Traductionsen contexte de "que la vérité existe et" en français-anglais avec Reverso Context : Il dit que la vérité existe et peut être dite fièrement et le pays lui répond. L’illusion de la vérité est le mécanisme par lequel nous finissons par croire que quelque chose est vrai alors qu’il ne l’est pas. En fait, non seulement nous finissons par croire. Nous défendons également notre point de vue en écartant toute possibilité de le considérer comme de l’illusion de la vérité se produit parce qu’il existe une défaillance dans notre manière de traiter la réalité. Nous avons tendance à qualifier ce qui nous est le plus familier comme étant vrai. Dès lors, tout ce qui se réfère à quelque chose que nous connaissons déjà nous semble plus expérience a été réalisée à ce sujet en 1977. 60 déclarations furent présentées à un groupe de volontaires. Il leur fut demandé de dire lesquelles étaient vraies ou fausses. Le même exercice fut répété successivement tous les 15 jours. Il fut alors constaté que les personnes considéraient comme vraies les déclarations qui leur avaient été faites auparavant, indépendamment du fait du caractère raisonnable ou non de ces dernières.“Un mensonge n’aurait aucun sens si la vérité n’était pas perçue comme dangereuse.” -Alfred Adler-L’illusion de la vérité et la mémoire impliciteApparemment, ce mécanisme d’illusion de la vérité fonctionne grâce à l’existence de la “mémoire implicite“. Dans l’expérience présentée ci-dessus, les participants ont qualifié de vraies les déclarations qu’ils avaient vues auparavant. Et ce, malgré le fait qu’il leur fut clairement précisé qu’elles étaient fausses. Simplement, dans la mesure où ils les percevaient comme “familières”, elles leur semblaient de la vérité se produit sans la collaboration de la mémoire explicite et consciente. Il s’agit d’un résultat direct de la mémoire implicite, un type de mémoire qui utilise les expériences antérieures pour l’exécution de tâches. Une stratégie de notre esprit pour économiser ses mémoire implicite est présente, par exemple, lorsque nous laçons nos chaussures. Au début, nous apprenons comment le faire et ensuite, nous effectuons cette opération mécaniquement. Si nous devons nouer quelque chose de différent des chaussures, nous utiliserons probablement la même technique, même s’il ne s’agit pas de la meilleure. En d’autres termes, nous avons tendance à créer des modèles pour les appliquer à différentes stratégie mentale s’applique également à des réalités plus abstraites telles que les idées, à l’origine de l’illusion de la vérité. Cela signifie que nous sommes davantage susceptibles de croire en une idée ou une façon de penser si elle est familière et coïncide avec les expériences que nous avons vécues. Bien que ce sentiment de familiarité ne doit pas nécessairement être lié à la véracité. D’où le danger et le risque de prendre des décisions de la vérité et la manipulationL’illusion de la vérité a de nombreux effets problématiques. Parmi eux, le fait de rendre réel le vieux slogan postulé par les nazis, lequel dit “Un mensonge répété mille fois devient une vérité“. Une déclaration répétée, même si elle est fausse, tend à être perçue comme vraie. La plupart des personnes n’ont aucun intérêt, et parfois pas les outils, pour vérifier si quelque chose est vrai ou réalité, l’illusion de la vérité est un raccourci que prend l’esprit pour éviter de faire plus d’efforts que nécessaire. Si nous devions examiner tout ce que nous pensons et faisons, nous finirions épuisés en moins d’une heure. Pourquoi est-il préférable de se lever le matin et non la nuit ? Devrions-nous prendre le petit-déjeuner ou plutôt ne rien manger au début de la journée ? Ce que nous mangeons au petit déjeuner, est-il adéquat ou le faisons-nous simplement par habitude ?Il est impossible de tout soumettre à l’évaluation, à rechercher systématiquement la vérité. C’est pourquoi notre cerveau nous aide et organise simplement des informations sur la base de ce que nous avons appris. Il s’agit d’une stratégie destinée à faciliter nos performances dans le logique n’est pas annuléeUn aspect important est que l’illusion de la vérité, aussi forte soit-elle, n’annule pas le raisonnement logique. Cela signifie que nous sommes toujours en mesure de mettre en oeuvre des processus qui nous permettent de comprendre ce qui est faux et ce qui est signifie également que le pouvoir de manipulation sur notre esprit est limité. Il ne nous piège à travers l’illusion de la vérité que lorsque nous décidons de ne pas utiliser d’autres facultés supérieures de raisonnement. Si nous décidons de les utiliser, l’illusion de la vérité s’en trouve nous pouvons le constater, il serait intéressant de nous interroger sur les aspects les plus importants de la réalité, de nous demander pourquoi nous croyons ce que nous croyons. Pensons-nous que quelque chose est vrai parce que nous l’avons entendu plusieurs fois ou est-ce vrai car nous avons suffisamment de preuves pour y croire ?Cela pourrait vous intéresser ... LesChemins de la philosophie Dissertation : Peut-on soutenir que la vérité n'existe pas ? Dans le Deutéronome nous voyons la joie de la loi » la loi non pas comme une entrave, comme quelque chose qui nous ôte la liberté, mais comme un cadeau et un don. Quand les autres peuples se tourneront vers ce grand peuple, c’est ce que nous dit Moïse, alors ils diront Quel peuple sage ! Ils admireront la sagesse de ce peuple, l’équité de la loi et la proximité de Dieu qui est à ses côtés et qui lui répond quand il est appelé. Telle est l’humble joie d’Israël recevoir un don de Dieu. Cela est différent du triomphalisme, de l’orgueil pour ce qui vient de soi-même Israël n’est pas orgueilleux de sa propre loi, comme Rome pouvait l’être du droit romain comme un don à l’humanité, comme peut-être la France l’est du Code Napoléon », comme la Prusse du Preussisches Landrecht », etc. — des œuvres du droit que nous reconnaissons. Mais Israël le sait cette Loi il ne l’a pas faite lui-même, elle n’est pas le fruit de son génie, elle est un don. Dieu lui a montré ce qu’est le droit. Dieu lui a donné la sagesse. La Loi est la sagesse. La sagesse est l’art d’être des hommes, l’art de pouvoir bien vivre et de pouvoir bien mourir. Et l’on ne peut bien vivre et mourir que lorsqu’on a reçu la vérité et quand la vérité nous indique le chemin. Etre reconnaissants pour le don que nous n’avons pas inventé, mais qui nous a été offert en don, et vivre dans la sagesse ; apprendre, grâce au don de Dieu, à être des hommes de manière droite. L’Évangile nous montre cependant qu’il existe