ï»żMaison au bord de la voie ferrĂ©e Maison au bord de la voie ferrĂ©e House by the Railroad en anglais est un tableau de l'artiste amĂ©ricain Edward Hopper rĂ©alisĂ© en 1925. Il s'agit du premier succĂšs artistique et commercial du peintre[1]. Le tableau est exposĂ© au MoMa Ă New-York[2]. Description Maison au bord de la voie ferrĂ©e est une peinture Ă l'huile sur toile. Ce tableau de 61 Ă 73,7 cm[2] reprĂ©sente une demeure victorienne au bas de laquelle passent des rails de train, comme l'indique son titre. L'Ă©lĂ©ment central du tableau est la grande demeure grise sur la façade de laquelle s'Ă©tendent des ombres. De nombreuses fenĂȘtres percent les murs de cette maison inventĂ©e de toutes piĂšces par Hopper qui avait pourtant l'habitude de peindre des paysages rĂ©els[3]. L'arriĂšre-plan est vide et ne montre qu'un ciel gris-bleu sur lequel se dĂ©coupe la maison. Au premier-plan, la teinte rouille des rails et du ballast tranche avec les couleurs froides de la maison et du ciel. Il en rĂ©sulte une trĂšs nette opposition entre la voie ferrĂ©e aux couleurs franches, qui suit une ligne horizontale, et la maison aux couleurs plus froides qui suit une ligne de construction verticale[4]. InterprĂ©tation Le thĂšme de l'isolement On retrouve dans ce tableau le thĂšme central des peintures de Hopper qui est l'aliĂ©nation de la vie moderne. Loin de l'effervescence qui caractĂ©rise la vie amĂ©ricaine dans les annĂ©es 1920, Hopper s'attache Ă peindre l'isolement qui rĂ©sulte de la vie moderne. Dans Maison au bord de la voie ferrĂ©e, l'opposition est clairement marquĂ©e entre les rails, symboles de la vie moderne et la maison victorienne, vestige d'un passĂ© qui disparait peu Ă peu[5]. Le jeu d'ombre sur la façade de la maison lui donne un air mĂ©lancolique et peut faire penser au spectateur qu'elle est abandonnĂ©e, bien que la prĂ©sence de rideaux Ă moitiĂ© relevĂ©s puisse faire penser l'inverse. Les lignes de forces et les couleurs utilisĂ©es les opposent et renforcent donc le sentiment d'isolement de la maison. La tension entre nature et vie moderne L'arriĂšre-plan dĂ©solĂ©, sans vie, ni nature contribue Ă la sensation d'isolement de la maison. On peut y voir une volontĂ© d'Edward Hopper de montrer Ă travers cela l'Ă©loignement de la nature et donc de l'univers rural au profit de la vie moderne qu'offrent les villes. La maison, signe du passĂ© et de la vie rurale, cĂŽtoie donc la vie moderne reprĂ©sentĂ©e Ă travers les rails sans pour autant que les deux ne semblent correspondre entre-elles. Ă travers elles s'opposent Ă©galement le silence et le bruit que reprĂ©sentent respectivement la maison et les rails. Hopper dĂ©peint donc une nature abandonnĂ©e, absente, qui s'efface au profit de la vie moderne. L'isolement et la mĂ©lancolie qui en rĂ©sulte et que l'on ressent Ă travers ce tableau montre la vision critique du peintre vis-Ă -vis des progrĂšs techniques et de la vie moderne de 1925 Exposition ExposĂ© en 1925, annĂ©e de sa crĂ©ation, lâĆuvre est achetĂ©e l'annĂ©e suivante par le collectionneur Stephen Carlton Clark . Il en fait don en 1930 au MoMa qui vient tout juste d'ouvrir ses portes[1]. Maison au bord de la voie ferrĂ©e y est toujours exposĂ© depuis. Entre le 11 octobre 2017 et le 5 mars 2018, le tableau est dĂ©placĂ© Ă l'occasion de l'exposition Ătre moderne Le MoMa Ă Paris[6] Ă la Fondation Louis Vuitton