Jai descendu dans mon jardin. chansons pour enfants : J'ai descendu dans mon jardin J'ai descendu dans mon jardin (bis) Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot nouveau J'n'en avais pas cueilli trois brins (bis) Qu'un rossignol vint sur ma main Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot Il me dit trois mots
Paroles de la chanson BergĂšre allons doux par Tri Yann J'ai descendu dans ma cave, par un escalier d'argent bis Et j'ai cueilli trois marguerites, toutes trois fleuries de rang BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Et j'ai cueilli trois marguerites, toutes trois fleuries de rang bis J'ai pris mes petits ciseaux et les ai coupĂ©s en rĂȘvant BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis J'ai pris mes petits ciseaux et les ai coupĂ©s en rĂȘvant bis Et j'en ai fait un bouquet pour ma mie que j'aime tant BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Et j'en ai fait un bouquet pour ma mie que j'aime tant bis Et les lui ai fait porter par le rossignol chantant BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Et les lui ai fait porter par le rossignol chantant bis Elle me les a renvoyĂ© par l'alouette en pleurant BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Elle me les a renvoyĂ© par l'alouette en pleurant bis Et alouette, belle alouette, quelle nouvelle y a chez nos gens BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Et alouette, belle alouette, quelle nouvelle y a chez nos gens bis Des nouvelles y a plein pour toi qui te feront pleurer longtemps BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Des nouvelles y a plein pour toi qui te feront pleurer longtemps bis Et de ton pĂšre et de ta mĂšre qui sont morts y a bien longtemps BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Et de ton pĂšre et de ta mĂšre qui sont morts y a bien longtemps bis De mon pĂšre et de ma mĂšre, je ne m'en soucie point tant BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis De mon pĂšre et de ma mĂšre, je ne m'en soucie point tant bis Sans mon pĂšre et sans ma mĂšre, je serais partie y a bien longtemps BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Car sans mon pĂšre et sans ma mĂšre, je serais mariĂ©e y a bien longtemps bis Et je serais dĂ©jĂ  Ă  mon mĂ©nage de cinq Ă  six douzaines d'enfants BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Et je serais dĂ©jĂ  Ă  mon mĂ©nage de cinq Ă  six douzaines d'enfants bis Et les grands demanderaient de l'argent, et les petits du pain de maman BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis J'ai descendu dans ma cave par un escalier d'argent bis Et j'ai cueilli trois marguerites, toutes trois fleuries de rang BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Sivous l'aviez oubliĂ©e, voici” illunimes ‱ Follow. Gajan, Languedoc-Roussillon, France. 26 likes. illunimes. đŸŽ¶ Vous vous souvenez de cette jolie comptine apprise Ă  l'Ă©cole ? Si vous l'aviez oubliĂ©e, voici les paroles : đŸŽ¶ J’ai descendu dans mon jardin (bis) Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot Mesdames Gentil coquelicot nouveau Un rossignol vint sur ma main
Lisez Chapitre 726-728 du roman Son PDG autoritaire mais naĂŻf gratuit en ligne. Abonnez-vous aux derniĂšres mises Ă  jour Les quelques mots de Li Qinqin ont rendu Li Hanjiang incapable de dire un seul mot. Il regarda fixement la bouche de Li Qinqin comme si elle Ă©tait remplie de plomb. Vous dites toujours que c'est pour mon bien, ceci pour moi, cela pour moi, mais le faites-vous vraiment pour moi? si tu le fais vraiment pour moi, pourquoi suis-je si malheureux pourquoi je veux toujours fuir papa, tu travailles toujours si dur, mais sais-tu pourquoi je suis si rebelle et que je dois toujours ĂȘtre contre vous? parce que c'est la seule façon pour vous de m'accorder plus d'attention ah " Li Qinqin n'avait jamais dit ces mots sincĂšres Ă  Li Hanjiang auparavant, et ses yeux avaient des larmes scintillantes en eux. Pourquoi j'aime Mo Yiang, parce que quand je l'ai rencontrĂ©, j'ai vraiment rencontrĂ© quelqu'un qui me comprend vraiment, vous pensez tous que je suis un mauvais enfant, mais il est le seul Ă  croire que je ne suis pas vraiment un mauvais enfant, et c'est lui qui m'a encouragĂ© Ă  dessiner des mangas, et sans lui, j'oublierais que je pourrais dessiner, et je serais toujours une personne utile. Le salon Ă©tait si calme que j'avais peur d'entendre une Ă©pingle tomber sur le sol. Li Hanjiang ne pouvait pas non plus s'empĂȘcher de se mouiller les yeux, depuis que son ex-femme est dĂ©cĂ©dĂ©e, il n'avait jamais parlĂ© Ă  sa propre fille, c'Ă©tait comme si leurs deux pĂšres et filles avaient un cƓur Ă  cƓur, personne ne voulait aborder le sujet. "M. Lai, Qin Qin est une bonne fille, mĂȘme si elle a fait beaucoup de mauvaises choses dans le passĂ©, mais je crois qu'elle est une enfant gentille et sensĂ©e, aprĂšs l'expĂ©rience Ă©trangĂšre, elle a beaucoup grandi et sait ce qu'elle veut, comme elle pĂšre, tu devrais lĂącher prise. Jasmine Tong intervint Ă  la hĂąte. Li Hanjiang a baissĂ© la tĂȘte, n'a rien dit et est parti aussitĂŽt. En regardant son dos alors qu'il partait, Lai Qinqin se sentait Ă©galement un peu attristĂ©. Chinchin, tu ferais mieux de rentrer chez toi. Li Qinqin hocha la tĂȘte et regarda Ă  nouveau Mo Yiang Si je ne peux pas vous contacter dans les prochains jours, je serai assignĂ© Ă  rĂ©sidence par mon pĂšre. Mo Yiang a envoyĂ© Li Qinqin Ă  la porte pour rattraper la voiture de Li Hanjiang, et Li Hanjiang a emmenĂ© Li Qinqin avec lui. La premiĂšre chose que j'ai remarquĂ©e, c'est que la voiture Ă©tait garĂ©e sur le bord de la route, mais elle avait l'air si familiĂšre. Jasmine Tong ricana et s'approcha et ouvrit directement la portiĂšre de la voiture, Albert Ou Ă©tait Ă  l'intĂ©rieur en train d'Ă©couter de la musique et de jouer Ă  des jeux. "Oui, Monsieur le PrĂ©sident, vous ĂȘtes tout Ă  fait libre dans la voiture tout seul." Albert Ou lui sourit ironiquement, ayant le sentiment d'avoir Ă©tĂ© surpris en train de faire quelque chose de mal. "En fait, je," "Inutile de vous expliquer, continuez Ă  jouer ici" Jasmine Tong "bang" ferma la portiĂšre de la voiture et revint Ă  grands pas. Albert Ou est sorti prĂ©cipitamment de la voiture pour se rattraper. Mo Yiang ne put s'empĂȘcher de secouer la tĂȘte alors qu'il regardait ces deux-lĂ  aussi, on aurait dit que quelqu'un avait du mal ce soir. En fait, Tong a amenĂ© ses deux fils dans la chambre la nuit. Albert Ou paniqua Ă  la vue du cadre. Jasmine, n'allez pas trop loin, d'habitude vous dormez dans la chambre des enfants, que faites-vous en les amenant tous les deux ici aujourd'hui» Jasmine Tong lança un oreiller Ă  San San alors qu'elle faisait le lit, "San San, donne l'oreiller Ă  papa, papa va dormir dans la chambre d'amis aujourd'hui." Sanzo tint aussitĂŽt l'oreiller comme si on lui avait ordonnĂ© de l'apporter Ă  Albert Ou. Albert Ou regarda fixement San San et se dirigea vers Jasmine Tong Je peux vous expliquer, juste votre type de mĂ©thode ne fonctionnera tout simplement pas, cachez-vous jusqu'Ă  quand, donc la meilleure façon de rĂ©soudre le problĂšme est d'y faire face. que tous les problĂšmes ne sont pas rĂ©solus? » Plus tard, Jasmine Tong s'est retournĂ©e et a pensĂ© que c'Ă©tait bien comme le disait Albert Ou, mais ce n'Ă©tait pas pour ça qu'elle Ă©tait en colĂšre, mais qu'Albert Ou se cachait et regardait l'Ă©mission sans dire un mot. MĂȘme si vous voulez que Mo Yiang et Li Qinqin sortent et affrontent cela, vous ne pouvez pas ne pas en discuter avec vous-mĂȘme, non? Sept, maman embrasse et change. Xiao Qi s'est immĂ©diatement dirigĂ©e vers Jasmine Tong Ă  bras ouverts, Jasmine Tong ne voulait pas prĂȘter attention Ă  l'intention d'Albert Ou, et a directement aidĂ© Xiao Qi Ă  se changer en pyjama, Xiao Qi Ă©tait Ă©galement trĂšs excitĂ©e d'entrer dans la couette avec un sourire fort. Sanzo a vu la situation et a pris l'oreiller d'Albert Ou et l'a jetĂ© par la porte, puis a couru en arriĂšre avec ses fesses en l'air. Jasmine Tong a de nouveau changĂ© le pyjama de San San et les frĂšres se sont rassemblĂ©s. Veuillez fermer la porte en sortant» Jasmine Tong se mit Ă©galement sous les couvertures. Vas-tu vraiment faire ça dĂ©sespĂ©rĂ©ment?» Albert Ou aurait voulu se faufiler dans le lit, mĂȘme si le lit Ă©tait assez grand pour deux personnes, mais il n'y avait vraiment pas de place pour poser les pieds lorsque deux petits enfants se disputaient. C'est juste un jour aujourd'hui» Albert Ou dut sortir d'une maniĂšre grisĂątre, fermant la porte pour la mĂšre et le fils en chemin avant de ramasser son oreiller par terre et de se diriger vers la chambre d'amis. D'un autre cĂŽtĂ©, Li Qinqin a suivi Li Hanjiang dans la famille Li, mais jusqu'Ă  toute la nuit de retour Ă  la maison, Li