22330Le Gouray; Château de la Motte-Basse; Château de la Motte-Basse au Gouray en Côtes-d'Armor Patrimoine classé Patrimoine défensif Demeure seigneuriale Château de style
De plus en plus, les lotissements apparaissent dans les communes du pays de Loudéac dans les Côtes-d'Armor. Comment expliquer ce phénomène ? Par Aurélien Burban Publié le 26 Avr 21 à 1832 mis à jour le 18 Mai 21 à 1000 Le domaine du Mené commence déjà à prendre forme à Loudéac. ©Le Courrier IndépendantL’immobilier est en plein boum dans le Centre Bretagne, notamment dans le pays de Loudéac. Un phénomène qui s’est accentué avec la crise sanitaire actuelle. C’est ainsi que beaucoup de communes ont anticipé les choses, en vue d’accueillir plus d’habitants au sein de leur territoire. De plus en plus de lotissements fleurissent tous les ans. De quoi ravir ceux qui souhaitent vivre dans la d’acheteurs venus des grandes villesL’équipe d’IAD, agence immobilière à Coëtlogon, est contactée depuis tout le territoire avec des motivations très différentes chez les acheteurs comme les vendeurs. Nous vendons plusieurs biens par semaine entre nous tous. Tout ce qui était affiché au prix du marché dans le secteur s’est vendu sans négociation. Nous recherchons activement des mandats en ce moment, car la demande a surpassé l’offre récemment », explique Nicholas Le Ny-Clarke, directeur de l’agence. Rémy Le Ny-Clarke affine l’analyse Depuis le Brexit, peu d’Anglais achètent dans le secteur sauf s’ils sont déjà installés. Les acheteurs Français viennent du sud de la France, et des grandes villes. Les gens recherchent aussi un territoire tempéré, aménagé avec des infrastructures et des équipements, disposant d’un bon espace y compris en ville. Nous vendons les maisons, les lots, mais aussi l’environnement, avec une bonne connaissance de toutes les communes du secteur. Le déclic a été le premier confinement. Beaucoup cherchent à vendre leur bien situé à Paris. Le marché est très actif. Cependant, l’équation vendeur-acheteur devient sensible car chacun souhaite réaliser une excellente affaire. Les anciennes maisons intéressent le plus. Mais les maisons néo-bretonnes qui étaient boudées sont aujourd’hui très recherchées car elles sont bien construites avec un grand espace. Ce qui n’est plus le cas aujourd’hui des nouvelles constructions qui, avec les normes environnementales, ne doivent plus empiéter sur des terres agricoles. »Entre 10 et 25 € le m2Sur le territoire de Loudéac Communauté Bretagne Centre, pour la majorité des lotissements, on constate que le prix au m2 varie entre 10 € et 25 €. Seuls ceux situés dans les grandes communes, ou leurs alentours, dépassent cette moyenne. Le prix médian reste à 30 €/m2. D’autres arguments sont aussi à prendre proximité d’une voie rapide, d’une grande agglomération comme Rennes. Par ailleurs, de nombreux urbains sont à la recherche de biens dans un environnement calme disposant de services de proximité. Cette tendance a renforcé l’attractivité des petites villes et des bassins ruraux du département. Voici une carte de l’état des lotissements en pays de Loudéac chiffres arrêtés au 19 mars 2021. ©Le Courrier IndépendantDu côté de Plumieux, au sud-est du territoire, les prix sont plus qu’abordables, tout comme du côté de Laurenan et du sud de la commune du Mené. À Loudéac, ainsi que dans les communes limitrophes, un bon nombre de lots restent disponibles aux possibles arrivants, ou sont en cours de négociation. Certains lotissements sont encore en projet, surtout à l’est du existants ou en cours liste non exhaustivePays de Loudéac Loudéac lotissement Camille Claudel il ne reste plus aucun lot ; domaine du Mené un lot reste à vendre première tranche à 67 €/m2 avant la seconde. Saint-Maudan lotissement de Bellevue il reste cinq lots à 12 €/m2. Hémonstoir lotissement d’Hilvern il reste deux lots à 15 €/m2 Saint-Caradec lotissement de La chouette chevêche il reste 23 lots à 26,50 €/m2 ; lotissement de la rue nationale il reste deux lots à 7,20 €/m2 Trévé résidence des trois chênes il y aura deux lots en deux tranches La Motte lotissement du clos des noës il y aura sept lots Pays de Guerlédan Guerlédan le lotissement de la porte d’en bas est complet Caurel le hameau du lac sept lots étaient retenus avant la pandémie, deux sont réservés Saint-Connec un lot disponible dans un lotissement Saint-Gilles-Vieux-Marché un lotissement de la Cité des Lilas il reste deux lots en cours d’acquisition ; un projet de lotissement avec quatre lots en cours de viabilisation Saint-Martin-des-Prés Le Clos des Prés il reste cinq lots en cours de transaction Plussulien lotissement des Sabotiers 14 lots dont 12 retenus, les deux restants en cours de négociation Corlay lotissement de Kerpoisson il reste un lot Le Haut-Corlay résidence des vergers il reste dix lots 10 €/m2 ; un lotissement est en projet Pays d’Uzel-Plouguenast Uzel lotissement des six chênes il reste trois lots à 27 €/m2 ; lotissement des sentiers il reste dix lots à 27 €/m2 Saint-Hervé lotissement des quatre couleurs il reste deux lots à 15 €/m2. Grâce-Uzel Le Clos mayot il reste deux lots à 16,50 €/m2 Saint-Thélo lotissement de l’étang il reste cinq lots à 12 €/m2 Le Quillio le hameau des chênes il reste deux lots à 12 €/m2 Merléac lotissement des camélias il reste trois lots à 12,50 €/m2 Allineuc lotissement du Clos de la forge est complet ; La Croix du Chatai il reste sept lots à 15 €/m2 Gausson futur lotissement au Bas Bourg quatre lots seront disponibles d’ici la fin 2021 Plouguenast-Langast lotissement Laënnec centre-bourg il reste deux lots à 40 €/m2 ; lotissement des Touchettes il reste trois lots à 25 €/m2 ; lotissement Les Riolais à Langast il reste cinq lots à 15 €/m2 Pays de Plémet Plémet/La Ferrière lotissement du centre-bourg il reste un lot; lotissement du Courtil il reste trois lots à 30€/m2 ; lotissement du Clos Doré à Saint-Lubin il reste cinq lots à 20 €/m2 ; lotissement de la Mare à La Ferrière il reste trois lots à 5 €/m2 ; lotissement de la Croix Hyava en construction La Prénessaye Clos Saint Laurent 1 il reste un lot à 12,50 €/m2 ; hameau de Bellevue il y aura 13 lots La Chèze lotissement des Colombières