Ă Paris. RĂ©ception critique Lors de son exposition en 1925, le tableau est acclamĂ© par la critique. Il est le premier tableau de Hopper Ă ĂȘtre reconnu artistiquement et commercialement par des critiques qui saluent la puissance formelle et Ă©motionnelle de lâĆuvre[1]. Influence Alfred Hitchcock dit avoir Ă©tĂ© influencĂ© par ce tableau pour la reprĂ©sentation de sa maison dans Psychose[7] Il a inspirĂ© George Stevens pour GĂ©ant[8] DiffĂ©rentes versions de cette maison ont Ă©tĂ© créées pour le dessin animĂ© La Famille Addams[9]. Ce tableau Ă Ă©galement inspirĂ© les "Imagineers" concepteurs d'attraction de Disneyland pour l'architecture du Phantom Manor Ă Paris. Bibliographie en Joseph Anthony Ward, American Silences The Realism of James Agee, Walker Evans, and Edward Hopper, Transaction Publishers, 2010 [10] Notes et rĂ©fĂ©rences â a b et c Edward HOPPER â La maison au bord de la voie ferrĂ©e L'EncyclopĂ©die sonore des Arts Visuels », sur consultĂ© le 21 juin 2018 â a et b en Edward Hopper. House by the Railroad. 1925 MoMA », sur consultĂ© le 17 juin 2018 â Fre », sur â en House by the railroad », sur â en house by the railroad », sur â Exposition Etre moderne Le MoMA Ă Paris », sur consultĂ© le 21 juin 2018 â Peinture et littĂ©rature au XXe siĂšcle sur Google Livres â Art Direction and Production Design sur Google Livres â Maison prĂšs de la voie ferrĂ©e de Edward Hopper », sur consultĂ© le 17 juin 2018 â American Silences sur Google Livres Liens externes Ressource relative aux beaux-arts en Museum of Modern Art DerniĂšre mise Ă jour de cette page le 30/01/2022.
Lâartiste français Xavier Marabout a créé une sĂ©rie de peintures mettant en scĂšne le personnage de bande dessinĂ©e Tintin dans lâunivers du peintre amĂ©ricain Edward Hopper. Le site personnel de lâartiste explique que celui-ci utilise le regard voyeuriste et attentiste du peintre amĂ©ricain pour imaginer une vie sentimentale et tumultueuse Ă Tintin ». Lâartiste a peint dâautres sĂ©ries de mashups », des Ćuvres créées en empruntant et combinant des Ă©lĂ©ments dâĆuvres prĂ©existantes, en particulier une sĂ©rie mĂȘlant les personnages des dessins animĂ©s de Tex Avery et les Ćuvres de Pablo Picasso. Cette entreprise nâa pas Ă©tĂ© du goĂ»t de la sociĂ©tĂ© de droit belge Moulinsart, chargĂ©e par la fille dâHergĂ©, le crĂ©ateur de Tintin, dâexploiter lâĆuvre du dessinateur, dĂ©cĂ©dĂ© en 1983, et dont sa fille est lĂ©gataire universelle. La sociĂ©tĂ© Moulinsart avait mis lâartiste en demeure en 2015 de retirer de la vente ses Ćuvres mettant en scĂšne Tintin et lâavait sommĂ© de lui rendre compte du nombre de ces Ćuvres, de leur prix de vente et de leur pĂ©riode de commercialisation, afin de pouvoir apprĂ©cier son prĂ©judice. Lâartiste nâavait pas donnĂ© suite, citant lâexception de parodie. La sociĂ©tĂ© Moulinsart assigna alors lâartiste en 2017, au motif que ses Ćuvres mettant en scĂšne Tintin contrevenaient au droit dâauteur patrimonial dont la sociĂ©tĂ© Moulinsart est titulaire et quâelles portaient en outre atteinte au droit moral exercĂ© par la fille dâHergĂ©, qui demandait Ă ce titre une somme symbolique dâun euro. La sociĂ©tĂ© Moulinsart sollicita lâinterdiction de reproduction, de reprĂ©sentation, dâadaptation et dâexploitation des personnages créés par HergĂ©, sous astreinte de euros par infraction, et demanda en outre la destruction des