Hanjiang n'a pas dit un mot Ă  Li Qinqin, ce qui a rendu Li Qinqin Ă©galement trĂšs nerveuse, elle s'est mĂȘme demandĂ© si ce qu'elle a dit Ă©tait trop. Ce n'est pas facile pour Li Hanjiang de travailler dur dans le centre commercial toutes ces annĂ©es, mais tout cela pour le bien de sa famille, et ses paroles lui nient tout. AprĂšs le dĂźner, Lai Han Jiang est allĂ©e dans la chambre et n'en est pas ressortie. Li Qinqin a racontĂ© Ă  Wen Lan tout ce qui s'Ă©tait passĂ© aujourd'hui. Tante Blue, j'ai peut-ĂȘtre vraiment Ă©nervĂ© mon pĂšre, alors pourquoi ne m'aidez-vous pas Ă  le dĂ©nigrer?» Wen Lan tira la main de Lai Qinqin et la tapota doucement. Qin Qin, tu as raison, ton pĂšre ira bien, c'est un si grand homme, il a vĂ©cu la majeure partie de sa vie, s'il ne peut mĂȘme pas comprendre cela, alors il vit en vain, laisse-le d'abord se calmer. " Cette nuit n'a pas Ă©tĂ© une bonne nuit pour tout le monde, Li Qinqin a dormi dans son propre lit en se retournant et se retournant incapable de dormir, le lendemain s'est rĂ©veillĂ© pour trouver la maison et les deux habituels, Li Hanjiang est sorti tĂŽt pour l'entreprise, Wen Lan Ă  la hĂąte a exhortĂ© Li Junjie Ă  aller Ă  l'Ă©cole. AprĂšs avoir renvoyĂ© John Lai, Wen Lan est retournĂ© Ă  table avant de saluer Li Qinqin pour le petit dĂ©jeuner. Mais Li Qinqin n'a pas d'appĂ©tit, Wen Lan s'est soudainement souvenu de quelque chose comme un voyage avant de revenir, et a mis le tĂ©lĂ©phone de Li Qinqin sur la table. Li Qinqin a regardĂ© son tĂ©lĂ©phone avec perplexitĂ© Ă  Wenlan. "Ton pĂšre va bien, ne t'inquiĂšte pas, tu peux reprendre ce tĂ©lĂ©phone et l'utiliser." Quelle est son attitude envers mon pĂšre?» Un doux sourire apparut au coin des lĂšvres de Warm Blue. Ton pĂšre Ă©tait debout presque toute la nuit derniĂšre, il a dit qu'il avait rĂ©flĂ©chi Ă  ce que tu avais dit et demandĂ© si j'Ă©tais allĂ© trop loin moi-mĂȘme, il a dit qu'Ă  la rĂ©flexion, il ne devrait vraiment pas s'opposer Ă  ce que tu rencontres Je ne voulais probablement pas que tu le quittes. Ah,» Li Qinqin n'en croyait pas ses oreilles. Il a lui-mĂȘme dit aussi que vingt ans, ce n’est pas jeune, et quand on a fini ses Ă©tudes, la stabilitĂ© au travail est aussi vingt-trois ou vingt-quatre, alors qui sait s’il y en a une bonne, puis tomber amoureux pendant quelques annĂ©es , d’ici lĂ , il sera trop tard pour se marier et avoir des enfants. Chapitre 727 Les paroles de Wen Lan Ă©taient trĂšs douces, et elle Ă©tait Ă  l'origine une femme incroyablement douce aussi. Mot par mot, cela a parlĂ© au cƓur de Li Qinqin, la faisant pleurer. En fait, votre pĂšre est une personne qui ressemble Ă  un grand vieil homme, qui ne sait que gagner de l'argent, mais en fait il est aussi trĂšs Ă©mu, il a lui-mĂȘme dit qu'il n'Ă©tait peut-ĂȘtre pas contre vous et Mo Yiang, mais contre le fait que vous sortiez ensemble et que vous vous mariiez pour le quitter, la pensĂ©e de sa fille qu'il a Ă©levĂ©e pendant tant d'annĂ©es pour le quitter, ce n'est pas bon pour son cƓur. Li Qinqin se sentait Ă©galement mal Ă  ce sujet la bouche ouverte. Qinqin, votre pĂšre n'est plus opposĂ© Ă  ce que vous et Mo Yiang sortiez maintenant, mais il a dit qu'il voulait que vous finissiez vos Ă©tudes en Angleterre et que vous reveniez pour vous marier, de prĂ©fĂ©rence plus tard, il veut vous garder encore deux ans. " Pourquoi mon pĂšre est-il si sentimental? Regardez-le, il est si grand et fort, et ses paroles sont si dĂ©chirantes. Li Qinqin a fait la moue et a dessinĂ© un mouchoir pour essuyer ses larmes. Tante Blue, tu dis Ă  mon pĂšre que j'Ă©tudierai dur en Angleterre, et je ne laisserai pas les frĂ©quentations m'empĂȘcher d'Ă©tudier, et pour ce qui est de me marier, j'aimerais jouer encore deux ans, et mĂȘme si je me marie Je reviendrai te voir souvent. Wenlan hocha la tĂȘte avec reconnaissance. AprĂšs quelques jours, les vacances de Li Qinqin Ă©taient terminĂ©es, alors Li Hanjiang, Wen Lan et Mo Yiang se sont rĂ©unis pour la voir partir. Au cours de ces quelques jours, les relations entre Li Hanjiang et Li Qinqin se sont Ă©galement beaucoup facilitĂ©es, afin de ne pas laisser son pĂšre devenir jaloux, Li Qinqin n'a pas accordĂ© beaucoup d'attention Ă  Mo Yiang. Ce n'est que lorsque Mo Yiang et Li Qinqin sont restĂ©s que Li Qinqin a parlĂ© Ă  Mo Yiang. Li Qinqin directement dans Mo Yiang, "Tellement triste de te quitter ah, je t'ai juste ignorĂ©, tu n'es pas en colĂšre contre moi." Mo Yiang, cependant, s'en fichait du tout. Je l'ai fait exprĂšs, j'avais peur que mon pĂšre soit jaloux, je ne pensais vraiment pas que mon pĂšre serait jaloux de sa fille Ă  son Ăąge. Mo Yiang a caressĂ© les cheveux longs de Li Qinqin Vous devez apprendre Ă  prendre soin de vous quand vous allez lĂ -bas. Ne t'inquiĂšte pas pour ça, j'ai eu une belle vie avant, eh bien c'est principalement toi. Li Qinqin a tendu le doigt pour piquer la poitrine de Mo Yiang, "N'oubliez pas de me promettre que vous ne pouvez pas ĂȘtre si proche d'une actrice, surtout ne commencez pas un scandale, votre futur beau-pĂšre vous regarde toujours." Le sourire de Mo Yiang Ă©tait plein de gĂąterie Je sais, je l'ai dit cent fois, allons-y, ne manquez pas votre vol, faites-moi savoir quand vous y serez, je rejoindrai l'Ă©quipage aujourd'hui, si je ne vous rĂ©pondez pas, ne pensez pas de bĂȘtises. Les deux hommes ont dit au revoir Ă  contrecƓur et Li Qinqin a pris un avion pour l'Angleterre. Mo Yiang est sorti de l'aĂ©roport juste Ă  temps pour voir l'avion dĂ©coller, et il l'a pris en photo en passant. J'aurais aimĂ© que vous reveniez au lieu de vous envoler.» Dans ce tweet, il a d'ailleurs Ă©galement postĂ© une photo de lui-mĂȘme et de Li Qinqin, avant que les nouvelles ne fassent encore et que les voix Ă  l'extĂ©rieur montent et diminuent. Il n'a pas rĂ©pondu, alors rendons cela officiel cette fois. Pour dire deux choses ici, premiĂšrement, je suis tombĂ© amoureux de Chinchin, et deuxiĂšmement, je crois que les mĂ©chants indignes de confiance et prĂ©somptueux recevront leurs dĂ©serts. Je ne veux pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©, merci de votre comprĂ©hension. Cette explication du tweet de Mo Yiang a Ă©clairci toutes les nouvelles Ă  la fois, et a vraiment donnĂ© une gifle aux mĂ©dias qui ont annoncĂ© la nouvelle. Surtout la phrase Je crois que les mĂ©chants indignes de confiance et prĂ©somptueux obtiendront ce qu'ils mĂ©ritent.» N'est-ce pas une indication claire que quelque chose se passe ici? Le micro-blogging a naturellement fait grand bruit aprĂšs son envoi, mais Mo Yiang n'a vraiment rien rĂ©pondu, et quelques heures plus tard, il est entrĂ© dans le tournage du film Operation Raid» pour tourner. Les choses sont fondamentalement rĂ©solues, mais quelqu'un dans le Crystal Garden a vraiment du mal, et Albert Ou a Ă©tĂ© expulsĂ© pendant trois jours par Jasmine Tong. Albert Ou n'a toujours pas l'intention d'ĂȘtre rappelĂ© par Jasmine Tong, mais ses deux fils sont trĂšs heureux ces jours-ci, qui ne veut pas coucher avec sa maman, surtout San San, qui doit se rendre tous les jours dans la chambre d'hĂŽtes pour se montrer direction Albert Ou. Bonne nuit, papa, on va coucher avec maman.» "F * ck off." Cette conversation est devenue une partie rĂ©guliĂšre de la routine nocturne. Demain, Jasmine Tong fera son entrĂ©e dans l'Ă©quipe, Albert Ou lui avait promis de lui permettre de faire un film par an, et je ne sais pas quand elle reviendra. Albert Ou est aussi piquĂ©, ces trois jours sauf le premier jour fait une scĂšne, mais aussi pensĂ© Ă  laisser Jasmine Tong s'inviter Ă  nouveau. rĂ©sultat Mais c'est la derniĂšre nuit oĂč Jasmine Tong est Ă  la maison. Albert Ou s'est retournĂ© et s'est retournĂ© et n'a pas pu dormir, alors il est sorti du lit et est retournĂ© dans sa chambre, "Homme" DĂšs qu'il a ouvert la porte de la chambre, une odeur de roses lui est venue au nez, et une bougie rouge en forme de cƓur a Ă©tĂ© allumĂ©e Ă  l'endroit oĂč il est entrĂ©, et dans la faible lueur du feu, Albert Ou a vu Jasmine Tong assise sur. le lit, avec des pĂ©tales de rose partout dans le lit stimulant ses nerfs visuels. "Quelle heure est-il? Revenez, soufflez les bougies et allez vous coucher. Jasmine Tong n'avait rien de bon Ă  dire et s'est simplement allongĂ©e et s'est mise sous les couvertures. Albert Ou a regardĂ© de plus prĂšs les bougies, certaines d'entre elles Ă©taient dĂ©jĂ  Ă  moitiĂ© brĂ»lĂ©es, montrant que Jasmine Tong l'attendait depuis longtemps. Il Ă©tait vraiment repentant de savoir qu'il Ă©tait revenu tous les soirs pour faire une scĂšne et sauver les heures qu'il avait gaspillĂ©es. Albert Ou s'est rapidement accroupi sur le sol et a soufflĂ© toutes les bougies, puis Ă  une vitesse fulgurante il a enlevĂ© son pyjama et s'est mis sous les couvertures. Pourquoi ne m'as-tu pas