en construction Saint-Barnabé lotissement du Bocage il reste trois lots à 23,90 €/m2 ; lotissements du Plessix rue de l’Hermine et rue Jean Moulin rue du Pré-Mesnil en construction Plumieux lotissement des Lavandières il reste cinq lots à 8 €/m2 Coëtlogon il reste deux terrains à 6 €/m2 Saint-Etienne-du-Gué-de-l’Isle lotissement des merisiers il reste un lot à 6 €/m2 Le Cambout lotissement du Tréverger il reste six lots à 5 €/m2 Pays du Mené Merdrignac lotissement de la chevalerie il reste cinq lots à 38 €/m2 ; deux lotissements en projets un à la hersonnière et l’autre au niveau du village de la ville hubeau. Gomené lotissement proche du bourg il reste trois lots Laurenan hameau de la gare il reste deux lots à 8 €/m2 Le Méné lotissement de la Perrière à Collinée il reste neuf lots à 20 €/m2 ; lotissement des Tilleuls à Saint-Jacut-du-Mené il reste sept lots à 10 €/m2 ; lotissement du Petit Rocher à Plessala il reste cinq lots à 20 €/m2 ; lotissement à Saint-Gilles-du-Mené il reste neuf lots à 10 €/m2 ; lotissement des étoublettes au Gouray 12€/m2 n’apparaît pas sur la carte ; le hameau du Mené au Gouray 18€/m2 n’apparaît pas sur la carte ; lotissement de Bellevue au Gouray 18€/m2 n’apparaît pas sur la carte Mérillac lotissement de la Croix Rouge il reste deux lots à 4 €/m2 ; Entrée de bourg il resterait deux lots Trémorel le Clos des Aumondes il reste deux terrains sur sept lots à 42 €/m2 ; projet de lotissement Loscouët-sur-Meu lotissement du petit bois il reste neuf lots à 35 €/m2 ; impasse des hirondelles il reste deux lots à 25 €/m2 Pays de Rohan Rohan 12 lots sont réservés ou à vendre à la résidence de Kerville Bréhan Il reste un lot de disponible à l’impasse de Kérizel à 12 €/m2 ; Huit lots sont à vendre à la résidence Gabriel Alliot à 17 €/m2 HT, 12€ pour les primo-accédantsLes lotissements se vendent comme des petits pains. Le Centre Bretagne fait venir également certaines jeunes familles grâce à une situation de plein-emploi. Les retraités ou les Britanniques restent plus attirés par des vieilles article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Courrier Indépendant dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
CimetièreDe Le Gouray Cimetière De Collinée Cimetière De Saint-Gilles-du-Mené Cimetière De Saint-Gouéno Mulcahey-banks John Du Gros Chêne EARL Coquio Gilles Tertre Michel Houée Denis Château du Parc Accueil de Loisirs Bryan Martinez Rouille Mickaël Maison de l'Enfance Geac De La Bernardais Marine Poilvert Peinture Décor et Tradition Penhard Philippe Dielh
Château de la Motte-BasseCatégories Château monument historique dans les Côtes-d'ArmorMonument historique inscrit en 1975Architecture du XVIIIe siècle en BretagneDernière mise à jour de cette page le 02/04/ d'auteur les textes des articles sont disponibles sous Licence CC BY-SA Les licences et crédits des images sont disponibles en cliquant sur site Wikimonde est un agrégateur d'articles encyclopédiques, il n'est pas à l'origine du contenu des contenu de cet article est une copie de l'article d'origine // publié sur Wikipédia wiki collaboratif publié sous licence libre. Le contenu des articles n'est pas modifications mineures automatiques de mise en page peuvent avoir été effectuées.
PlénéeJugon élit sa première municipalité au début de 1790. Elle devient chef-lieu d'un canton de 1790 jusqu'en l'an X. Par la loi du 17 mai 1856, la commune de Plénée-Jugon cède à celle de Penguily une section comprenant la Cantonnière, la Ville-Bernier, les Breuils, la Bretannière, la Ville-Pierre et Bel-Orient.
11-13 Rue de Poulancre, Le Gouray 22330 [google-map-v3 shortcodeid="f331614971" width="100%" height="300" zoom="10" maptype="roadmap" mapalign="center" directionhint="false" language="default" poweredby="false" maptypecontrol="false" pancontrol="false" zoomcontrol="false" scalecontrol="false" streetviewcontrol="false" scrollwheelcontrol="false" draggable="false" tiltfourtyfive="false" enablegeolocationmarker="false" enablemarkerclustering="false" addmarkermashup="false" addmarkermashupbubble="false" addmarkerlist="Le Gouray{} bubbleautopan="false" distanceunits="km" showbike="false" showtraffic="false" showpanoramio="false"] Description du monument historique en Bretagne Lors de votre location en camping en Bretagne, faites un petit crochet à Le Gouray pour découvrir ce monument historique inscrit MH partiellement. Le département Côtes-d’armor regorge de lieux touristiques et culturels qui pourront être une idée d’activité lors de vos vacances ou séjour en camping. L’époque de construction de ce monument Château de la Motte-Basse est dans les environs du 18e siècle et voici la fiche Mérimée si vous souhaitez en savoir d’avantage avant de vous déplacer Voici différentes informations qui pourront vous aider à vous arrêter à Le Gouray Code patrimoine du monument PA00089170 Nom du monument Château de la Motte-Basse Dénomination château Code postal du monument 22330 Département Côtes-d’armor A propos Château de la Motte-Basse à Le Gouray Voir les campings Côtes-d'armor
châteaude la Motte Basse 22330 Le Gouray, château XVIIIe siècle, loue des gîtes, chapelle, façades, fontaine (IMH) château de la Motte Olivet 22490 Pleslin-Trigavou, château des XVIIe-XXe siècles, tour carré, chapelle, parc, étang
Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,841 Jul 9, 2015 Tour de France 2015 Château de Buigny-Saint-Maclou Abbeville, Somme Château de Buigny-Saint-Maclou by Sylvie Gilliard, on Flickr Château de Guerville, Seine-Maritime Chateau de Guerville by isamiga76, on Flickr Château de Dieppe, Seine-Maritime Château de Dieppe by Brian Hampson, on Flickr Château de Dieppe by Frédéric BISSON, on Flickr Château de Fécamp, Seine-Maritime Restes du château - 22 août 2012 Rue André Paul Leroux - Fécamp by Padicha, on Flickr Château de Cuverville Étretat, Seine-Maritime Le Jour ni l'Heure 1658 château de Cuverville, 1730, près d'Étretat, Seine-Maritime, domaine normand d'André Gide, 1869-1951, jeudi 9 juillet 2009, 170110 by Renaud Camus, on Flickr Joined Nov 18, 2011 21,127 Posts Joined Nov 18, 2011 21,127 Posts Joined Feb 5, 2015 1,481 Posts Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,845 Jul 11, 2015 Tour de France 2015 Château de Saint Germain-de-Livet Livarot, Calvados Château de Saint Germain-de-Livet by Spiterman, on Flickr Château de Chambois, Orne Château de Chambois by Fabien POTEL, on Flickr Château de Couterne Argentan, Orne Septième étape Argentan - Rennes, 170 km 6 by jplp, on Flickr Château de Carrouges, Orne Château de Carrouges by eric, on Flickr Château de Carrouges by eric, on Flickr Château de Fougères, Ille-et-Vllaine Fougeres-71 by Nicolas JENVRIN, on Flickr Château de Fougères, Ille-et-Vilaine - Castle of Fougères, Brittany, 2015 by Stéphane Mahot, on Flickr Le château de Fougères by Office de Tourisme Pays de Fougères, on Flickr Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,846 Jul 12, 2015 Tour de France 2015 Château de Moulins, Ille-et-Vilaine Moulins - Ille-et-Vilaine by Jacques BILLAUDEL, on Flickr Château de Caradeuc Bécherel, Ille-et-Vilaine Château de Caradeuc. Becherel by Roberto Poveda, on Flickr Château de Couëllan, Côtes d'Armor Château de Couëllan à CAULNES Côtes d'Armor. by Olivier CABARET, on Flickr Château XVIIe-XVIIIe s. de Couëllan, Caulnes Côtes d'Armor, France by Denis Trente-Huittessan, on Flickr Château de la Motte Basse Le Gouray, Côtes d'Armor Untitled by jean-pascal guillouet, on Flickr Château des Rohan, Côtes d'Armor Château des Rohan by Guy Fogwill, on Flickr Joined Feb 3, 2010 44,958 Posts It's nice to see some interiors too..... Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,848 Jul 13, 2015 More châteaux from the area of Tour de France 2015 tomorrow; in Pyrenees area cheers Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,849 Jul 14, 2015 Château de l'Hermine Vannes, Morbihan Vannes - Le château de l'Hermine by Stéphane Sélo, on Flickr Chateau L'Hermine and Jardin des Remparts, Vannes by Loving Wanderer 12, on Flickr Château de Garderes, Hautes-Pyrénées chateau-de-garderes by christos-greece, on Flickr garderes by christos-greece, on Flickr Château des Trois-Villes, Pyrénées-Atlantiques 12 Château des Trois-Villes HPIM5708 by marc1961be, on Flickr Château de Arette, Pyrénées-Atlantiques Maison noble de Forez, Arette, Pyrénées Atlantiques, Aquitaine, France. by Bernard Blanc, on Flickr Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Tour de France 2015 Château de Pau, Pyrénées-Atlantiques DSCF5262 - Chateau de Pau - Avril 2015 by Chris 64, on Flickr Château de Pau by Gönpo Dorje, on Flickr Château de Coarraze, Pyrénées-Atlantiques Chateau Coarraze CPhoto O. Gangnebien by Office de Tourisme Pays de Nay, on Flickr Château-Fort de Lourdes, Hautes-Pyrénées Le Château Fort de Lourdes by Benjamin Radley, on Flickr Château de Mauvezin, Hautes-Pyrénées Le château de Mauvezin by Artur Tomaz, on Flickr chateau de mauvezin by barth1003, on Flickr Château de Ségure Arreau, Hautes-Pyrénées Le Château de Ségure - Arreau by Audrey, on Flickr Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Tour de France 2015 Château de Montégut, Gers Le château et l'église de Montégut 2011-08-14 -03 by Cary Greisch, on Flickr Château de Castillon-en-Couserans, Ariège chateau a Castillon en Couserans by m-idre31, on Flickr Chateau de Castillon en Couserans by m-idre31, on Flickr Château de Foix, Ariège On the Line ! by Stéphane Meurisse, on Flickr Château de Foix by Luc, on Flickr Château de Verdun Les Cabannes, Ariège Château-Verdun Ariège/Pyrénées by PierreG_09, on Flickr Pyrénées by Patrick Talbert, on Flickr Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,852 Jul 18, 2015 Tour de France 2015 Château de Muret, Haute-Garonne château de Muret by francoise e., on Flickr Château de Saint-Félix-Lauragais Caraman, Haute-Garonne Le Jour ni l'Heure château XIIIe-XVIIIe s. de Saint-Félix-Lauragais, jadis Saint-Félix-de-Caraman, Haute-Garonne, Languedoc, Midi-Pyrénées, samedi 21 juin 2008, 134149 by Renaud Camus, on Flickr Château de Couffinal Lavaur, Tarn Château de Couffinal, Lavaur, Tarn, samedi 10 décembre 2011 by Sébastien Bories, on Flickr Château de Crins Graulhet, Tarn Ancien château de Crins XVIe et XVII e s., mais surtout XXe s., demeure des comtes d'Aubijoux, seigneurs de Graulhet, auj. école maternelle, Graulhet Tarn, Languedoc, lundi 14 avril 2014 by Sébastien Bories, on Flickr Vieux Château de Ambialet, Tarn 2007_04_11_Ambialet Lundi de Paques by JeanPierre, on Flickr Château de la Roquette Rodez, Aveyron Château de la Roquette by Stevie Gill, on Flickr Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,853 Jul 19, 2015 Tour de France 2015 Château de Viel Vayssac, Aveyron 13042013-Château-de-Viel-Vayssac-07 by Roland Brossy, on Flickr 13042013-Château-de-Viel-Vayssac-19 by Roland Brossy, on Flickr Château de la Caze Laval-du-Tarn, Lozère Château de la Caze, Laval-du-Tarn, Lozère, Languedoc-Roussillon, France © Franck Charton/ Images by Marian Jones, on Flickr La Caze by Daniel Caubère, on Flickr Château de Stevenson Florac, Lozère Chemin de Stevenson , Florac .. by têteenlair, on Flickr Château de Prades Sainte-Enimie, Lozère Le Château de Prades by Olivier Mattelart, on Flickr Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,854 Jul 19, 2015 Tour de France 2015 Château de Castrevieille, Ardèche castrevieille by christos-greece, on Flickr Château de Aubenas, Ardèche Château d'Aubenas by Vins 64, on Flickr Aubenas Ardèche by Fabien BARRY, on Flickr Château de Vogüé, Ardèche chateau de vogûè by cevenole30, on Flickr Château de Crussol, Ardèche Crussol, les ruines du château by Bernard Delefosse, on Flickr Château de Crussol by Dominique Guillot, on Flickr Joined May 6, 2009 103,822 Posts Joined May 6, 2009 103,822 Posts Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,857 Jul 20, 2015 Tour de France 2015 Château de Crest, Drôme Le Donjon du Crest by Michael, on Flickr Tour de Crest - Crépuscule 01 by La Drôme Tourisme, on Flickr Vieux Château de Pontaix, Drôme Pontaix by Ranulf 1214, on Flickr Château de la Villette Veynes, Hautes-Alpes Le Château de la Villette by Eric Allix Rogers, on Flickr Château de Charance Gap, Hautes-Alpes chateau de Charance by Nicolas K00cha, on Flickr Cosmos depuis les terrasses du domaine de Charance Gap. Château de