également un danger — comme il est dit dans le Deutéronome n’ajoute rien, n’enlève rien ». Il nous enseigne que, avec le passage du temps, au don de Dieu se sont ajoutées des suppléments, des œuvres, des coutumes humaines, qui en se développant cachent ce qui est propre à la sagesse donnée par Dieu, devenant ainsi un véritable joug qu’il faut briser, ou bien qui conduisent à l’orgueil c’est nous qui l’avons inventé ! Nous lisons dans la Lettre de Jacques Vous êtes engendrés au moyen d’une parole de vérité », qui de nous oserait jouir de la vérité qui nous a été donnée ? Une question vient immédiatement à l’esprit mais comment peut-on détenir la vérité ? C’est de l’intolérance ! L’idée de vérité et d’intolérance aujourd’hui ont pratiquement fusionné entre elles, et ainsi nous n’osons plus du tout croire à la vérité ou parler de la vérité. Elle semble être lointaine, elle semble quelque chose auquel il vaut mieux ne pas avoir recours. Personne ne peut dire je détiens la vérité — telle est l’objection qui nous anime — et, en effet, personne ne peut détenir la vérité. C’est la vérité qui nous possède, elle est quelque chose de vivant ! Elle ne nous appartient pas, mais nous somme saisis par elle. Ce n’est que si nous nous laissons guider et animer par elle, que nous restons en elle, ce n’est que si nous sommes avec elle et en elle, pèlerins de la vérité, qu’elle est alors en nous et pour nous. Je pense que nous devons apprendre à nouveau cette manière de ne pas détenir la vérité ». De même que personne ne peut dire j’ai des enfants — ils ne nous appartiennent pas, ils sont un don, et comme don de Dieu ils nous sont donnés pour une tâche — ainsi nous ne pouvons pas dire je détiens la vérité, mais la vérité est venue vers nous et nous pousse. Nous devons apprendre à nous laisser animer par elle, à nous laisser conduire par elle. Et alors elle brillera à nouveau si elle-même nous conduit et nous compénètre. Benoit XVI, le 2 septembre 2012 – Homélie de la Messe Voir toutes les questions Eneffet, nous savons que toutes les vérités sont potentiellement dangereuses. La vérité, généralement, dérange, elle bouleverse les habitudes de pensée, les croyances rassurantes, l’ordre établi. Pensons par exemple à l’avènement du christianisme perçu comme une menace pour Rome. Pensons aux artistes :poètes, peintres

Question Y a-t-il une vérité absolue / universelle ? Réponse Pour comprendre s’il y a une vérité absolue / universelle, commençons par définir ce qu’est la vérité. D’après le dictionnaire, il s’agit de la conformité aux faits ou à la réalité ; une affirmation prouvée ou acceptée comme vraie ». Certaines personnes affirment que la vérité n’existe pas, mais qu’il n’y a que des perceptions et opinions. D’autres défendent au contraire qu’il doit y avoir une vérité absolue. Une position est qu’il n’y a pas d’absolus qui définissent la vérité. Ses partisans croient que tout est relatif et que la vérité n’existe donc pas réellement. De ce fait, il n’y a en fin de compte pas d’absolus moraux ni aucune autorité pour décider si une action est positive ou négative, bonne ou mauvaise. On aboutit donc à une éthique de situation », l’idée selon laquelle le bien et le mal dépendent de la situation. Rien n’est juste ni faux, mais ce qui semble juste à un moment donné et dans une situation donnée l’est. Une telle éthique de situation produit une mentalité et un mode de vie subjectifs, axés autour du sentiment, aux effets dévastateurs sur la société et les personnes. C’est le post-modernisme, qui ouvre la voie à une société dans laquelle toutes les valeurs, croyances, modes de vie et vérités ont la même validité. La position opposée est qu’il y a des vérités et normes absolues, qui définissent ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Par conséquent, nos actes peuvent être jugés bons ou mauvais en fonction de ces normes absolues. S’il n’y avait ni vérité, ni normes absolues, ce serait le chaos. Prenons la loi de la gravité, par exemple si elle n’était pas absolue, nous ne serions pas certains de pouvoir nous tenir debout ou de nous asseoir à un endroit donné avant d’avoir essayé. Ou encore, si 2+2 ne faisaient pas toujours 4, les effets sur la civilisation seraient désastreux. Les lois scientifiques et physiques n’auraient plus de sens et le commerce serait impossible. Quelle pagaille ce serait ! Heureusement, 2+2=4. La vérité absolue existe et elle peut être découverte et comprise. L’affirmation-même qu’il n’existe pas de vérité absolue est illogique. Pourtant, aujourd’hui, il en est beaucoup qui adhèrent à un relativisme culturel niant toute vérité absolue. Une bonne question à poser à ceux qui prétendent qu’il n’y a pas de vérité absolue est En êtes-vous absolument certain ? » S’ils répondent oui, il s’agit d’une affirmation absolue, qui implique donc l’existence de vérités absolues. Cela revient à dire que l’absence de vérité absolue est la seule et unique vérité absolue. L’idée selon laquelle il n’y a aucune vérité absolue et universelle pose aussi d’autres problèmes logiques, en plus de la contradiction interne. D’abord l’homme, ayant un esprit fini et une connaissance limitée, ne peut logiquement faire d’affirmation négative absolue. Par exemple, on ne peut en toute logique affirmer qu’il n’existe pas de Dieu même si beaucoup de personnes le font, car pour cela, il faudrait détenir une connaissance absolue de l’univers entier, d’un de ses confins à l’autre. À partir de là, la seule affirmation rationnelle possible serait Avec ma connaissance limitée, je ne crois pas qu’il y ait de Dieu. » Un autre problème est que la négation de toute vérité absolue / universelle ne correspond pas à ce que notre conscience, notre expérience et notre observation du monde réel nous révèle. Si la vérité absolue n’existe pas, alors rien n’est fondamentalement bon ou mauvais. Ce qui est bon » pour vous ne l’est pas forcément pour moi. Si ce relativisme semble séduisant de prime abord, il implique que n’importe qui fixe ses propres règles de vie et fasse ce qui lui semble bon. À partir de là, il est inévitable que les règles des uns entrent en conflit avec celles des autres. Que se passerait-il, par exemple, si je décrétais juste » en ce qui me concerne de ne pas respecter les feux tricolores, même quand ils sont rouges ? Je mettrais en danger la vie d’autrui. Ou encore, je pourrais estimer juste de vous voler, mais vous ne seriez pas d’accord. Nos notions du bien et du mal seraient clairement en désaccord. S’il n’y avait ni vérité absolue, ni normes morales valables pour tous, alors on ne pourrait