toutes les Ćuvres sous astreinte. Le caractĂšre de Tintin est protĂ©gĂ© par le droit dâauteur Le tribunal judiciaire de Rennes souligna dans son jugement du 10 mai dernier TJ Rennes, 10 mai 2021, n° 17/04478, que les personnages illustrant les bandes-dessinĂ©es peuvent ĂȘtre regardĂ©s en eux-mĂȘmes comme des Ćuvres protĂ©gĂ©es distinctes de lâĆuvre originelle ». Le dĂ©fendeur a bien repris des Ă©lĂ©ments du personnage de Tintin, tel le personnage de Tintin lutin, garçon roux au visage ovale, avec une houppette et porteur dâun pantalon de golfe », qui sont reproduits dans les mashups, mais les personnages sont clairement attribuĂ©s Ă lâĆuvre dâHergĂ© » par le dĂ©fendeur et par tout public nĂ©cessairement baignĂ© dans cet univers créé par HergĂ© ». Le tribunal rappela que Tintin est connu dans le monde entier, que les albums dâHergĂ© ont Ă©tĂ© vendus Ă 230 millions dâexemplaires, citant le magazine LâExpress selon lequel Tintin est aussi connu que JĂ©sus Christ et les Beatles rĂ©unis». Le tribunal conclut que les personnages créés par HergĂ© sont originaux et protĂ©gĂ©s par le droit dâauteur. Le caractĂšre de Tintin créé par le dĂ©fendeur est Ă©galement protĂ©gĂ© par le droit dâauteur Bien quâil soit suffisamment Ă©tabli, selon le tribunal judiciaire, que le personnage créé par le dĂ©fendeur est inspirĂ© de lâĆuvre dâHergĂ©, le dĂ©fendeur a usĂ© de son propre gĂ©nie crĂ©atif » pour faire de Tintin un homme adulte, distinct du Tintin créé par HergĂ©, et qui constitue un personnage original en ce quâil est rattachĂ© Ă son auteur dont lâĆuvre est caractĂ©risĂ©e par la ligne claire ». Lâexception de parodie Le dĂ©fendeur ne contestait pas, du reste, sâĂȘtre inspirĂ© et avoir reproduit le personnage sans autorisation de la sociĂ©tĂ© Moulinsart, mais invoqua lâexception de parodie en dĂ©fense. Lâarticle de la Directive 2001/29 du 22 mai 2001 Directive SociĂ©tĂ© de lâinformation » donne aux Ătats membres la facultĂ© de prĂ©voir des exceptions au droits dâauteur, dont la parodie. En France, lâarticle 4° du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle dispose que lâauteur dâune Ćuvre ne peut interdire la parodie, le pastiche et la caricature, compte tenu des lois du genre ». Le tribunal judiciaire rappela que lâexception de parodie garantit la libertĂ© dâexpression des artistes, et que ce principe a valeur constitutionnelle. Le juge doit vĂ©rifier quâil existe un juste Ă©quilibre entre la libertĂ© dâexpression de lâartiste et les droits de lâauteur dont les Ćuvres originales ont inspirĂ© le parodiste. La parodie doit permettre lâidentification immĂ©diate de lâĆuvre parodiĂ©e La Cour de Justice de lâUnion EuropĂ©enne avait dĂ©fini, dans son arrĂȘt Deckmyn c. Vandersteen, C-201/13, la parodie comme ayant ⊠pour caractĂ©ristiques essentielles, dâune part, dâĂ©voquer une Ćuvre existante, tout en prĂ©sentant des diffĂ©rences perceptibles par rapport Ă celle-ci, et, dâautre part, de constituer une manifestation dâhumour ou une raillerie ». Le pastiche se distingue de la caricature, selon la jurisprudence de la Cour de cassation, en ce quâ il est dans les lois du genre de [la caricature], qui se distingue en cela du pastiche, de permettre lâidentification immĂ©diate de lâĆuvre parodiĂ©e » Cass. Civ 1Ăšre, 12 janvier 1988, La parodie doit permettre lâidentification immĂ©diate de lâĆuvre parodiĂ©e. Selon le tribunal