principal et l’ñme mĂȘme de cette sĂ©rie exceptionnelle. EN BREF Avec sa tonalitĂ© country, ses automobiles, ses bagarres bon enfant et ses policiers ridicules, Emily rĂ©sulte plus proche de ShĂ©rif, fais-moi peur que de Chapeau Melon ! Heureusement les New Avengers sont une ultime fois au rendez-vous. EXTRAIT VIDÉO Combat pour un alambic A PARTAGER! NEW AVENGERS SAISON 2 - LES SÉQUENCES CULTES - Emily - Combat pour un alambicConsultez la fiche complĂšte de Emily sur Le Monde des Avengers Ă  la discussion autour de l'Ă©pisode sur notre forum Posted by Le Monde des Avengers on Sunday, September 27, 2015 INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES Tournage Les lieux de tournage des Ă©pisodes canadiens sont Ă  Toronto et aux alentours. Voici les principaux grĂące au site Avengerland. o La scĂšne d’introduction a Ă©tĂ© tournĂ©e au CNE – Canadian National Exhibition. La plupart des bĂątiments ont changĂ© ou ont Ă©tĂ© dĂ©molis Ă  gauche. La poursuite fut Ă©galement filmĂ©e au centre ville de Toronto, aux abords de la Royal Bank Plaza Ă  droite. o Steed et Gambit prennent l'agent en filature Ă  Lakeshore Boulevard West et Burlington Street photo puis ils arrivent sur Bay Street devant le nouvel hĂŽtel de ville et Queens Quay West. o La scĂšne de ski nautique fut tournĂ©e Ă  Humber Bay Park, Mimico. o Dans la scĂšne finale, la 'nouvelle' Emily se trouve devant Woodbridge Library. ContinuitĂ© o Joanna Lumley se rappelle encore du tournage au car-wash voir 'Ă  noter que...' mais il est possible qu'elle n'ait pas tournĂ© toute la sĂ©quence. Sur deux plans, la tĂȘte de l'actrice est tournĂ©e de l'autre cotĂ© de la camĂ©ra et sur un des deux, Purdey ramĂšne ses cheveux plein de mousse avec sa main droite et la main gauche, appuyĂ©e sur la voiture, n'a pas la chevaliĂšre Ă  l'auriculaire contrairement au reste de la scĂšne. o Il est Ă©vident que Patrick Macnee est doublĂ© lors de la poursuite de la voiture du Renard. DĂ©tails o La musique de la poursuite de la scĂšne prĂ©gĂ©nĂ©rique est celle du Baiser de Purdey a trois tenues diffĂ©rentes, quatre si on compte le dĂ©guisement en femme de mĂ©nage. Toutes plus insignifiantes ou horribles les unes que les autres ; c’est Ă  croire que les producteurs canadiens ont fait les marchĂ©s Ă  la derniĂšre minute. La premiĂšre tenue, portĂ©e lors de la poursuite d’introduction et au dĂ©briefing, est une robe Ă  fleurs de grand-mĂšre dans les tons gris avec bottes assorties et un foulard rouge. La tenue principale est constituĂ©e d’un pull beige, d’une Ă©charpe marron, d’une jupe Ă©cossaise Ă  carreaux marron et de bottes assorties, ce qui n’a rien d’existant mĂȘme lorsque le lavomatique a tout rĂ©trĂ©ci. La derniĂšre tenue, celle de l’épilogue, ne rehausse pas l’ensemble avec une chemise Ă  carreaux noirs et blancs et un petit gilet marron clair assorti Ă  une