être sûr de rien. Tout un chacun serait libre de faire ce qu’il veut tuer, violer, voler, mentir, tricher, etc., sans personne pour le condamner. Il n’y aurait ni gouvernement, ni lois, ni justice, puisqu’on ne pourrait pas même déterminer que la majorité a le droit de déterminer et d’imposer ses normes à la minorité. Un monde sans absolus serait le monde le plus horrible qu’on puisse s’imaginer. D’un point de vue spirituel, on aboutit à une confusion religieuse il n’y a aucune seule vraie religion et il n’est pas possible de se mettre en règle avec Dieu. Toutes les religions seraient donc fausses, puisqu’elles ont toutes des revendications absolues sur la vie après la mort. Il n’est pas rare aujourd’hui de trouver des gens qui tiennent deux religions diamétralement opposées pour également vraies », même si elles affirment toutes deux être le chemin exclusif vers le ciel tout en enseignant des vérités » totalement opposées. Ceux qui ne croient pas en une vérité absolue ignorent ces revendications et adhèrent à un universalisme tolérant qui affirme que toutes les religions se valent et qu’elles mènent toutes au ciel. Les partisans de cette vision du monde s’opposent avec véhémence aux chrétiens évangéliques qui croient que, comme le dit la Bible, Jésus est le chemin, la vérité et la vie », qu’il est la manifestation ultime de la vérité et le seul chemin qui mène au ciel Jean La tolérance est devenue la vertu cardinale de notre société post-moderne, le seul absolu. Par conséquent, l’intolérance est le seul mal. Toute croyance dogmatique, surtout en une vérité absolue, est considérée comme intolérante, le péché ultime. Ceux qui nient l’existence de toute vérité absolue disent souvent que chacun peut croire ce qu’il veut, tant qu’il n’essaie pas d’imposer ses croyances aux autres. Mais cette position est en elle-même une croyance absolue, que ceux qui la défendent essaient clairement d’imposer aux autres. Ils définissent une norme comportementale et insistent que tous la suivent, violant ainsi leurs propres principes par une nouvelle auto-contradiction. Ceux qui défendent cette position ne veulent tout simplement pas être tenus pour responsables de leurs actes. S’il y a une vérité absolue, il y a des valeurs morales absolues, et nous sommes donc tenus à les respecter. La négation de toute vérité absolue / universelle et le relativisme culturel qui en découle sont la conséquence logique de l’adhésion de la société à la théorie de l’évolution comme explication de l’origine de la vie. Si l’évolution naturaliste est vraie, alors la vie n’a pas de sens, nous n’avons aucune raison d’être et il n’y a pas de valeurs morales absolues. Dès lors, l’homme est libre de mener sa vie comme il l’entend et n’est responsable d’aucun de ses actes. Pourtant, quelle que soit la virulence avec laquelle les hommes pécheurs nient l’existence de Dieu et de la vérité absolue, ils ne s’en tiendront pas moins tous un jour en jugement devant lui. La Bible déclare car ce que l’on peut connaître de Dieu est évident pour eux, puisque Dieu le leur a fait connaître. En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient depuis la création du monde, elles se comprennent par ce qu’il a fait. Ils sont donc inexcusables, puisque tout en connaissant Dieu, ils ne lui ont pas donné la gloire qu’il méritait en tant que Dieu et ne lui ont pas montré de reconnaissance ; au contraire, ils se sont égarés dans leurs raisonnements et leur cœur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. Ils se vantent d’être sages, mais ils sont devenus fous. » Romains Y a-t-il des preuves de l’existence d’une vérité absolue ? Oui. Il y a d’abord la conscience humaine, qui nous dit que le monde devrait fonctionner d’une certaine manière, que certaines choses sont bonnes et d’autres mauvaises. Elle nous convainc que la souffrance, la famine, le viol, la souffrance et la méchanceté sont des choses mauvaises, mais que l’amour, la générosité, la compassion et la paix sont de bonnes choses auxquelles nous devons aspirer, et ce universellement, à toutes les époques et dans toutes les cultures. La Bible décrit le rôle de la conscience humaine en Romains Quand des non-Juifs qui n’ont pas la loi font naturellement ce que prescrit la loi, ils se tiennent lieu de loi à eux-mêmes, bien qu’ils n’aient pas la loi. Ils montrent que l’œuvre de la loi est écrite dans leur cœur, car leur conscience en rend témoignage et leurs pensées les accusent et les défendent tour à tour. C’est ce qui paraîtra le jour où, conformément à l’Évangile que je prêche, Dieu jugera par Jésus-Christ le comportement secret des hommes. » La seconde preuve de l’existence d’une vérité absolue est la science. Il s’agit tout simplement de la poursuite de la connaissance, de l’étude de ce que nous savons et de la quête d’un plus grand savoir. Or donc, toute recherche scientifique est forcément fondée sur la croyance en des vérités objectives dans ce monde, qui peuvent être découvertes et prouvées. Sans absolus, qu’y aurait-il à étudier ? Comment saurions-nous que les découvertes scientifiques sont vraies ? En fait, les lois mêmes de la science se fondent sur l’existence d’une vérité absolue. La troisième preuve de l’existence d’une vérité absolue / universelle est la religion. Toutes les religions du monde visent à définir la vie et à lui donner un sens. Elles naissent de l’aspiration de l’homme à quelque chose de plus que la simple existence. Par la religion, l’homme cherche Dieu, un espoir pour l’avenir, le pardon des péchés, la paix au milieu de ses luttes et des réponses à ses interrogations les plus profondes. La religion est la preuve que l’humanité n’est pas qu’un animal évolué, mais qu’il a été créé avec un dessein plus élevé par un Créateur personnel qui a mis en lui le désir de le connaître. Or, s’il y a un Créateur, alors il devient la norme de la vérité absolue et c’est son autorité qui l’établit. Heureusement pour nous, ce Créateur existe et il nous a révélé sa vérité par sa Parole, la Bible. La connaissance de la vérité absolue / universelle n’est possible que par une relation personnelle avec celui qui affirme être la Vérité Jésus-Christ. Jésus a déclaré être le seul chemin, la seule vérité et la seule vie Jean Le fait que la vérité absolue existe nous dirige vers la vérité de l’existence d’un Dieu souverain, qui a créé les cieux et la terre et qui s’est révélé à nous afin que nous le connaissions personnellement par son Fils Jésus-Christ. C’est la vérité absolue. English Retour à la page d'accueil en français Y a-t-il une vérité absolue / universelle ?