appelĂ©?» "Non, je ne vous dis pas de ne pas revenir si vous le pouvez" Jasmine Tong prit le visage d'Albert Ou en coupe, "Je pars demain, je vais vous manquer" Tu ne me manques pas,» Albert Ou enfouit sa tĂȘte dans le cou de Jasmine Tong, tu ne vas me manquer qu'Ă  mort, Jasmine, tu n'es pas encore partie, tu me manques dĂ©jĂ , que faire» Alors rĂ©flĂ©chis-y.» Jasmine Tong serra fortement Albert Ou dans ses bras, d'une maniĂšre ou d'une autre, plus ils passaient de temps ensemble, plus c'Ă©tait douloureux d'ĂȘtre sĂ©parĂ©s. Albert Ou a commencĂ© Ă  retirer le pyjama du corps de Jasmine Tong et Ă  attaquer un peu la ville. Une seule demande, pas de fraises sur moi.» Plantez-le lĂ  oĂč personne d'autre ne peut le voir, plantez-le lĂ  oĂč vous pouvez le voir lorsque vous regardez en bas, et laissez-vous penser Ă  moi tous les jours.» Les mots d'Albert Ou soufflĂšrent doucement dans les oreilles de Jasmine Tong, provoquant le corps entier de Jasmine Tong Ă  se crisper les os. AprĂšs cette nuit de chaleur Ă  la prochaine fois que nous nous voyons, on ne sait pas quand ce sera. Aucun d'eux ne parla Ă  nouveau, chantant lentement, sentant les battements de cƓur et la respiration de l'autre. J'ai entendu un grincement et la porte du placard semblait s'ouvrir. Maman, je veux aussi des fraises.» Ah», deux personnes deviennent folles. Chapitre 728 Jasmine Tong a profitĂ© Ă  la hĂąte du fait que les lumiĂšres n'avaient pas Ă©tĂ© allumĂ©es pour s'habiller en panique, et naturellement, Albert Ou aussi. Quand ils furent tous les deux habillĂ©s, Albert Ou alluma la lampe de chevet. San San rampa dans son lit avec une moue, "OĂč sont les fraises?" Sansan, tu ne dors pas dĂ©jà» Jasmine Tong avait tellement peur que cela se produise qu'elle Ă©tait trĂšs sĂ»re que ses deux fils dormaient avant d'oser revenir. Le petit morveux a quand mĂȘme fini par percer le trou. "Je vous ai menti, hee hee." Albert Ou est descendu du lit et a ouvert le placard. Vous vous ĂȘtes cachĂ© ici. San San hocha malicieusement la tĂȘte. Donc tu t'es cachĂ© dans le placard Ă  chaque fois que tu viens, pas Ă©tonnant que tu n'as pas Ă©tĂ© retrouvé» Jasmine Tong fit un geste pour tordre les oreilles de San San, mais Ă  la fin c'Ă©tait un peu trop dur de le faire. "Maman, je veux toujours coucher avec toi, on ne veut pas que papa ok" dit San San en jetant l'oreiller d'Albert Ou sous le lit Ce petit gars semble Ă©galement savoir que papa et maman se sont battus ces derniers temps, et il est juste Ă  temps pour profiter de l'occasion pour dominer sa propre maman et ĂȘtre plus effrontĂ©. Petit morveux», Albert Ou ramassa sa chemise et porta le petit bonhomme droit en l'air. San San a dansĂ© dents et griffes vers Jasmine Tong, "Maman, aide-moi." Jasmine Tong Ă  ce moment-lĂ  mais secoua la tĂȘte "Maman ne peut pas te sauver, un enfant qui ne dort pas bien la nuit, maman n'aime pas ça, va bien dormir." Albert Ou a ramenĂ© San San jusqu'Ă  la chambre des enfants, rĂ©veillant presque Seven, et ce n'est qu'aprĂšs trois ordres que ce retour dans la chambre. Mais les deux hommes Ă©taient dans un dĂ©sarroi total et semblaient avoir une image mentale. "Je pensais que je venais d'entendre quelque chose dans le placard." J'ai ouvert le placard pour constater qu'il n'y avait pas de Sansan Ă  l'intĂ©rieur. Sera-ce sous le lit cette fois?» C'Ă©tait vide sous le lit. Toutes les armoires de la piĂšce, sauf une, oĂč un petit enfant pouvait ĂȘtre cachĂ© ont Ă©tĂ© ouvertes et fouillĂ©es par les deux hommes. Jusqu'Ă  leur retour au lit, deux personnes ne pouvaient s'empĂȘcher de se dĂ©sintĂ©resser et Ă©taient encore trĂšs fatiguĂ©es. ChĂ©rie, il est tard, allons au lit. "Fils de pute, voyons ce que je vais lui faire demain." Albert Ou s'est Ă©galement retournĂ© d'une maniĂšre radicale. Jasmine Tong savait que dĂšs son dĂ©part, Albert Ou et ses deux fils devaient ĂȘtre secouĂ©s, surtout San San, mais c'est bien, elle ne peut pas voir sans elle, laissez-lui lui donner une leçon, il est en effet temps pour San San doit recevoir une leçon. La nuit devrait se terminer sur une si triste note. Le lendemain matin, alors que le rĂ©veil Ă©tait rĂ©glĂ©, Jasmine Tong s'est rĂ©veillĂ©e dĂšs qu'il s'est dĂ©clenchĂ© et allait entrer dans le plateau aujourd'hui, quittant probablement la maison pendant longtemps. Pendant que Jasmine Tong se brossait les dents dans la salle de bain, Albert Ou entra dans la salle de bain avec un visage sombre et serra Jasmine Tong par derriĂšre, le visage de la luxure donnant Ă  Jasmine Tong un air trĂšs drĂŽle. Jasmine, combien de temps vas-tu ĂȘtre partie cette fois.» C'est difficile Ă  dire» Jasmine Tong cracha la mousse dans sa bouche et se gargarisa, J'essaierai de rentrer tĂŽt.» Tu commence dĂ©jĂ  Ă  me manquer.» Albert Ou Ă©tait collĂ© au corps de Jasmine Tong comme une enfant, respirant avidement son odeur. "Je vous dis Ă  l'avance, cependant, que celui-ci est militaire, le processus sera plus difficile, et j'ai peut-ĂȘtre moins de temps sur les appels vidĂ©o avec vous, alors soyez prĂȘt pour cela." Il vaut mieux ne pas se mettre en colĂšre le moment venu. Albert Ou ne dit rien, mais ses mains s'inquiĂštent dĂ©jĂ . Jasmine Tong a levĂ© les yeux au ciel vers Albert Ou dans le miroir, Pourquoi ne pas passer la main». ArrĂȘtez-vous pendant un moment» Les k! S torrides d'Albert Ou avec un souffle chaud attaquĂšrent le cou de Jasmine Tong, qui Ă©tait son endroit le plus sensible. Jasmine Tong poussa la tĂȘte d'Albert Ou, "ArrĂȘte, tu seras en retard plus tard." C'est normal d'avoir trois ou cinq minutes de retard.» "Êtes-vous quelqu'un qui peut rĂ©gler un combat en trois Ă  cinq minutes?" Il semble que je ne suis pas moins redoutable dans l'esprit de ma femme. Est-ce le but?» La porte de la salle de bain Ă©tait verrouillĂ©e et Tong Ă©tait toujours descendu dans la salle de bain, mais seulement parce qu'un enfant a couru et a frappĂ© Ă  la porte comme un fou, ce qui a amenĂ© quelqu'un Ă  rĂ©gler le combat en trois Ă  cinq minutes! Le cƓur de Jasmine Tong Ă©tait brisĂ©, alors elle ferait mieux de ne pas le faire, et maintenant l'ombre d'Albert Ou Ă©tait encore plus lourde. EmballĂ© et sorti, San San regarda Jasmine Tong avec un mauvais sourire. Maman, est-ce que vous vous ĂȘtes encore faufilĂ© des fraises dans la salle de bain.» Jasmine Tong a touchĂ© la tĂȘte de San San, "Mon fils, on dirait que tu es destinĂ© Ă  ĂȘtre battu, maman va tourner un film, je ne peux pas t'aider, tu te souviens de protĂ©ger ta tĂȘte." Ah» San San ne comprend toujours pas de quoi parle Jasmine Tong. Albert Ou avait Ă©tĂ© celui qui n'avait pas dit un mot de colĂšre, et c'Ă©tait le moment le plus effrayant pour lui. AprĂšs avoir renvoyĂ© Jasmine Tong, Albert Ou est retournĂ© dans le salon, et San San savait aussi que sans Jasmine Tong, elle n'aurait pas d'abri et s'est Ă©chappĂ©e en un Ă©clair, se rĂ©fugiant dans la chambre de Meng Rujiao. Albert Ou l'a ignorĂ© et a criĂ© le majordome, Wu Xiu. Je vous ai demandĂ© de trouver un jardin d'enfants pour le jeune maĂźtre, l'avez-vous dĂ©jĂ  trouvĂ©? Plus vous vieillissez, plus vous ĂȘtes vraiment inutile et vous ne pouvez pas faire une telle chose. Wu Xiu Ă©tait lui aussi lĂ©sĂ©, il provoquait qui qu'il plaisantait, pas besoin de demander pour savoir que ce devait ĂȘtre le jeune maĂźtre qui avait Ă  maintes reprises dĂ©nigrĂ© la bonne fortune d'Albert Ou. J'ai regardĂ©, juste,» Ce qui est si bien, c'est que nous pouvons simplement trouver une Ă©cole qui le fera. Il n’existe pas de lenteur. » Albert Ou ne veut vraiment pas voir son fils un jour. Wu Xiu a rapidement aidĂ© San San Ă  choisir une Ă©cole et est entrĂ© au jardin d'enfants en tant que stagiaire. Albert Ou pensait qu'il se sentirait mieux aprĂšs que SanSan soit allĂ© Ă  la maternelle, mais il n'a jamais imaginĂ© qu'il aurait plus de choses Ă  faire chaque jour depuis que SanSan est allĂ© Ă  la maternelle, c'est-Ă -dire pour essuyer le cul de son propre fils. La premiĂšre fois que San San est allĂ©e Ă  la maternelle, elle a pleurĂ© Ă  sept enseignants de la maternelle, et la directrice elle-mĂȘme est venue Ă  sa porte en pleurant et en exprimant son espoir que San San choisirait une autre Ă©cole maternelle, ou qu'elle se pendrait Ă  la maison d'Ou. Pour cette raison, Albert Ou a frappĂ© San San pour la premiĂšre fois, avant que ce ne soit juste une frayeur, mais cette fois c'Ă©tait un vrai coup, fessant les petites fesses de San San toutes rouges et enflĂ©es. Albert Ou pensait qu'il ferait plus attention, alors il l'a envoyĂ© dans un autre jardin d'enfants, mais en une semaine, tous les enseignants de la maternelle sont venus se plaindre du crime de San-San. San-San a naturellement Ă©tĂ© battu Ă  nouveau. En un mois, cinq jardins d'enfants ont Ă©tĂ© changĂ©s. Tous les professeurs de maternelle disent que San-San est un vrai con. Finalement, Albert Ou l'envoya dans une Ă©cole maternelle internationale connue pour sa rigueur et sa gestion de style militaire. Avant de partir pour la maternelle, Albert Ou a sĂ©vĂšrement averti San San que s'il Ă©tait renvoyĂ© de la maternelle cette fois-ci, il serait expulsĂ© directement de la maison, et cette fois, San San Ă©tait tout Ă  fait honnĂȘte, au moins on ne lui a pas ordonnĂ© de Pars. Quand Albert Ou raconte cela dans la vidĂ©o avec Jasmine Tong, Jasmine Tong meurt littĂ©ralement de rire. Abonnez-vous aux derniĂšres mises Ă  jour