judiciaire, tel est manifestement le cas en lâespĂšce en ce que les personnages se rattachant aux albums dâHergĂ© et reproduits dans les travaux [du dĂ©fendeur] sâidentifient sans peine ». Le tribunal judiciaire nota que le dĂ©fendeur signe ses Ćuvres, de sorte que lâobservateur mĂȘme trĂšs moyennement attentif ne peut se mĂ©prendre lorsquâil regarde un travail [du dĂ©fendeur] sur lâauteur de la peinture ou de la reproduction de cette peinture ». Selon le tribunal, le premier regard du spectateur porte sur un ensemble Ă©voquant lâĆuvre dâHopper, oĂč apparait Tintin, ce qui Ă©tablit une distanciation suffisante » avec lâĆuvre DâHergĂ©, qui ne peut ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme dominante ». Le tribunal judiciaire souligne en outre que le support de lâĆuvre parodique, un tableau acrylique, est diffĂ©rent de la bande dessinĂ©e. La composition des Ćuvres parodiques Ă©voque certes lâĆuvre dâHergĂ©, mais Ă©galement celle dâEdward Hopper, qui est assez diffĂ©rente de celle dâHergĂ© ». En effet, le dĂ©fendeur prĂ©sente Tintin dans des situations oĂč il nâavait pas Ă©tĂ© placĂ© par HergĂ© situations Ă©rotiques ou du moins amoureuses, assis hĂ©bĂ©tĂ© au bord dâune voie ferrĂ©e, le front ensanglantĂ©, sans que ces reprĂ©sentations dĂ©nigrent ou avilissent lâĆuvre dâHergĂ©, puisquâelles nâont pas de caractĂšre pornographique. Les personnages ainsi pastichĂ©s se trouvent dans des situations qui leurs sont habituellement inconnues et oĂč ils apparaissent visiblement dĂ©placĂ©s ». Parodie et humour La parodie a Ă©galement un Ă©lĂ©ment moral, lâhumour ou la raillerie, et il faut pour cette exception soit Ă©tablie que lâauteur de la parodie ait eu une intention humoristique. Le tribunal judiciaire cite plusieurs articles de presse qui avait notĂ© le caractĂšre humoristique des Ćuvres parodique et cette intention humoristique est Ă©galement ressentie par le tribunal qui constate que lâĆuvre austĂšre dâHergĂ© [est] rĂ©interprĂ©tĂ©e dans un sens plus animĂ©, plus vivant par lâinclusion de personnages et de vĂ©hicules notamment issus de lâĆuvre dâEdward Hopper qui viennent y vivre une relation sans doute teintĂ©e dâaffection et dâattirance sexuelle ». Le tribunal note en outre que lâincongruitĂ© de la situation au regard de la sobriĂ©tĂ© sinon la tristesse habituelle des Ćuvres dâHervĂ© » est humoristique, ainsi que lâinclusion de personnages fĂ©minins, alors que lâunivers de Tintin nâen comporte que trĂšs peu, et toutes peu sĂ©duisantes, de la Castafiore Ă sa femme de chambre Irma. Edward Hopper et non HergĂ© comme source dâinspiration Le tribunal nota Ă©galement que les titres des Ćuvres parodiques Ă©voquent les tableaux dâEdward Hopper dont ils sâinspirent, tel Rupture Ă Cap Cop, qui Ă©voque Cape Cod Evening, oĂč Milou remplace le Border Collie, Tintin lâhomme assis au seuil de sa maison typique de la Nouvelle Angleterre, et une jeune femme en tailleur bleu cintrĂ© remplace la femme entre deux Ăąges quâavait peint Hopper. Le tribunal estima ainsi quâil nây avait aucun risque de confusion, et que la premiĂšre source dâinspiration [du dĂ©fendeur] est celle du peintre amĂ©ricain. » Il conclut que lâinspiration artistique tient toujours compte des Ćuvres prĂ©cĂ©dentes, avec parfois des imitations, des reproductions, lesquelles ne peuvent ĂȘtre interdites par principe, au cas dâespĂšce les citations sont