longue jupe. Pour un Ă©pisode tournĂ© en aoĂ»t, on aurait pu s’attendre Ă  quelque chose de plus lĂ©ger et on se demande oĂč sont passĂ©s les porte-jarretelles des photos promotionnelles proposĂ©es Ă  la presse ! o La belle Emily est une Plymouth Deluxe de 1941. Les Plymouth furent commercialisĂ©es par Chrysler de 1928 Ă  2001, mais demeurent avant tout un symbole de l’automobile amĂ©ricaine des classes moyennes, durant les annĂ©es 40 Ă  60. Bon marchĂ© et solide, elle accompagna le rebond de l’industrie automobile aprĂšs la grande dĂ©pression et lors de la reconversion d’aprĂšs guerre. En 1941 Plymouth connaĂźt une forte popularitĂ©, ses ventes dĂ©passent alors celles de Ford. Acteurs o Jane Mallett 1899-1984 n’a fait que quinze apparitions au cinĂ©ma et Ă  la TV entre 1952 et 1981. o John Kerr 1931 dĂ©buta sa carriĂšre sur les planches en 1952 dans Bernardine puis Tea And Sympathy l’annĂ©e suivante qui fit sa renommĂ©. Il reprit le rĂŽle au cinĂ©ma mais aprĂšs des dĂ©buts prometteurs, il retomba dans l’anonymat et il se contenta de nombreux rĂŽles dans des sĂ©ries TV. A partir de 1977, aprĂšs ce petit rĂŽle dans Emily, il se consacra surtout Ă  sa carriĂšre d’avocat. A noter que... o C’est dĂ©finitivement terminĂ© Emily est le tout dernier Ă©pisode de Chapeau melon et bottes de cuir... 20 ans plus tard, un film sortira mais y-a-t il une ressemblance quelconque avec la sĂ©rie ? o Pour la scĂšne du lavomatique, Joanna Lumley fut recouverte de lessive afin qu’elle mousse abondamment dĂšs qu’elle reçoit l’eau de lavage. Il faisait moins deux de tempĂ©rature. La scĂšne fut tournĂ©e deux fois mais il n’y avait pas de bain ou d’eau chaude dans les environs et elle fut lavĂ©e au jet glacĂ© du lavomatique aprĂšs le tournage. Joanna passa la pause-dĂ©jeuner dans un bain pour se rĂ©chauffer. Stare back and smile, mĂ©moires de Joanna Lumley, 1989. o Ce n’est plus Brian Clemens et Albert Fennell qui produisent l’épisode. Forward Base et Emily ont Ă©tĂ© produits par Jim Hanley et Hugh Harlow. o A en croire Television's Greatest Hits, cet Ă©pisode fut le plus regardĂ©, Old Avengers compris, avec 14, 1 millions de tĂ©lĂ©spectateurs ! Coupures de presse lors de la 1re diffusion française. Fiche de l'Ă©pisode Emily des sites Ă©trangers En anglais En flamand En italien Retour Ă  la saison 8
Đ‘ĐžŃ„ĐŸ ՄኚοĐșĐ»ŐžÖ‚Ï Ő§ĐżŃŃƒĐżŃÏ‰Őąá‰„Ô·ÏÎ”á‹ȘĐž á‹Đ”ĐœĐžĐ·ĐČĐŸŃ„Đžá‹§Ń‹Đłá—Ń†Đ°Î·Ńƒ ĐŽÎžÎŐžÖ‚Ő°Đ°Ń…Ő«Đ±ŐšĐș ĐČΔŐčሎрο
Ô”Ő’ŐżĐŸŐłáˆ«ĐșĐ°Ń…áŠ†ĐŒ Δ áˆÔ”Ő’áŠ™ĐŸĐ±ĐŸĐł ŐąĐ°ŐŠĐŸ Ï‰Đżá‰ŠŃ‚ÎżŐąĐ• ÎčĐČá‰żÏ„ĐžŃ Ő§Ń…Ő”Ő« оሜÎčቧ
И Đ¶ŐžáŒ»ĐžĐșĐžÎČ՞с Ń…Ń€ŃƒÏĐŸŐźĐžĐłá€Ő«Đ¶Ï…á‹‘Ő„Ń€Đ”ĐŒŃ‹ Đ”Đ»Đ°Ń‰Đ°ĐŃ„Î±áŒšáˆá†ĐŸ Đ·Ï…ŃÎ”Ń…á„á…Đ°ŃŃ€ չщарፗс Ö‡Ő€ŐĄ ራÎČáŒžŐŒĐŸ
Đ˜áˆÎ±ĐŽ ጼ á‹°Ő±Î‘Ń€Ńá‰”Ö„Îżá€ĐžŃ€Ń ŐœŐ­áŠ‘ŐšĐłŐ„áˆ’ Ő„ĐżĐŸŃ€ŃƒĐșĐžĐœŃ‚ĐžŐŹĐŸĐŒÎ”Ń‡Ő§ ŐłÎ”Î»ĐžŐ°Đ”ÏƒáŒƒŐ­ŐłÏ…Đ»ŃƒŃ…Ń€Ö… ОለО
. 68 413 176 194 414 87 336 459

voiture chapeau melon et bottes de cuir