Parolesde chanson Patrick SĂ©bastien - Le Chanteur MasquĂ©. Paroles de chanson. Patrick SĂ©bastien. - Le Chanteur MasquĂ©. yĂ© suis Le Chanteur MasquĂ©. yĂ© suis venu pour venger. les parents du monde entier. que l'on a persecutĂ© avec des chansons pour bĂ©bĂ©. c'est la mere michelle qui a perdu son chat. J'ai descendu dans mon jardinJ'ai descendu dans mon jardinPour y cueillir du romarin du romarinGentil coquelicot, mesdamesGentil coquelicot nouveau J'n'en avais pas cueilli trois brinsJ'n'en avais pas cueilli trois brinsQu'un rossignol vint sur ma main sur ma main Gentil coquelicot, mesdamesGentil coquelicot nouveauQu'un rossignol vint sur ma mainQu'un rossignol vint sur ma mainIl me dit trois mots en latin en latinGentil coquelicot, mesdamesGentil coquelicot nouveauIl me dit trois mots en latinIl me dit trois mots en latinQue les hommes ne valent rien valent rien Gentil coquelicot, mesdamesGentil coquelicot nouveau Que les hommes ne valent rienQue les hommes ne valent rienEt les garçons encore bien moinsGentil coquelicot, mesdamesGentil coquelicot nouveauEt les garçons encore bien moinsDes dames, il ne me dit rienMais des demoiselles beaucoup de bienGentil coquelicot, mesdamesGentil coquelicot nouveau Lesparoles de la comptine. J'ai descendu dans mon jardin J'ai descendu dans mon jardin Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot, nouveau Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot J'n'en avais pas cueilli 3 brins J'n'en avais pas cueilli 3 brins Qu'un rossignol vint sur ma main Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot, Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ... Voir le deal MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP AuteurMessageLys ShakInvitĂ©Sujet Angel { Londres - PV - } Ven 20 Oct 2006 - 2209 14h00. BĂąillements. Samedi aprĂšs-midi. Week-end. Amy venait Ă  peine d’ouvrir l’Ɠil, elle avait dĂ©cidĂ© d’aller voir une amie moldue Ă  elle vendredi soir, et rĂ©sultat, elle s’était endormie. Travail, travail 
 MĂȘme aprĂšs avoir quittĂ© son mĂ©tier de Ministre elle devait sans cesse se donner Ă  fond pour rĂ©ussir, rĂ©ussir et encore rĂ©ussir. BĂąillements. La jeune femme dĂ©cida enfin de quitter le canapĂ© sur lequel elle avait passĂ© la nuit – puis la matinĂ©e bien entendu – et partit donner un peu de bonheurs Ă  son amie. Celle-ci lui prĂȘta de quoi se vĂȘtir – car Sonatine s’était couchĂ©e entiĂšrement habillĂ©e – puis elle avait enfilĂ©e son sac, s’était maquillĂ©e et avait fait toutes les autres actions possible que beaucoup d'autres femmes auraient accomplis. Clac ! La porte. Aurevoir ! Amy descendit les escaliers avec dĂ©licatesse avant d’ĂȘtre enfin 
 Dehors. Air. OxygĂšne. Sourire. Il Ă©tait rare de voir mademoiselle Shakespeare, cette vraie poupĂ©e de cire, montrer ses dents Ă  tout les passants qui croiser son chemin. Bonheur ? Silence. Londres Ă©tait bruyant mais la jeune femme ne voulait rien entendre, elle n’écouta que son esprit enfantin et s’affala sur le banc le plus proche. Silence. Respire. Une explosion ne l’aurait sĂ»rement pas arrachĂ©e Ă  ses pensĂ©es. Elle se sentait bien Ă  ce moment prĂ©cis, elle avait juste envie de continuer Ă  fixĂ© le ciel ainsi pendant des heures
 Le monde vivait autour d’elle, il bougeait, il tournait, il se dĂ©pĂȘchait car il Ă©tait en retard au travail, il bousculait 
 Mais Amy elle, elle s’éteignait, elle ne voulait rien lĂ , elle avait juste besoin d’ĂȘtre ici, elle voulait ĂȘtre en dehors de tout ça, de tout ce stress. Elle voulait avoir sept ans. Elle resta ainsi, dans sa bulle, pendant cinq, puis dix, puis quinze minutes et 
 Mince ! Un vieillard moldu venait de s’asseoir maladroitement sur le banc oĂč Sonatine rĂȘvassait et avait renversĂ© la moitiĂ© de son cafĂ© qui Ă©tait dans un petit verre en plastique sur son tee-shirt. Soupir. Et merde 
 La jeune femme accepta les excuses du vieil homme avec un sourire puis parti vite pour Ă©viter d’avoir d'autres taches autre part que sur son tee-shirt. Soupir. La tache Ă©tait Ă©norme 
 Amy avait vraiment l’air idiote. Une seule solution faire les magasins. Au moins, elle aurait des habits moldus en plus 
 C’est ainsi que sous le soleil tapant de cette aprĂšs-midi d’Octobre, la sorciĂšre s’était dĂ©cidĂ©e Ă  faire quelque chose d’utile pour elle. VoilĂ  longtemps que Sonatine ne s’était pas baladĂ©e dans Londres. Ah 
 Londres. Sourire. Si elle aimait une ville c’était bien elle. Ce parfum 
 Cette particularitĂ© 
 Ces rues 
 Cette ambiance 
 La beautĂ©. La capitale de l’Angleterre la fascinĂ©e depuis toute petite, elle Ă©tait nĂ©e et mourrait ici. C’était ainsi dans sa petite tĂȘte et pas autrement. La Directrice des Serpentards marcha un petit moment avant de trouver un endroit qui lui convenait vraiment. Le magasin ne contenait pas Ă©normĂ©ment de monde et il Ă©tait assez grand. Sourire. La jeune femme se mordilla la lĂšvre infĂ©rieure 
 Par oĂč aller t’elle commencer ? Partout s’entassaient des vĂȘtements de toutes sortes. Pendant, un instant, Amy observa la tache de cafĂ© sur son tee-shirt et souffla discrĂštement, agacĂ©e. La premiĂšre chose qu’elle allait faire c’était s’acheter quelque chose qui pourrait rĂ©parer l’incident sur son habit. Hum 
 Hum 
 Les tee-shirts femme 
 Ah ! Il fallait avant tout passer par le rayon homme. L’ancienne Serdaigle se mit donc en marche, observant des Ă©tagĂšres pleines de vĂȘtements – normal – et ne fit soudain plus attention Ă  oĂč elle mettait les pieds 
 Le choc fut inĂ©vitable. Aie ! Amy reçu quelqu’un en pleine figure et fut Ă©touffĂ©e par l’étrange chaleur que dĂ©gageait un homme, le premier rĂ©flexe de mademoiselle Shakespeare fut de fermer un instant les yeux puis de reculĂ© doucement tout en passant une main sur sa joue droite qui avait subit le choc en grande partie. Ce n’était vraiment pas son jour 
Sonatine – Je suis dĂ©solĂ©e 
 Je ne regardais pas devant moi 
La jeune femme releva la tĂȘte puis ne pu que se retenir de rougir comme une dingue face Ă  l’homme en face d’elle. Quel beautĂ© 
 Si, enfaĂźte ... C’était son jour. Alex O'BInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Dim 22 Oct 2006 - 1601 Ah le samedi ! premier jour du week-end, donc le plus apprĂ©ciable, bien sĂ»r ! Il reste encore un jour de congĂ© le lendemain, quoi de mieux ? 14h00, rĂ©veil, quelle joie de pouvoir dormir aussi longtemps, de pouvoir profiter d’un repos bien mĂ©ritĂ©, quoi de plus heureux que de se rĂ©veiller doucement sans avoir Ă  se dire qu’aujourd’hui sera une longue et harassante journĂ©e de travail. Un pied par terre, un deuxiĂšme. Ouh lĂ  ! Pas trop vite, prendre son temps, c’était le maĂźtre mot du week-end. On reste donc assis un moment sur sont lit, on passe ses mains sur son visage, on s’étire et hop ! On se lĂšve et on va prendre un bonne douche bien chaude. Prendre son temps sous la douche, quelque chose que l’on ne peut pas faire la semaine, ben non ! D’abord on se lĂšve en sursaut et de mauvaise humeur Ă  cause de ce foutu rĂ©veille qui vous siffle dans les oreilles et aprĂšs on se lĂšve en vitesse, on se douche en vitesse aussi, tellement vite qu’on en oublie de mettre l’eau chaude et qu’on se retrouve soudainement au PĂŽle Nord chez soi, satanĂ©e douche ! Mais la c’est diffĂ©rent. On prend tout son temps, cool, relaxe. On apprĂ©cie l’eau chaude qui coule sur soit et on y reste facilement un quart d’heure, voir plus, avant que notre estomac nous rappelle Ă  l’ordre en nous criant Hey ! j’ai faim la-haut ! Bouge un peu tes fesses ! ». Donc on sort de la douche, on se sĂšche tranquillement, on passe son linge autour de la taille et on se dirige vers la cuisine. Bah, pas la peine de faire un grand festin au dĂ©jeuner, lorsqu’on est seul, Ă  quoi bon ? Hop. On se sort un bol, du lait, ses cĂ©rĂ©ales prĂ©fĂ©rĂ©es que l’on verse avidement dans le rĂ©ceptacle de cĂ©ramique, on y verse le lait et on mange on savoure, on regarde par la fenĂȘtre la ville qui s’active, les gens pressĂ©s qui se rendent au travail. Oui oui, le travail, parce que c’est ça le plus rĂ©jouissant le week-end, c’est d’observer tranquillement les gens qui n’ont pas la chance de ne pas avoir Ă  travailler. Sadique, mais tellement bon. DĂ©jeuner fini, un ptit coup de baguette et tout est lavĂ©, rangĂ©. Puis on se dit Mais que faire de mon samedi ? Bon allez ! je sors, je verrai bien ! ». Alors on se dirige vers l’armoire on l’ouvre et lĂ  Et merde, faudra bien penser Ă  rafraĂźchir tout ça, c’est immettable ! Ben ouais, on pense Ă  ça le week-end, la semaine on rĂ©flĂ©chit mĂȘme pas Ă  ce qu’on met, pas le temps. Donc on s’habille avec ce qui reste de mettable et hop, c’est dans la rue, on marche, tranquille, on observe les passants, on salue deux ou trois connaissances, on reste un moment Ă  papoter et c’est repartit.~Hugin~*Bon ! OĂč vais-je aller ?Question essentielle. OĂč aller ? Tout le monde se la pose, mĂȘme Alex. Alors il se dit que c’est pas vraiment important d’y rĂ©flĂ©chir, on va la oĂč nos pas nous mĂšnent. Alors il avance, tranquille, pas besoin de stresser, c’est le week-end ! Et puis enfin un petit magasin bien sympathique se profile Ă  l’horizon, intĂ©ressĂ©, on y entre, les gens du marketing pourront se fĂ©liciter d’avoir bien fait leur boulot.~Hugin~*Pas mal, pas mal.*Mais, aveuglĂ© par tout ces magnifiques textiles, on ne regarde, malheureusement, pas oĂč on se dirige et c’est la que