Lidée de « détenir » la vérité n’est pas une expression de fidélité catholique. Au contraire: c’est une hérésie, peut-être la pire parce que la plus tordue. La vérité n’est pas une chose, que l’on pourrait détenir. C’est une Personne, qu’il faut suivre. Hors contexte, son affirmation que « personne ne détient la

N’est-ce pas la question des politiques qui s’occupent des choses sérieuses les clameurs de la foule pour ne pas entendre la parole de NSJC Je suis venu rendre témoignage à la Vérité ». Si la vérité n’existe pas alors tout est permis…rien ne peut s’opposer à l’arbitraire du plus fort ! Jean Ousset dans son livre Pour qu’Il règne » répond de façon lumineuse. Voici un extrait tiré de cet ouvrage aux pages 24 et suivantes L’ENNEMI IRREDUCTIBLE LE LIBERALISME traduire RELATIVISME» Jean, 18, 38 Pilate lui dit Qu’est-ce que la vérité ? » Ayant dit cela, il sortit de nouveau à la rencontre des Juifs, et il leur déclara Moi, je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. » » Dans les perspectives de ce règne de vérité, de ce règne de l’enseignement de l’Eglise, le grand, l’irréductible ennemi est le relativisme, puisque c’est là une erreur qui s’en prend à la notion même de vérité et qui, en quelque sorte, la dissout… Qu’est-ce que la vérité, pour un libéral relativiste ? Quid est Veritas ? » On le voit, c’est spontanément que la formule de Pilate monte aux lèvres dès que l’on évoque le relativiste. Et, avec l’orgueil bien connu de cette ignorance qui se prend pour une certitude, Pilate n’attendra même pas la réponse de Jésus. Et Pilate de s’écrier Qu’est-ce que la vérité ? Et, disant cela, il sortit de nouveau vers les Juifs… » Jésus, dès lors, gardera le silence. La vérité, en effet, ne se manifeste pas à ceux qui, par principe, refusent de croire même à sa possibilité. Elle exige ce minimum d’humilité que devrait impliquer la conscience de l’ignorance. Aussi, quand, plus tard, Pilate reviendra vers Jésus, saint Jean nous dit qu’il ne lui sera fait aucune réponse. Quid est veritas ?… » Depuis vingt siècles, la formule n’a pas changé. Quid est veritas ?… » Ce qui signifie Encore un qui y croit ! Encore un illuminé, un pauvre fou ! Un pauvre fou. Tout à l’heure, en effet, c’est la robe blanche des fous qu’Hérode fera jeter sur Jésus. Hérode et Pilate se réconcilieront là-dessus… Tous deux sont relativistes. Hérode, c’est le relativisme crapulard de la débauche ; Pilate, c’est le relativisme des gens corrects et qui aiment se laver les mains » respecter les formes. Pilate, c’est le relativisme des gens réputés honnêtes. Pilate, c’est le chrétien-relativiste qui, au fond, cherche à sauver Jésus, mais qui commence par le faire flageller avant de l’envoyer à la mort, devant le tumulte croissant que sa démagogie autant que son manque de caractère n’auront pas su arrêter. En fait et jusqu’à la fin des temps, Jésus continue à être torturé, ridiculisé, mis à mort, de Pilate en Hérode et d’Hérode en Pilate… On le conçoit, Pilate est un homme » engagé » ! En plein dans l’action ! Et qui a tout autre chose à faire que d’écouter un doctrinaire ! Iterum exivit »… Iterum » de nouveau. Car, il y était déjà, bien sûr ! Il s’est lancé depuis longtemps ! Avant d’agir, il n’a pas perdu son temps à réfléchir aux responsabilités, pourtant redoutables, de sa fonction. Voyons ! On ne refuse pas semblable situation ! Pilate se retourne de nouveau, vers le problème concret du moment. Vers ces Juifs qui sont là, sous le balcon, et qui crient… Voilà ce qui est autrement important que les propos de ce Jésus. Voilà ce qui prime tout. Mais, et c’est là son péché, sans avoir pris la peine d’attendre et d’entendre la réponse et les directives du Seigneur. Un peu plus tard, lorsque, dans son délire, la foule réclamera la mort de Jésus, le dernier argument, qui est aussi l’explication suprême, sera lancé à Pilate quia Filium Dei se fecit… parce qu’il s’est fait Fils de Dieu… » Fils de Dieu ! Voilà la clef de toutes ces énigmes sur lesquelles Pilate bute depuis un long moment… Cette fois, il veut savoir D’où es-tu ?… » Autrement dit Qui es-tu ? Mais d’où viens-tu, homme extraordinaire ? Dis-moi quel est ton mystère afin que je comprenne, enfin. Jésus garde le silence. Après tout ce qu’Il a dit, après cette flagellation que Pilate vient d’ordonner, la Vérité n’a pas à répondre à de telles injonctions. Devant le silence de ce prisonnier inouï, la crainte de Pilate décuple. Il a peur, comme tous les faibles. Et, comme tous les faibles qui ont peur, il va non, certes, faire sentir sa puissance à cette foule hurlante en donnant l’ordre aux soldats de la disperser. Non ! Il va crâner » devant cet homme enchaîné et apparemment impuissant. Il va menacer le Juste au nom de ce qu’il croit être son autorité » Cette fois, Jésus va répondre et, précisément, par respect pour cette autorité » de Pilate, qui est l’autorité même du pouvoir civil. Jésus va répondre comme il a répondu au Grand Prêtre invoquant le nom de Dieu vivant ». Pouvoir spirituel et pouvoir temporel notre Seigneur a voulu nous laisser cet exemple de parfaite soumission aux deux pouvoirs institués par Dieu. Tu ne me parles pas ? Ne sais-tu pas que j’ai pouvoir de te crucifier et pouvoir de te relâcher ? » Et Jésus de répondre Tu n’aurais sur moi aucun pouvoir s’il ne t’avait été donné d’en haut ». Tu n’aurais… » toi…, Pilate… C’est-à-dire toi, homme politique quelconque investi d’une parcelle d’autorité…, qui que tu sois simple fonctionnaire, juge, député, ministre, gouverneur, prince ou roi…, tu n’aurais aucun pouvoir si tu ne l’avais reçu d’en haut, c’est-à-dire de Dieu, c’est-à-dire de Moi. Et, puisque ton pouvoir est un pouvoir politique, juridique, social, le seul fait que je vienne d’affirmer que ce pouvoir