Charance, siège du conservatoire du parc national des Ecrins by Margotte apprentie naturaliste 2, on Flickr Joined May 6, 2009 103,822 Posts Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,859 Jul 21, 2015 Many thanks for your likes; more châteaux from the "Tour de France" tomorrow, in Alpes area... cheers Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,860 Jul 22, 2015 Tour de France 2015 Château de Gréoux-les-Bains, Alpes-de-Haute-Provence 04 Gréoux-les-Bains - Château XII XII XIV XVII by Hervé Rebours, on Flickr Château de Pallud-sur-Verdon, Alpes-de-Haute-Provence 04 La Pallud-sur-Verdon - Château XVII XVIII by Hervé Rebours, on Flickr Château de Colmars, Alpes-de-Haute-Provence Colmars-Château de Savoie by Willy Van Campenhout, on Flickr [email protected] by christos-greece, on Flickr Château des Magnans Barcelonnette, Alpes-de-Haute-Provence Château des Magnans by Eric Allix Rogers, on Flickr Chateau magnans 01 by Alex Dark, on Flickr
LeGouray (Gallo: Le Górà è, Kreuz beim Château de la Motte Basse Literatur. Le Patrimoine des Communes des Côtes-d’Armor. Flohic Editions, Band 1, Paris 1998, ISBN 2-84234-017-5, S. 186–190. Weblinks Fotos der Dorfkirche Saint-Étienne; Infos zur Geschichte und den Sehenswürdigkeiten
Le Gourayc Karte NordNordWest, Lizenz Creative Commons deGemeindeLe MenéRegionBretagneDépartementCôtes-d’ArmorArrondissementDinanKoordinaten48° 20′ N, 2° 29′ WPostleitzahl22330Ehemaliger INSEE-Code22066Eingemeindung1. Januar 2016StatusCommune déléguéeLe Gouray Gallo Le Górà è, bretonisch Gorre ist eine Ortschaft und eine Commune déléguée in der französischen Gemeinde Le Mené mit Einwohnern Stand 1. Januar 2018 im Département Côtes-d’Armor in der Region Bretagne. Die Einwohner werden Gourayens/Gourayennes Gouray liegt etwa 29 Kilometer südöstlich von Saint-Brieuc in der Osthälfte des Départements Côtes-d’ Siedlungsspuren wie die Allée couverte des Meurtiaux stammen aus der Jungsteinzeit. Weitere Grabungen brachten Überreste aus keltischer und gallo-römischer Zeit ans Kirchgemeinde entstand im Frühmittelalter. Im Jahr 1205 wird der Ort als Gorre in einer Kirchenurkunde erstmals namentlich erwähnt. Zudem war der Ortsteil La Motte-du-Parc im Mittelalter Sitz einer Herrschaft. Verschiedene Epidemien suchten die Gemeinde bis in die Neuzeit heim. Im 13. Jahrhundert gab es eine Leprastation in Le Gouray. Am 24. Oktober 1823 wechselte die Siedlung Saint-Mirel von Le Gouray zu Collinée. Zum gleichen Zeitpunkt wechselte die Siedlung Bransart zu Saint-Jacut-du-Mené. Und am 10. August 1849 trat die Gemeinde verschiedene Gebiete im Süden an die Gemeinde Saint-Jacut-du-Mené ab. Die Gemeinde gehörte von 1793 bis 1801 zum Distrikt Broons und war Kantonshauptort des Kantons Le Gourray. Von 1801 bis 1926 war sie Teil des Arrondissements Loudéac und war seither Teil des Arrondissements Dinan. Und von 1801 bis 2015 war sie eine Gemeinde des Kantons Wirkung vom 1. Januar 2016 entstand aus der Fusion aller sieben Gemeinden des Gemeindeverbandes Communauté de communes du Mené die neue Gemeinde Le Mené, zu der Le Gouray gehört. Die Gemeinde Le Gouray gehörte zum Arrondissement Dinan und zum Kanton Zahl der Bewohner nahm zwischen 1793 und 1836 leicht zu 1793–1836 +10,5 %. Danach folgte als Folge der zunehmenden Mechanisierung der Landwirtschaft eine erste Abwanderungswelle 1836–1856 −17,2 %. Bis zur Jahrhundertwende um 1900 blieb die Einwohnerschaft dann immer etwa auf gleicher Höhe. Bereits nach 1900 begann eine zweite Abwanderungswelle, die sich als Folge der zahlreichen Gefallenen und der Grippewelle von 1918 verstärkte. Die starke Landflucht hielt bis um 1980 an 1901–1982 −51,1 %. Nach der Jahrtausendwende kam es zu einem bedeutenden Wachstum 1999–2012 +34,3 %.BevölkerungsentwicklungJahr17931800180618211831183618411846185118561861186618 Jahr19011906191119211926193119361946195419621968197519 Cassini und ab 1962 INSEESehenswürdigkeiten[1]Schloss Château de la Motte BasseDorfkirche Saint-Étienne erbaut 1854Kapelle Saint-Roch aus dem 12. Jahrhundert im 17. Jahrhundert restauriertKapelle von La Motte-Basse aus dem Jahr 1759Kalvarienberg von La Motte-Bassezahlreiche Kreuze und Wegkreuze aus dem 17. und 18. Jahrhundertmehrere Herrenhäuser Manoir du Vau-Raulet, Manoir de la Motte du Parc 15. Jahrhundert, Manoir des Murs 17. Jahrhundert und Manoir de Quilloury 16. Jahrhundertalte Häuser im Dorfzentrum erbaut 1777 und Truet erbaut 1573Landgut von Le Gros-Chêne aus dem Jahr 1840mehrere Mühlenstrohgedecktes Haus aus dem 18. Jahrhundert in Le LimbéLavoir Waschhaus in Noë-PerghienAllée couverte aus der Jungsteinzeit in L’ÉpineEisenbahnbrücke Pont de Planchettes 1924 eingeweihtDenkmal für die Gefallenen[2]Château de la Motte Basseehemaliges Rathaus Mairie von Le GourayDorfkirche Saint-Étiennefrühere EisenbahnbrückeKreuz beim Château de la Motte BasseLiteraturLe Patrimoine des Communes des Côtes-d’Armor. Flohic Editions, Band 1, Paris 1998, ISBN 2-84234-017-5, S. 186– der Dorfkirche Saint-ÉtienneInfos zur Geschichte und den SehenswürdigkeitenEinzelnachweise↑ Beschreibung der Sehenswürdigkeiten französisch Memento des Originals vom 24. September 2016 im Internet Archive Info Der Archivlink wurde automatisch eingesetzt und noch nicht geprüft. Bitte prüfe Original- und Archivlink gemäß Anleitung und entferne dann diesen Hinweis.↑ Denkmal für die Gefallenen Auf dieser Seite verwendete Medien Autor/Urheber Photo personnelle, Lizenz Passerelles du Gouray construites pour les Chemins de Fer des Côtes-du-Nord
Châteaude la Motte-Basse à Gouray (le) Epoque : 18e siècle Informations : Façades et toitures du corps central du château, du pavillon situé près du bois et des deux pavillons en bordure du parc ; chapelle (cad. ZO 37) : inscription par arrêté du 3 juin 1975 Propriétaire : propriété d'une personne privée. Les monuments historiques voisins de la ville de Le Gouray (22330