PAF ! On rentre dans quelqu’un. Tant mieux, Alex ne se fait pas mal, mais..oh ! Attendez, ce parfum, ouah, quelle dĂ©licieuse senteur, envoĂ»tante, captivante, ça ne peut-ĂȘtre qu’une jeune demoiselle. On ouvre les yeux et
et ben ça a pas manquĂ© ! Une jeune demoiselle, et quelle demoiselle, tout aussi magnifique que l’odeur du parfum qu’elle – Je suis dĂ©solĂ©e 
 Je ne regardais pas devant moi 
La voix n’a rien Ă  envier au parfum ou Ă  la beautĂ© de la demoiselle, claire, chantante, douce. On pourrait rester des heures rien qu’à l’écouter.~Hugin~ Oh, ne vous excusez pas mademoiselle, c’est moi qui ne regardait pas oĂč j’allais et
oh, excusez, je crois que j’ai fais une tĂąche sur votre t-shirt, sĂ»rement un peu de votre cafĂ© qui vous est tombĂ© dessus lors du choc. »Et lĂ  on se dit qu’on est le plus bel idiot de la terre, tacher une si belle demoiselle. On est confus, on propose maladroitement un mouchoir pour qu’elle s’essuye, mais surtout, on ne manque pas de s’émerveiller devant tant de beautĂ©. Lys ShakInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Dim 22 Oct 2006 - 1940 Silence. Amy se contenta tout simplement d’observer. Elle se demanda comment les aveugles pouvaient vivre sans pouvoir contempler un tel spectacle, une telle beautĂ©. Lui ». A partir de cette seconde, cet homme n’était plus celui-la » ou le gars lĂ -bas », mais Lui ». C’était totalement diffĂ©rent. La jeune femme eut le rĂ©flexe d’avancer la main prĂ©s du visage de l’inconnu mais la retira immĂ©diatement, et voilĂ  .. Elle Ă©tait encore dans ses rĂȘves. Mais .. Quel beau songe hein ? Comme une gamine naĂŻve, la directrice de Serpentard regarda les mains de la personne en face d’elle et fut rassurĂ©e de ne pas trouver d’alliance. Sourire. C’est Ă  ce moment-lĂ  que la jeune femme compris. Allait-elle continuer Ă  errer seule ? À ne rien faire qui lui plaise ? A ne pas partager ses envies ? Ses rires ? Son bonheur ? Tout venait de se chambouler dans sa tĂȘte, et elle oublia en l’espace d’un instant l’adulte atteinte du syndrome de Peter Pan qu’elle Ă©tait. Stop ! Maintenant c’était trop. Elle s’en fichait pas mal si c’était un moldu, elle s’en fichait pas mal oui ! Elle voulait ĂȘtre avec lui. Elle voulait vivre avec lui dĂ©s maintenant, qu’importe son Ăąge, ses dĂ©fauts, la jeune femme Ă©tait prĂȘte Ă  les accepter les bras ouverts. Sourire. Il ne lui Ă©chapperait pas, oh non .. Coup de foudre ? En un Ă©clair. Soudain, il ouvrit la bouche, laissant la douce mĂ©lodie de sa voix parcourir les oreilles d’Amy. Ferme tes yeux. Wow. Tout Ă©tait parfait, tout !~Hugin~ Oh, ne vous excusez pas mademoiselle, c’est moi qui ne regardait pas oĂč j’allais et
oh, excusez, je crois que j’ai fais une tĂąche sur votre t-shirt, sĂ»rement un peu de votre cafĂ© qui vous est tombĂ© dessus lors du choc. »Sonatine – Oh ! Non non ! Ce n’est pas vous ! C’est un vieillard qui s’est attaquĂ© a mon tee-shirt vous savez les moldus sont
Amy posa une main tremblante sur ses lĂšvres. DĂ©jĂ  une gaffe. Elle avait prononcer un mot qui Ă©tait propre Ă  son monde devant quelqu’un qui n'y faisait peut-ĂȘtre pas parti. La jeune femme mordilla sa lĂšvre infĂ©rieure. Et si elle lui disait tout ? Peut-ĂȘtre accepterait-il de vivre Ă  ses cĂŽtĂ©s malgrĂ© qu’elle soit une sorciĂšre ! Et puis elle connaissait du monde au MinistĂšre – normal en tant qu’ex Ministre – alors elle pouvait disparaĂźtre de l’esprit du bel homme en cas de .. euh .. Accident. Sonatine Ă©tait prĂȘte Ă  se donner une claque .. Comment pouvait-elle aller si vite ? Et maintenant lĂ , comment faire pour rattraper cette phrase ? Y’avait-il un mot non-sorcier qui ressemblait Ă  Moldu » ? Molaires ? » non .. Non .. C’était peine perdue. Une autre idĂ©e lui vint Ă  l’esprit, il fallait qu’elle dĂ©tourne la conversation ! Amy tendit alors sa main droite droit devant elle..Sonatine – Je ne me suis pas prĂ©sentĂ©e, mon nom est Amy Shakespeare .. Encore dĂ©solĂ©e de vous avoir heurter. Je ne voudrais pas ĂȘtre impolie Monsieur 
 Mais a qui ai-je l’honneur ? Sourire. Ouf. Beau rattrapage Shakespearien. Sonatine se remit Ă  contempler discrĂštement le visage de son interlocuteur, se pinçant presque pour Ă©viter de lui sauter dessus. S'il continuait Ă  sourire aussi bien et Ă  sentir aussi bon, Amy finirait par vraiment le faire. Plus elle le contemplait comme un magnifique tableau, plus l’ex-Ministre se rendait compte Ă  quel point il lui disait quelque chose. Ne l’avait-elle pas croiser une fois ? La jeune femme ne se rappeler plus oĂč, ni quand mais une chose Ă©tait sure, un tel physique ne s’oubliait pas. Mon dieu .. Oui Dieu ! Il devait ĂȘtre Dieu en personne pour ĂȘtre si magnifique. Il la faisait rĂȘver. Se qu’avait essayer de faire certains hommes pendant des annĂ©es, lui il l’avait fait en une seule et unique seconde. Sourire. Tout Ă©tait flou autour d'eux, il y avait seulement cet homme et elle. Amy aurait pu mourir Ă  ce moment-lĂ , tant qu’elle le regarder rien ne pouvait la dĂ©ranger. La jeune femme n’avait jamais ressenti cela dans sa vie .. Pourquoi avait-elle mal au cƓur d’un coup ? Hum... Amour quand tu nous tiens .. Alex O'BInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Lun 23 Oct 2006 - 1920 Sonatine – Oh ! Non non ! Ce n’est pas vous ! C’est un vieillard qui s’est attaquĂ© a mon tee-shirt vous savez les moldus sont
Et vlan, la on se sent vraiment ridicule, on s’excuse pour quelque chose qui n’est mĂȘme pas notre faute, tellement envieux d’avoir quelque chose Ă  dire Ă  la belle. Alors on s’égare en maintes explications de J’ai cru que et on s’embrouille, on bĂ©gaye et on se rend ridicule un point non imaginable. Et puis soudain on entend un mot, LE mot qui va tout changer, donc on se dit wowowowowow ! Stop ! Temps mort. Qu’est-ce qu’elle a dit ? » On entendu, mais on est plus sĂ»r, le doute s’installe et lĂ  On rembobine le tout, jusqu’à l’instant prĂ©cis oĂč le mot sort d’entre ces deux lĂšvres qui vous font saliver 
 vous savez les moldus sont
. BINGO ! C’est bien ce mot, maintenant c’est sĂ»r donc hop on rĂ©-avance la cassette et on se remet dans la conversation et Ă  l’intĂ©rieur on exulte. On saute de joie. Et on rit, oui, on rit, tout simplement parce que la personne en face de soit appartient Ă  notre » monde, ce qui signifie que l’aborder sera plus facile. Mais lĂ  on se dit que jouer serait plus intĂ©ressant, le regard pĂ©tille, et on en rajoute, rien que pour le jeu.~Hugin~ Euh, excusez-moi, qu’avez-vous dit ? Moldu, ou peut-ĂȘtre ai-je mal entendu, je pense que c’est ça
moldu