vient de Moi prouve, sans contestation possible, que la royauté que je revendique, bien que n’étant pas de ce monde, s’exerce quand même sur lui, sur les individus comme sur les nations. Et cela parce que je me dis Fils de Dieu ». Désormais, la leçon est complète qu’à travers Pilate, Jésus a voulu adresser aux politiques de tous les temps. Explication suprême qui couronne et confirme tout ce qui a été dit. A suivre Le service de la royauté sociale du Christ » est-il facultatif ? Pour se former et agir à l’école de Jean Ousset, lire Pour qu’il Règne », ouvrage historique de ceux qui veulent agir à contre courant » comme nous y invite le Pape François. Direla vérité à l’un et la refuser à d’autres est la porte ouverte à une absence totale de vérité dans nos échanges. D’autre part, la vérité n’est ni bonne, ni mauvaise en elle-même. C’est ce qu’on en fait et notre manière de la recevoir qui peuvent l’être. Au-delà de ces considérations quotidiennes, dire la
La vérité est un concept difficile à définir. Même si nous l'utilisons fréquemment. Et lui accordons beaucoup d'importance. Il semblerait que nous lui fassions confiance à chaque moment de chaque journée et qu'elle soit très "proche" de nous. Cependant, la vérité est difficile à définir. Car dès que vous pensez l'avoir découverte, un argument surgit. Et montre immédiatement des déficiences dans sa cet article, nous allons étudier la conception de la vérité. Selon la théorie de William James 1842-1910. James était un philosophe nord-américain. Aussi professeur de psychologie à l’Université d’Harvard. Et fondateur de la psychologie a défendu une conception humaniste et pratique de la vérité, enracinée dans l’expérience humaine. La conception de la vérité de James est encore l’une des conceptions les plus importantes qui soit, aussi bien pour la philosophie que pour d’autres disciplines. Elle facilite une définition humaniste de la vérité applicable à presque tous les et connaissanceJames a distingué deux façons de connaître les choses. D’un côté, l’individu pourrait savoir quelque chose de façon intuitive. A travers l’expérience directe. Comme lorsque l’on voit une feuille. Ou une table devant nous ce que James a décrit comme “l’étreinte directe” de l’objet par la pensée. Cependant, il existe une autre façon. Connaître quelque chose à travers “une chaîne externe” d’intermédiaires physiques ou mentaux qui connectent la pensée et les James soutenait que la forme de connaissance intuitive était l’appréhension directe. Tandis que la vérité pour la connaissance intuitive était une question de conscience directe dans le flux de l’expérience. En revanche, pour la connaissance conceptuelle ou représentative, savoir qu’une croyance était vraie signifiait “la soutenir à travers un contexte que le monde fournit”.Vérité et vérifiabilité utilitéPour James, la vérité n’est pas une propriété inhérente à l’idée. C’est un fait qui se produit dans l’idée. Selon sa vérifiabilité. Ainsi, la vérifiabilité pour William James est un sentiment d’harmonie et de progrès dans la succession d’idées et de idées vraies jouent un rôle fondamental. Elles constituent des outils très utiles pour l’individu, qui peut les utiliser pour se guider dans la réalité. Posséder ces idées est donc un bien pratique qui permet de satisfaire d’autres besoins vitaux. Pour James, le vrai est utile. Il introduit un bénéfice vital qui mérite d’être pragmatique de la véritéLa conception de la vérité de William James s’inscrit dans les théories pragmatiques de la vérité. Ces théories font partie des philosophies du pragmatisme. Les théories pragmatiques de la vérité ont été proposées pour la première fois par Charles Sanders Peirce, William James et John Dewey. Les caractéristiques communes de ces théories sont la confiance en la maxime pragmatique. En tant que moyen de préciser les sens de concepts difficiles comme la vérité. Par ailleurs, ils soulignent que la croyance, la certitude, la connaissance ou la vérité sont le résultat d’une version de la théorie pragmatique de William James se résume souvent par son affirmation. “Le vrai n’est que la ressource de notre façon de penser. Tout comme le droit n’est que la ressource de notre façon d’agir”. Il a voulu dire, à travers cette phrase, que la vérité est une qualité dont la valeur se confirme par son efficacité au moment d’appliquer des concepts à la pratique réelle par conséquent, “pragmatique”.La théorie pragmatique de James est une synthèse de la théorie de la correspondance de la vérité et de la théorie de la cohérence de la vérité, avec une dimension additionnelle. Ainsi, la vérité est vérifiable dans la mesure où les pensées et les affirmations correspondent aux choses a dit que tous les processus de vérité doivent conduire à la vérification directe des expériences sensibles. Il a aussi étendu sa théorie pragmatique bien au-delà de la vérifiabilité scientifique. Dans le domaine du mystique. Selon lui, “selon les principes pragmatiques, si l’hypothèse de Dieu est satisfaisante dans le sens le plus large du terme, alors elle est “vraie”.“La vérité, vous dira n’importe quel dictionnaire, est une propriété que possèdent certaines de nos idées elle consiste dans ce fait qu’elles sont d’accord », de même que l’erreur consiste dans ce fait qu’elles sont en désaccord », avec la réalité. Les pragmatistes et les intellectualistes s’entendent pour admettre cette définition comme une chose qui va de soi. Ils ne cessent de s’entendre qu’au moment où l’on soulève la question de savoir exactement ce que signifie le terme accord ». Et ce que signifie le terme réalité ». Lorsque l’on voit dans la réalité quelque chose avec quoi nos idées doivent s’accorder ».” -William James- Cela pourrait vous intéresser ...