Jeanne Coroller, ou C. Danio pour Coroller Danio, est née le 25 mai 1892 à Mordelles est assassinée le 13 juillet 1944, dans la forêt de La Hardouinais à Merdrignac. Elle est une militante catholique régionaliste et autonomiste bretonne et une femme de lettres. Son principal nom d'auteur était C. Danio[1], elle signait C. Danio voir liste de ses principaux ouvrages, Jeanne de Coatgourc'han, Gilles Gautrel et Gilesse Penguilly. Origine[modifier modifier le code] Son père est un écrivain de langue bretonne, Eugène Coroller 1857-1923 plus connu sous le pseudonyme de Gweltaz. Ce grand ami de Théodore Hersart de la Villemarqué est un descendant du colonel Coroller, membre de l’état-major de Georges Cadoudal, Il est aussi le fondateur de "Feiz ha Breiz" et le président du "Breuriez ar Brezonnek". Bretonne également, sa mère est Pauline de Farcy de Beaumont 1858-1932. Née à Mordelles en 1892, Jeanne Coroller épouse le 19 février 1924 à Trédaniel, René Chassin du Guerny veuf en premières noces de Cécile Loir-Mongazon et lui donnera sept enfants dont Rozenn 1958, mariée en 1939 avec Yves Chevillotte, François, Armelle, mariée en 1960 avec Yves Chevillotte, Marie-Hélène, Yvonne-Jeanne Vonig et Yannick marié en 1958 avec Geneviève de Méric de Bellefon. Œuvre romanesque et historique de langue bretonne[modifier modifier le code] Elle est un auteur de jeunesse de grand talent. Elle est aussi une catholique fervente. Dès 1922, elle publie une Histoire de notre Bretagne illustrée dans sa première édition par Jeanne Malivel 1895-1926 qui au vu de l'autonomisme revendiqué par l'ouvrage alors qu'elle même s'était toujours revendiquée régionaliste, interdira fermement toute utilisation de ses bois gravés pour la réédition. En 1929, elle publie sous forme scénique Le Mystère de Bretagne, qui sera représenté, dans la version bretonne de l'abbé Perrot, au Bleun-Brug de Douarnenez devant près de 10 000 personnes. En 1940, elle participe à la revue pour enfants Ôlolé d'Herry Caouissin, où elle publie Les loups de Coatmenez 1941, suivi peu après de sa suite La croisade des Loups 1943 tous les deux illustrés par Étienne Le Rallic. On lui doit aussi une Histoire de ma Bretagne et de nombreux autres textes historiques. Elle publie son œuvre sous divers pseudonymes C. Danio, Jeanne de Coatgourc'han, Gilles Gautrel et Gilesse Penguilly. Son collaborationnisme breton[modifier modifier le code] En août 1943, son château accueille le Kadervenn de Neven Henaff. Yann Fournis, dans sa thèse sur le Bezen Perrot, affirme que le cantonnement des Bagadoù stourm fut organisé chez elle en 1943 à Caulnes. Ronan Caouissin mentionne sa présence dans une réunion politique, le 20 mai 1944[2] À la réunion de la rue le Bastard, Mabinog[3], adjoint de Lainé, avait groupé une trentaine d'opiniâtres. Le néo-païen Pol Le Reste y côtoyait les très catholiques Marc Le Berre, Olier Chevillotte, Jeanne du Guerny ainsi que le protestant Marcel Guieysse. » Son assassinat le 13 juillet 1944[modifier modifier le code] Courant 1944, Christian Le Mintier de La Motte-Basse, capitaine de vaisseau, est mis en congé d'armistice. Il vient s'installer au château de la Motte-Basse au Gouray, propriété de son frère Godefroy Le Mintier de La Motte-Basse. Pour accélérer le retour de ses 4 fils vivant alors chez une tante dans la Creuse, il accepte l'aide de sa voisine de Penguily, Jeanne Coroller, proche sympathisante du PNB, qui l'accompagne à la Kommandantur de Lamballe pour obtenir des laissez-passer. Selon les sources, il n'aurait pas été pour la collaboration, mais d'autres considèrent qu'il avait des liens étroits avec le PNB. Ce qui est sûr, c'est qu'il exprime régulièrement son amertume vis-à -vis des Anglais pour avoir vécu l'attaque de Mers el-Kébir. Il commandait en effet le contre-torpilleur Lynx et a protégé, avec sang-froid et détermination, la sortie du cuirassé Strasbourg[4]. Les troupes allemandes font face à l'organisation de maquis dans le secteur du Gouray. Menacés d'encerclement, les maquisards de Lamballe du Bataillon Gilles commandé par le commandant Gilles René Billaud ont évacué leur maquis des Petites Rosaies à La Malhoure le 21 juin 1944 pour le Nid Rouge au Gouray. Menacés de nouveau par un ratissage allemand, ils se replient à La Boulaye, dans la forêt du Boquen, au Gouray. Le 29 juin 1944, les Allemands fouillent Le Gouray à la recherche des maquisards. Pourchassés en territoire mal connu, manquant d'armes, les maquisards ont le moral en berne et risquent l'anéantissement. Ils repartent le jour-même à 18 heures vers Le Mené en passant de nuit par Saint-Jacut-du-Mené. Ils trouvent refuge dans une grange isolée à 600 mètres de la route à 500 mètres de la ferme du Plat. Le 30 juin 1944, le commandant Gilles annonce la dispersion temporaire du maquis[5]. Fin juin 1944, le groupe de maquisards et de SAS du lieutenant Fauquet s'installe à son tour au Nid Rouge au Gouray. Ils sont également attaqués par les Allemands et doivent décrocher. Certains partent vers la ferme des Salles à Hénon où ils sont attaqués, capturés puis fusillés groupe du lieutenant Fauquet. Un autre groupe crée le maquis de Seilla à Saint-Gilles-du-Mené groupe du sergent Morand[6]. Un nouveau maquis s'installe début juillet dans la forêt de Boquen, au Nid Rouge Gouray, aidé par les parachutistes SAS hébergés de temps en temps depuis juin 1944 chez Julia Gouin, épouse Baratoux. Dénoncé, le maquis de Boquen doit évacuer le 9 juillet 1944, tout d'abord près du château de La Rohée au Gouray. Les 8 et 9 juillet, cinq personnes sont arrêtées au Gouray par les Allemands, notamment Julia Gouin, épouse Baratoux, torturée ensuite à l'école primaire d'Uzel. La plupart des maquisards partent ensuite au maquis de la forêt de La Hardouinais à Merdrignac. Quelques autres créent le 14 juillet 1944 le maquis de Bourgneuf à Sévignac. Une ou plusieurs personnes du Gouray dénonce la famille Le Mintier de La Motte-Basse comme responsable de ces dénonciations répétées au Gouray. Ces personnes interprètent diverses informations pas toujours très fiables sur fond de rivalités familiales remontant à la Révolution française… Une trentaine de maquisards arrivent au château, vers 22 h, le 11 juillet 1944. Trois d'entre eux trouvent les habitants rassemblés dans la cuisine et emmènent dehors, sous la menace de leurs armes, Christian Le Mintier de La Motte-Basse, son épouse Henriette Aymer de La Chevalerie, leur bonne alsacienne Gertrude Baumgarten, et