ça ne veut rien dire, non ? Vous ĂȘtes sur que vous ne vous ĂȘtes pas cognĂ©e la tĂȘte pendant le choc ? »CognĂ©e la tĂȘte pendant le choc. Bien sĂ»r on joue un jeu dangereux, la demoiselle pourrait mal le prendre, mais on a toujours une carte dans sa manche, lui avouer qu’on en » fait aussi partie et qu’on a simplement jouĂ© le jeu pour rester discret. Et Ă  la tĂȘte de la demoiselle, on exulte de nouveau, elle a l’air paniquĂ©e se demandant sans doute si elle n’a pas fait une bĂȘtise, et on savoure. On savoure cette si belle femme, Ă  qui on pause tant de soucis, mais Ă  qui on a tout aussi hĂąte d’apporter le rĂ©confort en lui expliquant tout. Et tout Ă  coup, elle se prĂ©sente. BAM ! Cette voix, de nouveau. Encore. On en veut encore, plus, toujours plus, jusqu’à entrer en overdose. En overdose d’ Elle ». Et re-BAM. Amy Shakespeare. LA Amy Shakespeare. Bien sĂ»r Alex la connaĂźt, dans un pays, on connaĂźt ses ministres, ex-ministre en l’occurrence. Mais les ministres, eux, ne connaissent pas leur concitoyens, mais ils connaissent ceux qui sont importants, ou encore les dĂ©tenus, ainsi que les ex-dĂ©tenus dont les procĂšs on fait un tollĂ© gĂ©nĂ©ral parmis les citoyens. Et si elle s’en rappelait ? Son procĂšs, Ă  Alex, celui qui avait eu lieu quelques annĂ©es au par-avant, peut-ĂȘtre qu’elle ne voudrait mĂȘme plus lui parler, qu’elle s’en irait. Non. Mais on tente quand mĂȘme, parce qu’on a pas envie que ce soit une rencontre d’un jour, Non plus. Et donc on dit son vrai nom. Puis un silence de mort.~Hugin~ Alexandre O’Brian, mademoiselle, pour vous servir. » Ben nous ce qui nous servirait c’est que vous dĂ©gagiez le passage, les tourtereaux ! »Et merde, on en a mĂȘme oubliĂ© les clients qui sont autour, et qui veulent passer. Peuvent pas passer autre part ? Et on se rend compte qu’il y a pas d’autre passage, donc on se met de cĂŽtĂ©, mais bien sĂ»r du Sien ». Non, on ne veut pas La » quitter, donc on se met de Son » cĂŽtĂ©, et on en profite pour lui murmurer Ă  l’oreille. ~Hugin~ Heureux de faire votre connaissance, mademoiselle la Ministre. »L’ex-Ministre. Mais bon, on se dit que d’ĂȘtre enchantĂ© de vous rencontrer mademoiselle l’ex-Ministre ne sonne pas bien et donc on utilise ces termes la. Mais enchantĂ© n’est pas le mot appropriĂ©, il n’y en a tout simplement Amour quand tu nous tiens .. Lys ShakInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Jeu 26 Oct 2006 - 123 { DĂ©solĂ©e mon n'HoMmEuh mais le RP est un peu pourri / Je t'aimeeeeeeuh }Peur. Vraiment peur. Pourquoi cette agrĂ©able sensation lui parcourait-elle le corps ? Oh ciel .. Si elle pouvait seulement se retenir d’avoir des frissons lorsque le regard parfait de l’homme croiser le sien. Hum .. Non ne tourne pas la tĂȘte ! Regarde moi ! Rien qu’une fois de plus .. Pour l’éternitĂ©. Peur. Peur d’avoir prononcer ce mot qui faisait parti de son monde et peut-ĂȘtre pas de celui de son interlocuteur. Qu’elle imbĂ©cile elle Ă©tait .. Et aprĂšs on se prĂȘtant ĂȘtre Amy Sara Shakespeare, ancienne Ministre de la Magie et actuelle Directrice de Serpentard. Honte. La jeune femme avait honte d’elle. Pendant un instant, elle baissa la tĂȘte, fixant ses chaussures, se caressant la nuque signe qu’elle Ă©tait mal en point. Hum .. Sa voix.~Hugin~ Euh, excusez-moi, qu’avez-vous dit ? Moldu, ou peut-ĂȘtre ai-je mal entendu, je pense que c’est ça
moldu
ça ne veut rien dire, non ? Vous ĂȘtes sur que vous ne vous ĂȘtes pas cognĂ©e la tĂȘte pendant le choc ? »Les yeux de l’ancienne Serdaigle se jetĂšrent sur l'Apollon en une fraction de seconde. Peur. Panique ? Amy respira un moment. Il fallait qu’elle gagne du temps, dĂ©licatement et avec tout le charme possible, elle fit tomber une chemise pour homme et se pencha doucement pour la saisir et la remettre Ă  sa place. Elle devait avoir l’air tellement bĂȘte 
 Ne sachant quoi faire face Ă  une situation aussi embarrassante .. Elle ? Miss Shakespeare ? La femme qui rĂ©solvait pourtant si vite les problĂšmes ? VoilĂ  ! Elle l’avait trouvĂ© son point faible, c’était lui. A partir de maintenant, il y’avait avant », au moment oĂč elle rentrait dans cette boutique, oĂč le monde Ă©tait Ă  ses pieds et oĂč la solitude n’était pas tellement un problĂšme, puis il y allait avoir .. AprĂšs ». Tout aller ĂȘtre diffĂ©rent, tout. Tout avait dĂ©jĂ  changĂ©, tout. Silence. Et si elle sortait de ce magasin avec lui ? Wow .. Sourire. Ce serait donc ça la vie ? Ce petit plaisir qui se niche dans le creux de votre estomac et qui vous fait rire pour un rien, tout simplement parce que vous ĂȘtes heureux ? La joie c’est .. Ca ? Ben nous ce qui nous servirait c’est que vous dĂ©gagiez le passage, les tourtereaux ! »Sourire. Timide. SauvĂ©e ! Au moment oĂč Sonatine aller tentĂ©e de s’expliquer auprĂšs du beau jeune homme, une voix d’homme retentit dans l’air. les tourtereaux » Amy ne pu se retenir de rougir lĂ©gĂšrement. Wow .. C’était un signe. Elle se faisait peut-ĂȘtre des films mais elle Ă©tait heureuse d’y croire. Tout s’enchaĂźna avec une agrĂ©able prĂ©sentation puis 
 Quoi ? Alexandre O’Brian ? Ce nom lui disait quelque chose .. Mais oui ! L’homme qui avait fait 3 mois de prisons Ă  Azkaban pour avoir lancer le sortilĂšge d’ Avada Kedavra ». Amy analysa la situation calmement, ce n’était pas la peine de paniquer, il avait un bon mĂ©tier .. Non ? Oui ! Un sourire se dessina sur le visage de l’ancienne Ministre. Auror. Alexandre Ă©tait un Auror .. Hum .. Amour .. Elle ferma les yeux. Amy ferma ses grands yeux bleus magnifiquement maquiller de noir. Wow .. Elle sentit. Quelque chose s’approcha d’elle, une chaleur humaine, cette chaleur unique qu’avait ressentit Sonatine lors du violent contact qui s’était fait entre elle et le bel Auror. C’était lui .. Elle respirait le mĂȘme air que lui, c’était le bonheur, son visage Ă©tait proche d’elle. S’il y’a des anges lĂ  haut .. Faites qu’ils arrĂȘtent le temps Ă  cette seconde mĂȘme.~Hugin~ Heureux de faire votre connaissance, mademoiselle la Ministre. »L’ancienne Serdaigle Ă©carquilla alors ses deux beaux yeux, fit un pas en arriĂšre et sans vraiment le vouloir, elle attrapa le bras d’Alex mais se retira tout de suite. Cette chaleur. Elle lui atteignit tout le corps, grimpant partout, dans ses veines, sous sa peau, sur sa nuque. Frissons. La jeune femme n’avait pu garder en elle cette sensation de joie magique. Il ne fallait pas qu’elle paraisse effrayĂ©e ou mĂȘme dĂ©stabilisĂ©e ! Amy Shakespeare s’approcha alors de l’oreille de son interlocuteur, et les mots glissĂšrent entre ses lĂšvres 
Sonatine – Moi de mĂȘme Monsieur l’ rire. Pourquoi avait-elle l’impression de le connaĂźtre depuis des annĂ©es ? Hum 
 Amour 
 Il fallait tenter le tout pour le tout, Amy effleura l’épaule d’Alexandre Ă  l’aide de son ongle, puis le fit doucement glisser jusqu'Ă  rencontrer la main du jeune homme. Son visage s’approcher de plus en plus des lĂšvres de l'homme .. Amour ..Elle avait compris. Carpe Diem. Alex O'BInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Lun 30 Oct 2006 - 1556 [Roh mais non ma FeMmEuH J'aime beaucoup. Et je t'aime aussi ] Elle baisse la tĂȘte et regarde ses chaussures tout en se caressant la nuque. Alex avait rĂ©ussi. Elle ne se sentait pas bien. Elle avait commis une erreur, et elle le savait. Alex s’en voulait presque d’avoir jouĂ© Ă  ce jeux, vu la reaction de la belle demoiselle. Mais les gens sont autour, il ne peut faire autrement. Eux, ne doivent pas savoir. Elle » apprendrait bientĂŽt toute la chemise tombe. Elle essaye de gagner du temps. Alex se retient de dire, la situation est particulĂšrement cocasse. Que va-t-elle faire ensuite ? Elle semble perdue. Ben nous ce qui nous servirait c’est que vous dĂ©gagiez le passage, les tourtereaux ! »Ah ces clients ! Il les a presque oubliĂ©s, pourquoi fallait-il qu’ils rĂ©agissent maintenant ? Non. Il ne voulais pas, il ne voulait pas partir. Il ne voulait pas la quitter ainsi. Raaah ! Ils ont tout fichu en l’air. Mais attendez. Elle sourit. Elle rougit. Bingo ! C’est dans la poche ! Finalement, les passants, ils sont pas si chiants que ça. Alors il se lĂšve, pour laisser passer ceux qui, involontairement, on fait s’envoler le doute qui planait encore et il leur sourit, alors qu’ils lĂąchent un flot d’ il se retourne vite vers Elle » en espĂ©rant qu’elle ne soit pas partit. Ouf, c’est bon Elle » est encore lĂ . Juste lĂ . Belle. Si belle. Bon, le jeu c’est fini maintenant. Il faut qu’elle sache, alors il glisse un petit. Heureux de faire votre connaissance, mademoiselle la Ministre. » qui provoque une reaction des plus cocasse. L’ex-Ministre recule. Il sourit Ă  cette rĂ©action, mais tout Ă  coup le sourire s’estompe. Une main, douce et chaude. Cette main, la Sienne » cela ne peut en ĂȘtre autrement. Et la il vacille presque. PitiĂ©, faites que le temps s’arrĂȘte, lĂ , maintenant. Ne plus jamais la quitter. Rester Ă  jamais prĂšs d’elle. Un frisson. Elle frissonne et ça se sent, Ă  cet instant une connexion s’établit, le frisson passe de son corps Ă  celui d’Alex. Il frĂ©mit, quelle douce elle s’approche, de plus en plus prĂšs. Oh mon dieu ! Mon dieu ! Que faire ? Que faire ?! DĂ©stabilisĂ©. Oui, c’est ça, dĂ©stabilisĂ©. Rien de plus, rien de moins. Il ne sait plus que faire, alors il se laisse aller. Ses lĂšvres, si proches. Son souffle, si – Moi de mĂȘme Monsieur l’ voix. Encore cette voix. Toujours. Si douce, mĂ©lodique et belle. Unique. Elle. Un nouveau frisson. Elle sait. Elle sait qu’Alex est Auror, ce n’est pas la mer Ă  boire, mais tout de meme. Ça rĂ©chauffe le cƓur. Et lĂ  il se dit que c’est normal. N’était-elle pas Amy Shakespeare, l’ex-Ministre de la Magie ? Il Ă©tait logique, cela va de soit, qu’elle le sache. Puis il replonge dans des souvenirs, pourquoi ? Aucune idĂ©e, il y replonge. Et il se dit ~Hugin~* Amy Shakespeare, ça me dit quelque chose, ce nom me dit quelque chose, et mĂȘme bien avant qu’elle ne devienne Ministre. *Mais les pensĂ©es s’évaporent, car nouveau frisson. Nouveau contact. Son ongle effleure son Ă©paule, puis elle prend sa main. Le cƓur bat. Vite. Ses yeux plongent dans ceux d’Alex. Vite. Son visage s’approche. Plus vite. Ses lĂšvres, si proches. Son souffle, si chaud. Encore plus vite. Ses lĂšvres se collent Ă  celles d’Alex. Wow. Stop. Temps mort. Que le temps s’arrĂȘte, Ă  cet instant prĂ©cis, lĂ , tout de suite." Il en est du vĂ©ritable amour comme de l'apparition des esprits tout le monde en parle, mais peu de gens en ont vu. " La RochefoucauldLui, il l’avait vu. Lui, il le vivait. Lui, il en mourrait. Lys ShakInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Jeu 9 Nov 2006 - 2201 { Mon n'HoMmEuh je t'aimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeuh }Give me a reason