claires, le risque de confusion est nul, lâexception de parodie est parfaitement recevable et fondĂ©e » et dĂ©bouta les demandeurs de leurs demandes. Dans une affaire similaire, Ă propos de courts romans formant la collection des aventures de Saint-Tin et de son ami Lou », la Cour dâAppel de Paris avait confirmĂ© en fĂ©vrier 2011 une dĂ©cision du TGI de Paris qui avait a accueilli lâexception de parodie et rejetĂ© lâaction en contrefaçon formĂ©e par la sociĂ©tĂ© Moulinsart et la fille dâHergĂ© CA Paris, PĂŽle 5, 2Ăšme ch., 18 fĂ©vrier 2011. La trame des romans Ă©tait similaire Ă celle des albums de Tintin, mais uniquement en ce que Saint-Tin combattait le crime aux quatre coins du monde en compagnie de ses amis. Leurs prologues, Ă©pilogues et intrigues diffĂ©raient des albums de Tintin et ainsi, tout en se nourrissant de lâĆuvre dâHergĂ©, [ces romans] sav[aient] sâen distancier suffisamment pour Ă©viter tout risque de confusion, ne serait-ce que par la forme romanesque adoptĂ©e et les intrigues originales quâils dĂ©crivent ». Les romans Ă©taient parodiques puisque leurs titres Le Crado pince fort, Le vol des 714 porcineys⊠et ainsi le propos parodique [Ă©tait] dâemblĂ©e perçu Ă la lecture du titre et Ă la vue des couverture, tous deux renseignant immĂ©diatement sur la volontĂ© des auteurs de travestir et de dĂ©tourner les images avec le dessein de faire rire », dâautant plus que les romans recouraient Ă de nombreux calembours et jeux de mots. Voir Ă©galement ce billet Ă©crit sur ce blog en 2013 sur un autre cas encore dâune parodie de Tintin. Image is courtesy of Flickr user Judith Doyle under a CC BY-ND license.
EdwardHopper Les 100 Plus Beaux Chefs D Oeuvre Lio. Maison prĂšs de la voie ferrĂ©e edward hopper frida kahlo et edward hopper se reoignent dans le rĂ©alisme quand hopper fait son cinĂ©ma le point rĂȘver Ă©veillĂ© avec le peintre edwardBonjour, Voici ma question Quel est le lien entre le tableau "maison au bord de la voie ferrĂ©e"et le rĂ©alisme merci de me rĂ©pondre Lista de comentĂĄrios hirondelle52 RĂ©ponse Explications Bonjour, Le tableau est rĂ©alisĂ© lĂ©gĂšrement en contre bas des voies, comme le verrait un passant. nonikalash ExplicationsL'angle de vue dans laquelle Maison au bord de la voie ferrĂ©e a Ă©tĂ© peint et trĂšs semblable Ă ce que pourrait voir une personne passant aux alentours de la maison ce qui fait le rĂ©alisme de cette peinture More Questions From This User See AllMAISONAU BORD DE LA VOIE FERREE Hopper Edward est nĂ© en AmĂ©rique, Ă Nyack, Ă quelques kilomĂštres de New York, le 22 juillet 1882. Câest un graveur et peintre rĂ©aliste du XIXĂšme siĂšcle. Il peint le plus souvent des Ćuvres qui reprĂ©sentent lâangoisse des hommes, la solitude, nous faisant nous interroger sur la rĂ©alitĂ© et lâillusion. Download Free PDFDownload Free PDFHopper en hĂ©ritage Dialogues poĂŻĂ©tiques autour du manque, 2019HĂ©lĂšne VirionThis PaperA short summary of this paper34 Full PDFs related to this paper
EdwardHopper, nĂ© le 22 juillet 1882 Ă Nyack dans lâĂtat de New York et mort le 15 mai 1967 Ă New York, est un peintre et graveur amĂ©ricain. Exerçant essentiellement son art Ă New York, oĂč il avait son atelier, il est considĂ©rĂ© comme lâun des reprĂ©sentants du rĂ©alisme amĂ©ricain, parce quâil peignait la vie quotidienne des classes moyennes.
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