\n \n\npeut on soutenir que la verité n existe pas

laplupart des pays dans le monde : c’est prohibé. Chacun, a donc le droit d’avoir sa culture, de disposer de sa vérité culturelle et de l’exprimer ainsi que de la pratiquer librement. Soutenir « à chacun sa vérité » est donc un acte permis par la loi, quelques sot sa culture, sa religion, son partie politique ou sa valeur morale,

Cinq choses que la science ne peut prouver La science a beaucoup aidé à améliorer la vie humaine sur cette terre. Nous devrions tous être très reconnaissants envers les scientifiques qui se dévouent à l’avancement de cette discipline, car nous en profitons beaucoup. Cependant, nous ne devons pas accorder à la science une autorité qui dépasse ses limites, en imaginant qu’elle puisse tout expliquer à elle seule. Nous oublions parfois que lorsque cela vient à la quête de la vérité, la méthode scientifique. La science a beaucoup aidé à améliorer la vie humaine sur cette terre. Nous devrions tous être très reconnaissants envers les scientifiques qui se dévouent à l’avancement de cette discipline, car nous en profitons beaucoup. Cependant, nous ne devons pas accorder à la science une autorité qui dépasse ses limites, en imaginant qu’elle puisse tout expliquer à elle seule. Nous oublions parfois que lorsque cela vient à la quête de la vérité, la méthode scientifique1 exige l’observation2 et l’expérimentation3. Ce ne sont pas toutes les formes de vérité qui peuvent se plier à de telles exigences. Voici quelques formes de vérité auxquelles la méthode scientifique ne peut s’appliquer 1 La vérité existentielle La méthode scientifique se fonde sur la prémisse que l’univers physique existe réellement et que nous pouvons nous fier à nos sens et à la logique pour découvrir les lois qui le régissent. Cependant, la science n’offre aucune façon de prouver que l’univers existe vraiment. Elle ne peut pas démontrer que tout ce que nous pensons être réel n’est pas simplement une illusion résultant de la manipulation d’un cerveau par des pulsions électriques un concept que nous trouvons dépeint dans les films La Matrice et Inception. La science ne peut pas non plus prouver que l’univers n’a pas été créé il y a cinq minutes de telle façon à ce qu’il donne l’illusion qu’il date de longtemps. De même, elle ne peut pas démontrer que tous nos souvenirs n’ont pas été implantés en nous au même instant. Nous présumons l’existence d’un univers physique géré par des lois naturelles en nous fondant sur la logique et sur nos sens; nous ne pouvons pas le prouver, de même que nous ne pouvons pas prouver qu’il n’existe pas. Cela dit, il est tout à fait rationnel de croire que l’univers que nous percevons existe réellement; en fait, c’est l’explication la plus simple et cohérente des faits qui se présentent à nous. 2 La vérité morale La science n’offre aucune façon de prouver qu’un acte tel que le viol est mal. Les scientifiques peuvent certes se prononcer sur les effets psychologiques et physiques du viol, mais il n’existe aucun test scientifique capable de discerner si quelque chose est mal ou bien. La science se limite à la description du monde tel qu’il est. La vérité morale dépasse ce cadre elle se fonde sur l’assurance innée que certaines choses devraient être et que certaines autres choses ne devraient pas être. 3 La vérité logique Réfléchissons ensemble à cette déclaration Ce n’est que par la science que nous pouvons vraiment connaître la vérité. » La science peut-elle prouver la véracité de cette déclaration? Existe-t-il une expérience scientifique qui prouve que nous ne pouvons pas connaître la vérité autrement que par la science? Sinon, cette déclaration se réfute d’elle-même, et nous pouvons la déclarer fausse. Pour affirmer la fausseté de cette déclaration, nous n’avons pas fait appel à la méthode scientifique, mais à la logique. La science se fonde sur la logique et ne peut subsister sans elle, mais la logique peut servir à réfuter ou à confirmer des affirmations que la science ne peut ni prouver ni nier. 4 La vérité historique Nous ne pouvons pas faire appel à la science pour prouver que Barack Obama a été élu président des États-Unis en 2009. Les faits historiques se prouvent différemment des faits scientifiques, parce que les événements historiques sont figés dans le temps et ne se répètent pas. Quand cela vient aux faits historiques, nous nous appuyons plutôt sur la fiabilité des témoins oculaires et la cohérence de leurs témoignages. Nous faisons aussi appel à une analyse historique des documents de l’époque qui décrivent et préservent les détails de ces faits livres, articles, photos, enregistrements. 5 La vérité expérientielle La science ne peut pas prouver que vous aimez votre conjoint. Si l’on vous demande des preuves à cet effet, vous ne ferez pas appel à une expérience scientifique. Vous citerez plutôt des exemples de comportements qui démontrent votre amour pour lui, ou vous partagerez vos sentiments à son égard. La science ne peut pas confirmer votre vécu personnel. Pour découvrir ce que vit une personne, nous devons nous fier à son partage et aux partages des autres à son sujet. Ce n’est pas pour critiquer la science que je dis tout cela. Nous pouvons faire appel à la méthode scientifique pour tester toutes sortes d’hypothèses scientifiques. Je veux tout simplement affirmer que la science ne peut pas tout tester ni prouver, et qu’il existe des catégories de vérité qui dépassent son cadre d’action. C’est le cas des cinq catégories de vérité mentionnées ci-dessus nous ne pouvons pas faire appel à la méthode scientifique pour les découvrir. Ils exigent d’autres moyens de vérification la rationalité, la logique, la conscience, l’investigation historique et le partage du vécu. Il existe une autre forme de vérité qui est en fait une combinaison de toutes ces sources de vérité, agrémentées d’une sixième, la révélation de la vérité absolue par un être omniscient. Il s’agit de la vérité en matière de religion, qui ne se prête pas à l’investigation scientifique, mais qui peut se trouver en partie soutenue par la science. Voir l’article La science et la religion compétiteurs ou compagnons? pour une explication plus détaillée de cette idée. Pourquoi alors avons-nous l’impression que la science offre des réponses claires et sans controverse, tandis que la vérité en matière de religion semble difficile à cerner et sujette aux disputes? Peut-être est-ce parce que la vérité en matière de religion est beaucoup plus difficile à découvrir du fait qu’elle se fonde sur plusieurs catégories de vérité il nous faut une combinaison de connaissances en matière de science, de logique, de philosophie, d’histoire, d’éthique, de révélation et d’expérience personnelle pour bien cerner la vérité en matière de religion. En fait, la vérité en matière de religion se découvre par l’étude concomitante de