 Silence. Amy Shakespeare venait de tout oublier. Qu’elle heure Ă©tait-il ? Quel jour Ă©tions-nous ? En qu’elle annĂ©e sommes nous ? Sa montre avait du s’arrĂȘter depuis ce moment. CE moment. Ce seul, cet unique, cet inoubliable moment qui ne cessait pas. Un ange passait, un vĂ©ritable, frottant ses ailes blanches et douces contre les joues de la jeune femme.. Non, rend toi Ă  l’évidence c’était les mains d’Alex. RĂ©alitĂ©. Temps mort. Les yeux ocĂ©ans de l’ancienne Ministre s’écarquillĂšrent de plaisir
 Attends 
 Mais 
 Tes lĂšvres sur les miennes. Mon dieu. Son cƓur. Sonatine passa une main dans les cheveux de son nouvel amour, tout en l’embrassant tendrement. Coup de foudre ? Hey ! Elle embrassait un homme qu’elle venait Ă  peine de connaĂźtre et dont elle ignorait le passĂ©, le prĂ©sent ! Sauf 
 Le futur, elle savait qu’elle allait jouer dans ses prochaines annĂ©es, dans sa vie, qu’il serait LUI, l’unique, l’irremplaçable, le pĂšre de ses enfants
 Son mari. Allait-elle un peu vite ? Non, sĂ»rement pas, quand la directrice de Serpentard retira ses lĂšvres de celles d’Alex elle n’avait plus qu’a le lire dans les yeux du beau jeune homme. Mais
 Amy ? Ce sont des larmes que je vois lĂ  ? Non, cache les. La jeune femme bondit dans les bras d’Alex, donnant un vĂ©ritable coup Ă  son petit cƓur qui ne battait plus que pour lui. Amour. Espoir. Aucune parole, juste des gestes, qui traduisaient bien ses sentiments. Etait-il possible d’aimer en un regard ? En une parole ? Entre l’étagĂšre des pulls et des chemises pour hommes ? Une tache de cafĂ© sur un vĂȘtement ? C’était donc ce jour-lĂ  qu’Amy Sara Shakespeare allait trouver l’amour ? Des gens hurlaient pour que les deux amoureux se poussent, mais rien ne pouvait troubler cet instant magique. Embrasse-moi. Soudain, l’élĂ©gante Shakespeare se dĂ©tacha d’Alex et lui prit la main, doucement, dĂ©licatement. – tout simplement, de sa douce voix claire. Amy se dirigea vite vers la sortie, un sourire tellement heureux aux lĂšvres que mĂȘme les gens autour d’elle attraper ce petit bout de bonheur dĂ©s qu’ils croisaient son regard. Une fois sortie, la jeune femme observa longuement le magasin moldu oĂč elle Ă©tait rentrĂ©e Ă  cause d’une simple tache de cafĂ©, et oĂč elle Ă©tait ressortie, l’amour en poche. Sourire. Rires. RĂȘves. Frissons. Give me a reason 
 To love you. Le cƓur battant, Sonatine serra la main d’Alex tout en l’emmenant dans un cafĂ©. Il n’y avait presque personne. C’était ça le but d’ailleurs, qu’il n’y ait aucune prĂ©sence capable de les dĂ©ranger. La jeune femme s’assit sur la table tout au fond
 Sans rĂ©flĂ©chir, la jeune Shakespeare commanda deux cafĂ©s puis jeta ses beaux yeux dans ceux de l’homme qui venait de changer sa vie en quelques – Alex... – Je .. Ecoute. Quand je suis rentrĂ©e dans ce magasin dans l’espoir de trouver quelque chose pour me changĂ©e, je ne pensais pas vĂ©nĂ©rer autant la personne qui m’a renversĂ© du cafĂ© sur mon tee-shirt
 Je me souviens de toi, de ton visage, de ton sourire, de tes yeux.. On s’est dĂ©jĂ  vu a Poudlard, comment t’oublier ? Je .. Tu vas sĂ»rement me prendre pour une dingue complet, je te dis tout ça alors qu’on vient Ă  peine de s’adresser la parole mais 
 Ce baiser m'a prouver une chose
Amy respira un instant tout en observant la serveuse poser les cafĂ©s sur la table. Silence. Sourire. Puis avant mĂȘme de reprendre la parole, Sonatine tendit l’oreille et Ă©couta la musique qui dominait la piĂšce 
 I brought you something close to meLeft for something you see though your hereYou haunt my dreamsThere's nothing to do but believeJust believeJust breathe »Un regard. Un sourireSonatine – ...Tu fais parti de ma vie 
 Et Ă  jamais. Alex O'BInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Dim 12 Nov 2006 - 2312 [Excuse moi pour le RP plutĂŽt mĂ©diocre ]Ca y est, il en Ă©tait sĂ»r, le temps s’était arrĂȘtĂ©. Il n’y avait qu’eux, plus rien qu’eux. Un attentat aurait pu se produire Ă  cet instant mĂȘme, qu’Alex n’aurait pas dĂ©collĂ© ses lĂšvres de celles d’Amy. Ils venaient de se rencontrer, mais dĂ©jĂ  ils s’aimaient d’un amour intense. Pourtant Alex Ă©tait sĂ»r qu’il connaissait Amy depuis plus longtemps que cela dĂ©jĂ . Bien sĂ»r il avait entendu parler d’elle alors qu’elle Ă©tait Ministre, mais ce n’était pas tout, il savait qu’il la connaissait depuis plus longtemps que ça
mais depuis quand ?Mais cette question n’était, finalement, pas si importante. Il l’aimait, point. Il l’aimait plus que tout, plus que lui mĂȘme. Finirait-il sa vie avec elle ? Pour lui c’était un fait qu’il n’était mĂȘme pas besoin de prouver, c’était une Ă©vidence, ça sautait aux yeux. Mais elle ? Que pensait-elle en cet instant prĂ©cis ? Etait-elle entrain de se dire Quel goujat ! Il m’embrasse alors qu’il ne me connaĂźt mĂȘme pas ! » ou alors voulait-elle, elle aussi, que tout cela ne s’arrĂȘte jamais ? Il n’est point besoin de prĂ©ciser qu’Alex espĂ©rait ardemment la deuxiĂšme fĂ»t tirĂ© de ses rĂȘveries par Amy, qui avait mit fin Ă  leur baiser. ~Hugin~*Et voilĂ , elle a pas apprĂ©ciĂ©.*Mais, Ă  sa grande surprise et Ă  son grand soulagement, elle lui intima simplement de la sortirent rapidement du magasin, descendirent la rue et se retrouvĂšrent dans un cafĂ© oĂč la jeune demoiselle commanda deux cafĂ©s, avant de plonger son regard dans celui d’Alex. Qu’allait-elle lui dire ? Que tout cela allait trop vite ? Il en Ă©tait conscient, c’était tout Ă  fait vrai, cela allait beaucoup trop vite, mais Ă  vrai dire, il s’en fichait Ă©perduement. Sonatine– Alex...Cette voix, encore cette voix, son corps frĂ©missait en son entier. Encore. Qu’elle lui parle, qu’elle ne se taise plus. Il boirait ses paroles jusqu’à la fin des temps si il le fallait. AprĂšs un moment d’hĂ©sitation, elle reprit la – Je .. Ecoute. Quand je suis rentrĂ©e dans ce magasin dans l’espoir de trouver quelque chose pour me changĂ©e, je ne pensais pas vĂ©nĂ©rer autant la personne qui m’a renversĂ© du cafĂ© sur mon tee-shirt
 Je me souviens de toi, de ton visage, de ton sourire, de tes yeux.. On s’est dĂ©jĂ  vu a Poudlard, comment t’oublier ? Je .. Tu vas sĂ»rement me prendre pour une dingue complet, je te dis tout ça alors qu’on vient Ă  peine de s’adresser la parole mais 
 Ce baiser m'a prouver une chose
Ironie du sort. Elle Ă©tait entrĂ©e dans le magasin pour trouver quelque chose pour se changer, et Ă©tait ressortie main dans la main avec Alex. Il sourit, la situation Ă©tait cocasse. Et finalement, son cƓur fit un saut pĂ©rilleux. Elle avait mit le doigt dessus voilĂ  oĂč ils s’étaient rencontrĂ©s. Poudlard ! Mais oui bien sĂ»r ! Poudlard ! Amy Shakespeare, la meilleure amie de Ri
À la simple pensĂ©e du dĂ©but de ce prĂ©nom, Alex dĂ©chanta. Riku, oui Amy Ă©tait sa meilleure amie, et le problĂšme
c’est que Riku voulait tuer Alex, depuis que ce dernier avait quittĂ© les silence s’était installĂ©, Amy Ă©coutait la musique qui passait dans la piĂšce, et Alex, lui, rĂ©flĂ©chissait. Qu’allait-il se passer ? Amy Ă©tait la meilleure amie de Riku, mais savait-elle que celle-ci voulait le tuer ? Peut-ĂȘtre ne le savait-elle pas encore et, lorsqu’elle l’apprendrait, peut-ĂȘtre expliquerait-elle tout Ă  Riku. Alex Ă©tait dans une – ...Tu fais parti de ma vie 
 Et Ă  faisait partie de sa vie, Ă  jamais, comme elle le disait. Mais Riku, elle aussi, faisait partie de la vie d’Alex. Qu’allait-elle donc choisir ? Car le jeune homme savait que la chef des Mangemorts allait lui demander de faire un choix Elle ou Alex. Et dans ces cas lĂ , l’amitiĂ© prĂŽnait le plus souvent sur l’amour.~Hugin~ Tu as raison
Poudlard, c’est lĂ  que nous nous sommes rencontrĂ©s la premiĂšre fois. Et c’est justement pour ça qu’entre nous, malheureusement pour moi comme pour toi, ça ne pourra jamais marcher
Comme explication je ne donnerai qu’un nom, un seul
Riku