Alberte Le Mintier de La Motte-Basse, épouse de Pétigny de Saint-Romainc[7],[4]. Ils sont emmenés et enfermés au presbytère du Gouray. Le lendemain 12 juillet vers 10 h, deux hommes armés viennent au domicile de Jeanne Coroller, au château de La Saudraie, à Penguily, pour lui réquisitionner son automobile, ce qu'elle accepte. Ils lui apprennent sans doute que Christian Le Mintier de La Motte-Basse et sa famille ont été capturés et que l'automobile doit servir à les transporter. Elle se rend à pied, dans l'après-midi, au Gouray avec son fils, François Chassin du Guerny [8] probablement dans l'espoir de faire libérer les prisonniers[9]. Mais, considérée comme étant proche sympathisante du PNB, elle est aussi emprisonnée avec son fils. Tous les captifs sont emmenés dans la forêt de La Hardouinais, à Merdrignac, sauf la bonne, emmenée à Seilla à Saint-Gilles-du-Mené[7], par Michel Carrier et deux parachutistes pour être jugés » sauf François Chassin du Guerny, épargné, par un tribunal militaire du maquis de Boquen », dont les deux parachutistes. Il s'agit d'André Coquette et Francis Serville ; Michel Carrier est membre du maquis FTPF de Seilla, à Saint-Gilles-du-Mené[10]. Après un interrogatoire de plusieurs heures, ils sont condamnés à mort »[11]. Le commandant Christian Le Mintier de La Motte-Basse, son épouse Henriette Aymer de La Chevalerie, sa belle-sœur Alberte Le Mintier de La Motte-Basse, épouse de Pétigny de Saint-Romain et Jeanne Coroller sont tués par balle dans la tête, d'après le médecin qui examine les corps après leur découverte[4],[12],[13]. Les corps sont enterrés dans une fosse commune faite dans un taillis, à La Fenderie, dans la forêt de La Hardouinais, et retrouvés le 26 juillet 1944 à 14 heures. L'acte de découverte des corps est dressé le 30 juillet 1944 à Merdrignac[14]. Les corps sont déposés dans un premier temps à la mairie de Merdrignac[4] et identifiés par André Mirchier avant d'être amenés au caveau familial du château de La Motte-Basse, au Gouray, pour inhumation. Les membres de la famille Le Mintier de La Motte-Basse sont reconnus Morts pour la France »[7] et inscrits au Monument aux Morts du Gouray. Il existe une rue du Commandant Le Mintier à Vannes. Jeanne Coroller a été également assassinée le 13 juillet 1944, son corps a été retrouvé que le 26 juillet [15], treize jours plus tard, et identifié par son frère Yves Coroller[4]. Elle est inhumée dans un premier temps au cimetière communal de Merdrignac le 28 juillet et quelques mois plus tard au cimetière de Penguily, puis transférée ailleurs. Gertrude Baumgarten est emmenée directement au maquis de Seilla à Saint-Gilles-du-Mené. Bien que la sachant innocente, ordre est donné de l'assassiner. Après avoir été violée par toute la bande dans le bois de Bosseny à Saint-Gilles-du-Mené, elle est tuée, le 24 juillet 1944, d'une balle de pistolet dans la tête. Enroulé dans un drap, son corps est retrouvé dans le bois, le 7 août 1944, et enterré dans une fosse sous un taillis. Le corps est ensuite inhumé dans l'ancien cimetière de la commune[4] situé autour de l'église. Dans les années 1970, le cimetière est transféré à son emplacement actuel et la tombe de Gertrude Baumgarten est supprimée. L'acte de décès est dressé le 13 janvier 1945 à Saint-Gilles-du-Mené. La recherche des responsables des assassinats[modifier modifier le code] Plainte de la famille Le Mintier[modifier modifier le code] Après la Libération, la famille Le Mintier de La Motte-Basse multiplie les requêtes pour obtenir la vérité sur l'affaire. Recueillant des informations et des rumeurs, Godefroy Le Mintier de La Motte-Basse, frère du commandant Christian Le Mintier de La Motte-Basse, affirme que ce sont les maquisards de Seilla, à Saint-Gilles-du-Mené, commandés par un dénommé Mimile, qui ont enlevé ces personnes. Il affirme également que, le maquis en forêt de La Hardouinais étant supposé sous surveillance allemande, les meurtres auraient été réalisés par René Baubry et Rogard, de la bande à Mimile, à coups de barre de fer. Reconstitution des faits[modifier modifier le code] Deux maquis existent en juillet 1944 à Saint-Gilles-du-Mené. Le premier s'est formé en juin 1944 à La Douve, à l'est de la commune, où se trouve la ferme de la famille Sagory. Le père Jean Sagory est décédé lors de la campagne de 1939-1940[16]. Ce maquis regroupe quelques maquisards qui ont fui la ferme de Créneleuc à Laurenan autour de Roger Peltier, alias Bouboule et le groupe Bleiz-Mor commandé par Eugène Le Rhun alias Mimile, basé à Plouguenast. Pisté par la police, l'armée allemande et la Gestapo, le groupe Bleiz-Mor doit fuir et rejoint le maquis de La Douve à Saint-Gilles-du-Mené. Ce maquis regroupe une trentaine d'hommes et de femmes[17],[18]. À l'ouest de la commune de Saint-Gilles-du-Mené, une maison non habitée du Seilla, aux Rochers, sert de lieu de rencontre entre messagers des maquis. Fin juin 1944, le maquis du Nid Rouge dans la forêt du Boquen au Gouray est attaqué par les Allemands. Aux côtés des maquisards se trouvent des parachutistes largués en juin 1944 pour aider les résistants. Certains ont participé à la création de la base Samwest de Duault attaquée par les Allemands et dispersée. Après l'attaque au Nid Rouge fin juin 1944, les maquisards se dispersent en deux groupes l'un avec les Fauquet, Fadda et Bidault part direction la ferme des Salles à Hénon, l'autre avec les Franz Nedelko alias Francis Morand, André Coquette et Francis Serville, direction Le Fresne à Plessala puis finalement le Seilla à Saint-Gilles-du-Mené[6]. Une rencontre a lieu entre Eugène Le Rhun, dit Mimile, du maquis de La Douve et le sergent-chef Franz Nedelko, alias Francis Morand. Eugène Le Rhun, alias Mimile, prétend que par la suite, les deux maquis n'ont plus de contact[19]. Divers témoignages ne confirment pas cette déclaration. Le maquis de Seilla se compose de trois parachutistes le sergent Franz Nedelko alias Francis Morand, le caporal-chef André Coquette et le soldat Francis Serville, et des maquisards Roger Jerichenson, alias Lucien Lagrée, Louis Lecomte, Jean-Louis Delourmel sous-lieutenant, Jean-Marie Connan, Étienne Carrier, Michel