toutes ces catégories de vérité. Cela ne devrait pas nous surprendre que la découverte de Dieu dépasse le cadre de la science. L’existence de Dieu est d’un tout autre ordre que l’existence de l’Univers. Nous ne pouvons pas disséquer Dieu sous un microscope ou le trouver avec un télescope. Certes, toutes les disciplines peuvent nous révéler des faits à son sujet, mais aucune discipline en elle-même ne peut tout nous révéler sur lui. Toutes les disciplines sont nécessaires, mais aucune n’est suffisante en elle-même. Si tel est le cas, comment une personne devrait-elle partir en quête de Dieu? Cela semble si complexe par où commencer? Dans son roman, Five Sacred Crossings, Craig Hazen, auteur et érudit en matière de religion, présente cinq raisons pour lesquelles nous devrions étudier la foi chrétienne en premier 1 Nous pouvons la vérifier. La foi chrétienne n’offre pas simplement des croyances ésotériques elle offre aussi des revendications précises concernant la logique, la science, l’histoire, la philosophie et la réalité, revendications que nous pouvons vérifier en faisant appel aux autres disciplines. 2 Elle présente une vision cohérente du monde. Elle n’exige pas de ses adhérents que ceux-ci nient la réalité de la vie sur cette terre. Elle explique plutôt pourquoi les choses sont telles qu’elles sont. 3 Elle présente une vision holistique de la vie. La foi chrétienne n’exige pas que les gens croient une chose tout en vivant autre chose. La foi se vit au quotidien et influence tous les domaines de la vie. 4 Elle présente la vie éternelle comme cadeau de la main de Dieu, librement offert à tous. Toute autre religion prétend que nous rejoignons Dieu par nos propres mérites. Mais au cœur du message chrétien, nous trouvons la grâce Dieu vient vers nous en la personne de Jésus-Christ pour nous offrir librement en cadeau un pardon complet, une transformation de vie et une relation éternelle avec Dieu. Nous n’avons aucunement à mériter tout cela. Il suffit d’accueillir de plein cœur tout ce que Jésus nous offre gratuitement. 5 Jésus se trouve au cœur de cette foi. Jésus est le personnage le plus fascinant et controversé de l’histoire. Beaucoup d’autres religions disent le respecter, mais la foi chrétienne se fonde entièrement sur sa vie, son œuvre et son identité. Pourquoi ne pas commencer votre quête en venant à le connaître? Alister McGrath a accepté ce défi. Il est détenteur de deux doctorats de l’université Oxford un doctorat en biophysique moléculaire et un doctorat en théologie. Il décrit ainsi son cheminement spirituel À ma surprise, c’est à Oxford que j’ai découvert la foi chrétienne. C’était l’expérience intellectuelle la plus exhilarante et spirituelle que je puisse décrire — mieux que la chimie, un sujet que je considérais alors comme la grande passion de ma vie et ma carrière future. J’ai obtenu un doctorat d’Oxford en biophysique moléculaire, et j’ai trouvé cela excitant et satisfaisant au plus haut degré. Je savais toutefois que j’avais trouvé quelque chose de meilleur — la perle de grand prix dont Jésus parle dans les évangiles, une perle si belle et rare que tout pâlit en sa présence. Cette perle satisfaisait les aspirations les plus profondes de mon intellect et de mon imagination, et je m’extasiais devant sa beauté » [iv] notre traduction. Si vous aimeriez partir à la découverte de Jésus-Christ, voici quelques pas que vous pourriez prendre en cette direction Ma recherche de la vérité Hugh Ross, astrophysicien, décrit son cheminement spirituel Jésus, un homme sans égal Bill Bright présente sous forme de vidéo les revendications de Jésus Jésus est-il réellement ressuscité des morts? Le philosophe William Craig explore les possibilités logiques Âme avide Un site qui nous invite à explorer les aspirations les plus profondes de notre âme Des questions? En parler à quelqu’un par courriel en toute confidentialité. [i] [ii] [iii] [iv] Alister McGrath, The Future of Atheism Alister McGrath & Daniel Dennett in Dialogue London, England Fortress Press, 2008, 27. 1 exige l’observation [ii] et l’expérimentation [iii]. Ce ne sont pas toutes les formes de vérité qui peuvent se plier à de telles exigences. Voici quelques formes de vérité auxquelles la méthode scientifique ne peut s’appliquer 1 La vérité existentielle La méthode scientifique se fonde sur la prémisse que l’univers physique existe réellement et que nous pouvons nous fier à nos sens et à la logique pour découvrir les lois qui le régissent. Cependant, la science n’offre aucune façon de prouver que l’univers existe vraiment. Elle ne peut pas démontrer que tout ce que nous pensons être réel n’est pas simplement une illusion résultant de la manipulation d’un cerveau par des pulsions électriques un concept que nous trouvons dépeint dans les films La Matrice et Inception. La science ne peut pas non plus prouver que l’univers n’a pas été créé il y a cinq minutes de telle façon à ce qu’il donne l’illusion qu’il date de longtemps. De même, elle ne peut pas démontrer que tous nos souvenirs n’ont pas été implantés en nous au même instant. Nous présumons l’existence d’un univers physique géré par des lois naturelles en nous fondant sur la logique et sur nos sens; nous ne pouvons pas le prouver, de même que nous ne pouvons pas prouver qu’il n’existe pas. Cela dit, il est tout à fait rationnel de croire que l’univers que nous percevons existe réellement; en fait, c’est l’explication la plus simple et cohérente des faits qui se présentent à nous. 2 La vérité morale La science n’offre aucune façon de prouver qu’un acte tel que le viol est mal. Les scientifiques peuvent certes se prononcer sur les effets psychologiques et physiques du viol, mais il n’existe aucun test scientifique capable de discerner si quelque chose est mal ou bien. La science se limite à la description du monde tel qu’il est. La vérité morale dépasse ce cadre elle se fonde sur l’assurance innée que certaines choses devraient être et que certaines autres choses ne devraient pas être. 3 La vérité logique Réfléchissons ensemble à cette déclaration Ce n’est que par la science que nous pouvons vraiment connaître la vérité. » La science peut-elle prouver la véracité de cette déclaration? Existe-t-il une expérience scientifique qui prouve que nous ne pouvons pas connaître la vérité autrement que par la science? Sinon, cette déclaration se réfute d’elle-même, et nous pouvons la déclarer fausse. Pour affirmer la fausseté de cette déclaration, nous n’avons pas fait appel à la méthode scientifique, mais à la logique. La science se fonde sur la logique et ne peut subsister sans elle, mais la logique peut servir à réfuter ou à confirmer des affirmations que la science ne peut ni prouver ni nier. 4 La vérité historique Nous ne pouvons pas faire appel à la science pour prouver que Barack Obama a été élu président des États-Unis en 2009. Les faits historiques se prouvent différemment des faits scientifiques, parce que les événements historiques sont figés dans le temps et ne se répètent pas. Quand cela vient aux faits historiques, nous nous appuyons plutôt sur la fiabilité des témoins oculaires et la cohérence de leurs témoignages. Nous faisons aussi appel à une analyse historique des documents de l’époque qui décrivent et préservent les détails de ces faits livres, articles, photos, enregistrements. 