Carrier, Jacques Chesneau et Lucien Lecomte. Le maquis de Seilla et celui de La Douve se croisent puisqu'ils se trouvent sur le même secteur. Ils sont liés aux autres maquis du secteur notamment celui de La Hardouinais en attente d'un parachutage. Des dénonciations ont lieu sur le secteur du Gouray 22 en juin et juillet 1944 qui entraînent plusieurs arrestations. Les résistants du secteur cherchent le ou les responsables. Leurs soupçons se portent sur la famille Le Mintier de La Motte-Basse. Cela entraîne les arrestations des 11 et 12 juillet réalisées par Mimile, sa bande et des résistants du Gouray en accord avec les Les prisonniers ont été emmenés dans la forêt de La Hardouinais, à Merdrignac, par Michel Carrier et deux parachutistes André Coquette et Francis Serville membre du maquis de Seilla à Saint-Gilles-du-Mené, pour être jugés par un tribunal improvisé du maquis de Boquen, avec des hommes en uniforme, dont les deux parachutistes. Après un interrogatoire de plusieurs heures, ils sont déclarés coupables[11] et assassinés. La bonne alsacienne, Gertrude Baumgarten, est emmenée au Seilla. Elle refuse de devenir la maîtresse de Franz Nedelko, alias Francis Morand, qui la donne à Mimile. Ce dernier l'assassine le 24 juillet 1944 après qu'elle a été violée par toute la bande. Les représailles allemandes[modifier modifier le code] Dans la nuit du 27 au 28 juillet 1944, Franz Nedelko, alias Francis Morand, envoie Étienne Carrier et Roger Jerichenson, alias Lucien Lagrée, en mission. Quant à lui, il prend une permission avec Lucien Lecomte et quitte le maquis. Les deux maquisards, partis en mission avec la traction du maquis, tombent en panne et sont arrêtés par une colonne allemande, vers 2 heures, à La Louvière à Plumaudan. Torturé à la Feldkkommandantur de Dinan, Étienne Carrier reste silencieux. Il est très probablement fusillé peu après mais son corps n'a jamais été retrouvé. Roger Jerichenson craque sous la torture et livre ses camarades. Le maquis est attaqué à 6 heures du matin par la Gestapo et les de Dinan. Tous les maquisards présents sont tués ainsi que l'agent de liaison en mission, Odette Tort, du maquis de Plouasne, qui passe la nuit à Seilla. Les condamnations[modifier modifier le code] Absent, Franz Nedelko, alias Francis Morand, survit, mais il ne pourra jamais être interrogé, car il est abattu le 22 août à Lesneven par un soldat américain ivre. Lucien Lecomte poursuit la lutte en combattant avec les de Plémet mais n'a apparemment rien dit. Quant à Roger Jerichenson, alias Lucien Lagrée, qui était prisonnier des Allemands, il est libéré par les Américains vers le 6 août 1944 Libération de Dinan. Mais, il est arrêté à nouveau après la Libération, puis condamné à cinq ans de travaux forcés par un tribunal militaire de Rennes[20]. L'assassinat des civils arrêtés le 12 juillet 1944 implique en fait divers groupes de résistants le maquis de Seilla, le maquis de La Douve et le maquis de La Hardouinais. Unité combattante, le maquis de La Douve perd trois hommes lors des combats pour la libération de Merdrignac Jean Pierre Génevisse, Pierre Guéguen et Albert Leguern. Cela n'empêche que Mimile et sa bande, ont marqué les mémoires dans Le Mené par leur brutalité meurtres, intimidations, réquisitions.... Les membres du groupe ont pour certains rejoint les formations militaires issues des et intégrées à l'armée. C'était le cas d'Eugène Le Rhun, alas Mimile, qui prenait le grade de capitaine, et qui est finalement arrêté, interrogé et incarcéré à Saint-Brieuc, mais il trouve la possibilité de s'évader avant son jugement[21]. Interrogé de nouveau en 1952 par la Gendarmerie[22]. et dans les années 1980, concernant en particulier l'assassinat de Gertrude Baumgarten[23], Mimile nie toute responsabilité de sa part ainsi que de celle des membres du maquis de La Douve dans les enlèvements des 11 et 12 juillet 1944 et les meurtres qui ont suivi. Plusieurs autres assassinats sont imputables au maquis de La Douve. Deux sont reconnus par Eugène Le Rhun, alias Mimile[24]. Tout d'abord celui d'Annie Gelly née en 1920. Venue se reposer pour des raisons médicales à Saint-Gouéno, la jeune femme est dénoncée par une habitante comme étant une espionne. En effet, elle prend en juillet 1944 des photos des trois parachutistes du maquis de Seilla lorsqu'ils viennent au bourg en uniforme pour les obsèques d'un habitant. Elle est arrêtée par des maquisards de La Douve le 27 juillet 1944 à Saint-Gouéno. Interrogée, elle avoue sa culpabilité et des liens avec le lieutenant Müller de la Feldgendarmerie de Saint-Brieuc. Elle est tuée le 28 juillet 1944, après une tentative de fuite, jour de l'attaque du maquis de Seilla dont on l'estime responsable. C'est un maquisard, boucher de son métier, qui la tue de 2 coups de poignard au ventre et au sein gauche, sans doute pour éviter d'attirer d'éventuels soldats allemands encore présents dans le secteur. Elle est sommairement enterrée sur place, à l'angle d'un champ aux Épinettes à Saint-Unay à Laurenan. Le corps est découvert le 21 août 1944, exhumé le 24 août 1944, pour être inhumé au cimetière communal où plus aucune tombe ne porte son nom[25],[24]. Le second assassinat concerne Jean Thomas, né en 1925, serrurier domicilié 210 rue de Nantes à Rennes. Après la Libération, il se promène au bourg de Plessala d'un café à un autre. Il manie deux revolvers qu'il dépose sur les tables en disant qu'il est à la recherche d'un groupe de car ses camarades ont été arrêtés. Trois maquisards de La Douve, venus se ravitailler en voiture chez le boulanger de Plessala, sont prévenus le capitaine Eugène Le Rhun alias Mimile, Roger Peltier alias Bouboule et Alexis Hamon alias Francis. Ils arrêtent le personnage qui les suit sans protestations. Il est désarmé et conduit en voiture au maquis. Il est rapidement reconnu par René Baudry. Ce dernier l'a en effet vu en tenue de milicien lorsqu'il était incarcéré à Rennes. Fouillé, il est trouvé en possession d'une fiche de paie de la Milice. Il reconnaît les faits et est condamné à mort » par les responsables du maquis. Il est brutalisé œil gauche tuméfié. Conformément à sa demande, il passe sa