5 La vérité expérientielle La science ne peut pas prouver que vous aimez votre conjoint. Si l’on vous demande des preuves à cet effet, vous ne ferez pas appel à une expérience scientifique. Vous citerez plutôt des exemples de comportements qui démontrent votre amour pour lui, ou vous partagerez vos sentiments à son égard. La science ne peut pas confirmer votre vécu personnel. Pour découvrir ce que vit une personne, nous devons nous fier à son partage et aux partages des autres à son sujet. Ce n’est pas pour critiquer la science que je dis tout cela. Nous pouvons faire appel à la méthode scientifique pour tester toutes sortes d’hypothèses scientifiques. Je veux tout simplement affirmer que la science ne peut pas tout tester ni prouver, et qu’il existe des catégories de vérité qui dépassent son cadre d’action. C’est le cas des cinq catégories de vérité mentionnées ci-dessus nous ne pouvons pas faire appel à la méthode scientifique pour les découvrir. Ils exigent d’autres moyens de vérification la rationalité, la logique, la conscience, l’investigation historique et le partage du vécu. Il existe une autre forme de vérité qui est en fait une combinaison de toutes ces sources de vérité, agrémentées d’une sixième, la révélation de la vérité absolue par un être omniscient. Il s’agit de la vérité en matière de religion, qui ne se prête pas à l’investigation scientifique, mais qui peut se trouver en partie soutenue par la science. Voir l’article La science et la religion compétiteurs ou compagnons? pour une explication plus détaillée de cette idée. Pourquoi alors avons-nous l’impression que la science offre des réponses claires et sans controverse, tandis que la vérité en matière de religion semble difficile à cerner et sujette aux disputes? Peut-être est-ce parce que la vérité en matière de religion est beaucoup plus difficile à découvrir du fait qu’elle se fonde sur plusieurs catégories de vérité il nous faut une combinaison de connaissances en matière de science, de logique, de philosophie, d’histoire, d’éthique, de révélation et d’expérience personnelle pour bien cerner la vérité en matière de religion. En fait, la vérité en matière de religion se découvre par l’étude concomitante de toutes ces catégories de vérité. Cela ne devrait pas nous surprendre que la découverte de Dieu dépasse le cadre de la science. L’existence de Dieu est d’un tout autre ordre que l’existence de l’Univers. Nous ne pouvons pas disséquer Dieu sous un microscope ou le trouver avec un télescope. Certes, toutes les disciplines peuvent nous révéler des faits à son sujet, mais aucune discipline en elle-même ne peut tout nous révéler sur lui. Toutes les disciplines sont nécessaires, mais aucune n’est suffisante en elle-même. Si tel est le cas, comment une personne devrait-elle partir en quête de Dieu? Cela semble si complexe par où commencer? Dans son roman, Five Sacred Crossings, Craig Hazen, auteur et érudit en matière de religion, présente cinq raisons pour lesquelles nous devrions étudier la foi chrétienne en premier 1 Nous pouvons la vérifier La foi chrétienne n’offre pas simplement des croyances ésotériques elle offre aussi des revendications précises concernant la logique, la science, l’histoire, la philosophie et la réalité, revendications que nous pouvons vérifier en faisant appel aux autres disciplines. 2 Elle présente une vision cohérente du monde. Elle n’exige pas de ses adhérents que ceux-ci nient la réalité de la vie sur cette terre. Elle explique plutôt pourquoi les choses sont telles qu’elles sont. 3 Elle présente une vision holistique de la vie. La foi chrétienne n’exige pas que les gens croient une chose tout en vivant autre chose. La foi se vit au quotidien et influence tous les domaines de la vie. 4 Elle présente la vie éternelle comme cadeau de la main de Dieu, librement offert à tous. Toute autre religion prétend que nous rejoignons Dieu par nos propres mérites. Mais au cœur du message chrétien, nous trouvons la grâce Dieu vient vers nous en la personne de Jésus-Christ pour nous offrir librement en cadeau un pardon complet, une transformation de vie et une relation éternelle avec Dieu. Nous n’avons aucunement à mériter tout cela. Il suffit d’accueillir de plein cœur tout ce que Jésus nous offre gratuitement. 5 Jésus se trouve au cœur de cette foi. Jésus est le personnage le plus fascinant et controversé de l’histoire. Beaucoup d’autres religions disent le respecter, mais la foi chrétienne se fonde entièrement sur sa vie, son œuvre et son identité. Pourquoi ne pas commencer votre quête en venant à le connaître? Alister McGrath a accepté ce défi. Il est détenteur de deux doctorats de l’université Oxford un doctorat en biophysique moléculaire et un doctorat en théologie. Il décrit ainsi son cheminement spirituel À ma surprise, c’est à Oxford que j’ai découvert la foi chrétienne. C’était l’expérience intellectuelle la plus exhilarante et spirituelle que je puisse décrire — mieux que la chimie, un sujet que je considérais alors comme la grande passion de ma vie et ma carrière future. J’ai obtenu un doctorat d’Oxford en biophysique moléculaire, et j’ai trouvé cela excitant et satisfaisant au plus haut degré. Je savais toutefois que j’avais trouvé quelque chose de meilleur — la perle de grand prix dont Jésus parle dans les évangiles, une perle si belle et rare que tout pâlit en sa présence. Cette perle satisfaisait les aspirations les plus profondes de mon intellect et de mon imagination, et je m’extasiais devant sa beauté4 » notre traduction. Si vous aimeriez partir à la découverte de Jésus-Christ, voici quelques pas que vous pourriez prendre en cette direction Ma recherche de la vérité Hugh Ross, astrophysicien, décrit son cheminement spirituel Jésus, un homme sans égal Bill Bright présente sous forme de vidéo les revendications de Jésus Jésus est-il réellement ressuscité des morts? Le philosophe William Craig explore les possibilités logiques Âme avide Un site qui nous invite à explorer les aspirations les plus profondes de notre âme Des questions? En parler à quelqu’un par courriel en toute confidentialité. 1. 2. 3. 4. Alister McGrath, The Future of Atheism Alister McGrath & Daniel Dennett in Dialogue London, England Fortress Press, 2008, 27. Afficher vos commentaires Vous devez être connecté pour laisser un commentaire. . 405 320 17 380 90 99 434 273

peut on soutenir que la verité n existe pas