dernière nuit en prière auprès de l'abbé Poilbout, alors curé de Saint-Gilles-du-Mené. Accompagné du prêtre, il est conduit, le 9 août 1944, au Pont du Gros Chêne, à Saint-Gilles-du-Mené, et abattu de 2 balles dans la tête vers 9 heures. Son corps est découvert le jour même, dans l'après-midi, dans une fosse, dans une prairie du Pont du Gros Chêne, à Saint-Gilles-du-Mené, à 60 mètres de la RN 792. Son identité n'est pas connue dans un premier temps. Son acte de décès est dressé le 7 mai 1945 à Saint-Gilles-du-Mené, sur la déclaration de son père. Cet assassinat est jugé par le Tribunal Permanent des Forces Armées à Paris et se termine par un non-lieu pour le capitaine Eugène Le Rhun[26],[23]. D'autres assassinats sont à porter à l'actif de Mimile. Aucune plaque, tombe ou monument ne rappelle plus la mémoire de ces victimes de la barbarie de certains maquis. Œuvres[modifier modifier le code] C. Danio, Yann-Vari Perrot, Le Mystère de Bretagne Pe war roudou hon Tadou - Pez burzudus e tisklaerier ennan eun diverra eus istor hor breiz, R. Durand, 1921, et Staed-Kastel, Brest, 1929. C. Danio, La route au but lointain, Saint-Brieuc, Aubert, 1927. Histoire de notre Bretagne, L'Enseigne de l'hermine - Dinard, 1922, l'Enseigne de l'hermine - Dinard, Impr. de Bretagne à Rennes, 1932 avec ill. de René-Yves Creston et Jeanne Malivel, Enseigne de l'Hermine - Dinard 1938, éd. Elor, Saint-Vincent-sur-Oust. Cet ouvrage est réédité en 1997, Éditions Élor, avec comme nom d'auteur de réédition Jeanne Coroller-Danio C. Danio était son nom de plume original et Jeanne Malivel, une introduction de Herry Caouissin et une préface de Fransez Vallée. Le trésor des douze, Quimper, Nouvelles Éditions Bretonnes, collection 'Pâques", 1935 sous le pseudonyme de Gilles Gautrel roman policier. C'est un roman de politique-fiction qui met en scène des nationalistes bretons luttant pour l'indépendance de la Bretagne but atteint à la fin du livre. C. Danio, Histoire de Bretagne pour tous. Éditions du Parti national breton - Rennes, Imprimerie Centrale de Rennes. 1942 Xavier Haas Les loups de Coatmenez et La croisade des Loups. Ils furent publiés pour la première fois respectivement en 1941 et 1943, en différents épisodes, dans l'hebdomadaire 'Olôlé'. Une réédition de cet ouvrage a été effectuée en 1995 par les éditions BSI-Elor. Il s’agit d’une version expurgée de celles de 1942 et 1963 date peu plausible? 1943 ?, comprenant de multiples allusions antisémites. Dans cette aventure, les voleurs sont deux juifs, Isaac et Jacob dont l’accent est étranger … et le nez n’est pas chrétien » Ololê, 19 janvier 1941, p. 2 et édition 1963, p. 10. L’édition de 1963 a systématiquement fait disparaître le mot youpin remplacé par voleur. Histoire de ma Bretagne illustrée par Étienne Le Rallic Notes et références[modifier modifier le code] ↑ Joël Cornette, Le Marquis et le régent Une conspiration bretonne à l'aube des Lumières, Tallandier, 2015, 480 p. ISBN 979-10-210-0907-3, lire en ligne ↑ Le rêve fou des soldats de Breiz Atao, p. 102. ↑ Mabinog, de son vrai nom Jean-Marie Chanteau ↑ René et Marguerite-Marie Billaud, Occupation et Résistance en Bretagne, Imprimerie de la Manutention, Mayenne, 1985, pages 165-203. ↑ a et b Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, pages 13-14. ↑ a b et c Dossiers nominatifs du Bureau des Archives des Victimes des Conflits Contemporains. ↑ Certaines sources ont indiqué à tort l'implication dans ce tragique évènement d'une Charlotte Coroller, sœur de Jeanne Coroller. Jeanne Coroller n'a pas de soeur se prénommant Charlotte voir fratrie de Jeanne Coroller dans les 'Filiations Bretonnes' d'H. Frotier de la Messelière. Charlotte est son cinquième prénom à l'état civil, source de confusion ?. C'est aussi le quatrième prénom à l'état civil de sa soeur Paule décédée à Brest en 1983 et qui n'est pas concernée. ↑ ADCA 2W79 Penguily. ↑ Tous trois ont été tués par les Allemands avec quatre autres personnes lors de l'attaque du maquis de Seilla le 28 juillet 1944. Voir Les monuments rappelant ce combat. ↑ a et b Lire l'article L'élimination de collaborateurs. ↑ D'autres versions erronées rapportées dans les dossiers nominatifs du Bureau des Archives des Victimes des Conflits Contemporains affirment que le maquis étant supposé sous surveillance Allemande, les exécutions auraient réalisées par René Baubry et Rogard du maquis de La Douve à coups de barre de fer. ↑ Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, page 11, orthographe corrigé à l'aide de la liste des membres du maquis de La Douve. ↑ Voir état-civil de Merdrignac. Acte du 30 juillet 1944,16 heures, signé Joseph Gaborel maire de Merdrignac et dressé à la suite du PV de gendarmerie de Merdrignac n°186 du 26 juillet 1944 ↑ Voir ci dessus acte de découverte des corps du 30 juillet 1944 ↑ Jean SAGORY sur et sa fiche SGA-Mémoire des Hommes. ↑ Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, pages 7 à 9. ↑ Charles ASSET, La toile d'araignée de la Résistance en Bretagne, de Merdrignac et son canton, pages 19-21. ↑ Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, page 14, témoignage d'Eugène Le Rhun. ↑ Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, pages 14-15. ↑ ADIV, cité par Kristian Hamon ↑ Dossier nominatif du Bureau des Archives des Victimes des Conflits Contemporains de Charles Le Mintier De La Motte-Basse, interrogatoire d'Eugène Le Rhun. ↑ a et b Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, page 10. ↑ a et b Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, page 10. ↑ Source ADCA 2W87 Saint-Gouéno. ↑ ADCA 2W87 Saint-Gilles-du-Mené. Voir aussi[modifier modifier le code] Bibliographie[modifier modifier le code] Notice dans le Dictionnaire des auteurs de jeunesse de Bretagne, de Jacqueline et Bernard Le Nail. Article connexe[modifier modifier le code] Seiz Breur Liens externes[modifier modifier le code] Notices d'autorité Fichier d’autorité international virtuel International Standard Name Identifier Bibliothèque nationale de France données Système universitaire de documentation Bibliothèque du Congrès WorldCat
. 17 159 127 209 74 389 172 324
chateau de la motte basse le gouray