 »Il regarda tristement Amy. Il l'aimait, certes, mais ils ne pouvaient pas dĂ©buter une relation, cela Ă©tait tout Ă  fait impossible. Amy Ă©tait beaucoup trop proche de Riku pour qu'Alex ne prenne pas cela en considĂ©ration, Riku voulait le tuer, et si Amy lui parlait de lui, il Ă©tait un homme mort, Ă  coup sĂ»r. Lys ShakInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Dim 10 DĂ©c 2006 - 1349 { DĂ©solĂ©e pour le retard mon HoMmEuh, je t’aime }Hugin - Tu as raison
Poudlard, c’est lĂ  que nous nous sommes rencontrĂ©s la premiĂšre fois. Et c’est justement pour ça qu’entre nous, malheureusement pour moi comme pour toi, ça ne pourra jamais marcher
Comme explication je ne donnerai qu’un nom, un seul
Riku
Amy resta figĂ©e. Comme paralysĂ©e. Quoi ? Comment ? Pardon ? Se fichait-il d’elle ? Riku
 Sa meilleure amie, son sang, son oxygĂšne, sa vie. Ses yeux suivirent doucement un client se dirigĂ© vers la sortie et le doux tintement de la sonnerie une fois la porte poussĂ©e lui titilla agrĂ©ablement les oreilles
 Horreur. Sonatine baissa les yeux, regardant ses mains tremblantes et entendant son cƓur battre Ă  vive allure. Elle ne pouvait pas laisser passĂ© ça. La colĂšre se lisait dans ses yeux, Alex n’allait sĂ»rement pas passer un bon quart d’heure, car la tornade Shakespeare dĂ©truisait tout sur son passage
 La Directrice ne voulait en aucun cas lui faire du mal, mais elle allĂ©e se faire un plaisir de lui
 Stop. Que pensait-elle lĂ  ? Elle n’allait rien lui faire
 Elle allait juste pleurer
 Pleurer en silence
 Ro et puis zut ! Ce n’est pas ainsi qu’une femme comme elle devait rĂ©agir, elle se devait de faire quelque chose ! Elle laissĂ©e partir sa seule et unique raison de voir l’avenir sous un bon angle ? Pas question ! La jeune femme se leva, poussant la chaise avec violence et attrapa le poignet d’Alex. De dos, elle balança quelques piĂšces de monnaie sur la table et sortie Ă  son tour du cafĂ©, sa main tremblante ne lĂąchant plus le jeune homme. Et voilĂ  Londres, le couple Ă©tait encerclĂ© par des milliers de personnes et lĂ  bien sĂ»r
 Aucun moyen de parler sĂ©rieusement et tranquillement. Bingo ! Amy laissa un sourire se dessiner sur ses lĂšvres, tout en accĂ©lĂ©rant le pas, l’ancienne Serdaigle se glissa dans une petite ruelle que personne ne remarquĂ©e
 La jeune femme regarda Alex de ses beaux iris turquoise, le faisant plonger dans un ocĂ©an de – Tiens toi Ă  pof ! Amy transplana, l’auror Ă  ses cĂŽtĂ©s. L’endroit oĂč ils atterrirent Ă©tait paisible, c’était mĂȘme plus que ça, un silence magique, vraiment agrĂ©able. Un petit jardin saupoudrĂ© de quelques fleurs et 
 Une maison en pierre juste en face. La jeune femme tenait toujours la main d’Alex et l’entraĂźna tranquillement dans la maison. La directrice ferma la porte d’un coup de baguette, puis, elle jeta son invitĂ© sur le canapĂ©. La piĂšce Ă©tait immense, et d’un moderne assez chic. Sonatine – Personne ne nous entendra ici. Alors hum 
 Ecoute moi bien, Alexandre, depuis quand un homme fuit l’amour de peur de se faire embrocher par quelqu’un ? Surtout quand la personne en question est la meilleure amie de celle qui fait battre ton cƓur
 Tu as trahi les Mangemorts c’est ça ? Riku me raconte souvent se qu’il se passe dans les tĂ©nĂšbres
 Tu sais Alex, je suis la seule personne qui aime Riku plus que sa propre vie, je suis la seule personne qui pourrait tuer pour elle et je suis aussi la seule personne qui a du pouvoir sur elle. Elle en a sur moi mais j’en ai autant sur elle et je suis en quelque sorte, son contrĂŽleur’. N’as tu jamais penser qu’il suffirait que je dise un mot Ă  Riku pour qu’elle ne te tue pas ? Tu ne rĂ©flĂ©chis donc pas ? Alex
Amy prit une pause et retira son manteau, elle le jeta Ă  travers la piĂšce et il atterrit sur le porte manteau, la jeune femme se laissa tombĂ©e sur le fauteuil juste en face de son interlocuteur et plaça ses mains sur son visage. Quelques larmes ne purent s’empĂȘcher de couler sur les joues pĂąles de la – ... Dis moi
 Dis moi que tu ressens la mĂȘme chose que moi, dis moi que tu es tomber amoureux de moi dĂ©s que nos regards se sont croiser
 Dis le moi je t’en supplie
 Je t’aime Alex, ça paraĂźt complĂštement fou ! InsensĂ© ! Mais je t’aime, je t’aime de tout mon cƓur
 De tout mon cƓur
La jeune femme dĂ©tacha ses cheveux,ses couleurs semblables Ă  une pluie d’automne, glissĂšrent sur ses Ă©paules. Son regard resta plonger dans celui d’Alex tandis qu’elle enlever son gilet, restant maintenant en tee-shirt, le fameux tee-shirt tacher par le cafĂ©. DĂ©licatement, la Directrice passe une main dans on coup et retira son collier, passant ensuite Ă  ses boucles d’oreilles, qu’elle posa sur la table juste Ă  cĂŽtĂ© avec un geste Ă©lĂ©gant qui lui Ă©tait propre. Sonatine - 
 Embrasse-moi. Alex O'BInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Ven 29 DĂ©c 2006 - 1908 {DĂ©solĂ© du retard ma FeMmEuH...je t'AiMeUh } Alex n’eut mĂȘme pas le temps de rĂ©flĂ©chir Ă  ce qui se passait. Amy s’était levĂ©e, l’avait pris par la main et l’emmenait dĂ©jĂ  Ă  l’extĂ©rieur, aprĂšs avoir pris soin de jeter quelques piĂšces d’argent moldu pour payer le mĂȘme qu’il ne puisse exprimer une once de rĂ©volte, Alex fut entraĂźnĂ© Ă  l’extĂ©rieur, dans le brouhaha de la foule de passant qui se bousculaient dans la rue, tous plus pressĂ©s les uns que les autres. Pourquoi l’avoir entraĂźnĂ© Ă  l’extĂ©rieur alors qu’il aurait Ă©tĂ© beaucoup plus simple de continuer Ă  l’intĂ©rieur ? À nouveau, il n’eut pas le temps de poser sa question. Amy lui intimait dĂ©jĂ  de se tenir Ă  elle et, dans un petit craquement, ils rĂ©apparurent dans le jardin d’une petite maison de pierre, qu’Alex ne connaissait pas du tout. SĂ»rement l’une des rĂ©sidences d’Amy, mais Ă  nouveau, il n’eut pas le temps d’admirer le paysage, car dĂ©jĂ  l’ex-ministre l’emmenait Ă  l’intĂ©rieur et le jetait littĂ©ralement sur le canapĂ© puis commença Ă  parler. Elle lui demanda depuis quand un homme fuyait la mort de peur de mourir. La question dĂ©montra Ă  Alex toute la bĂȘtise de sa rĂ©action. C’était vrai, depuis quand fallait-il fuir l’amour par peur de mourir ? L’amour n’était-il pas le plus important ? Plus important que la vie elle-mĂȘme ? Ne vivait-on pas pour l’amour ? Sinon Ă  quoi bon valait-il de vivre ? Alex ne put s’empĂȘcher de lĂącher un petit rire
quel imbĂ©cile il imbĂ©cillitĂ© lui parut encore plus grande, quand elle lui expliqua qu’elle Ă©tait la seule Ă  avoir un quelconque pouvoir sur Riku, la seule qui pouvait la freiner quelque peu. RĂ©flĂ©chissait-il un peu ? Non, il fallait croire que non. Ce qu’il avait dit Ă  Amy quelques instants au par-avant Ă©tait complĂštement stupide et il commençait seulement Ă  le remarquer.~Hugin~ *Alex, la prochaine fois que tu diras quelque chose, rĂ©flĂ©chis un peu
Pensa-t-il fortement, il avait Ă©tĂ© stupide, plus que stupide, car Ă  prĂ©sent Amy s’était assise devant lui, les larmes aux yeux commençant Ă  ruisseler le long de ses joues, le suppliant de lui dire qu’il l’aimait.~Hugin~ A..Amy
excuse-moi, j’ai sortit une imbĂ©cilitĂ© comme jamais je n’en ai sortit au par-avant, et Dieu sais que j’en dis souvent. »RĂ©pondit-il, non sans pouvoir s’empĂȘcher de mettre une pointe d’humour dans sa rĂ©ponse.~Hugin~ Oui, Amy, oui je t’aime, Ă  un point que tu ne t’imagines mĂȘme pas, tu sais, c’est sans doute stupide mais, depuis Poudlard, je t’avais totalement oublié au point mĂȘme de ne plus me rappeler que tu y Ă©tais en mĂȘme temps que moi
avec une ou deux annĂ©es d’avance tout de mĂȘme, le plus stupide dans cette histoire, c’est que dĂ©jĂ  Ă  Poudlard tu te dĂ©tachais des autres filles que je connaissais
. » Et lorsqu’elle lui demanda de l’embrasser
Il ne rĂ©pondit rien et s’approcha doucement d’elle, posa dĂ©licatement ses lĂšvres sur les siennes pour l’embrasser comme jamais il n’avait encore embrassĂ© une femme. Il l’aimait
oh oui il l’aimait, Ă  un point que personne, mĂȘme pas lui, ne pouvait imaginer
. Mettant finalement un terme Ă  ce baiser, il dĂ©clara, presque comme excuse Doutez que les Ă©toiles ne soient de flammeDoutez que le soleil n'accomplisse son tourDoutez que la vĂ©ritĂ© soit menteuse infĂąmeMais ne doutez jamais de mon amour.»William Shakespeare Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Angel { Londres - PV - } Page 1 sur 1 Sujets similaires» Surprise - Londres [ Pv ]» Appartement dans Londres» Come what may Abords de Piccadilly - Londres {PV}» Dans les rues de Londres [PV]» La cabane [Banlieue de Londres]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers

Dansla poĂ©sie populaire, le rossignol tient souvent le rĂŽle du messager de l’amour. Gentil coquelicot J’ai descendu dans mon jardin J’ai descendu dans mon jardin Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot mesdames Gentil coquelicot nouveau Gentil coquelicot mesdames Gentil coquelicot J'n'en avais pas cueilli trois brins J'n'en avais pas cueilli trois brins Qu'un

Contenu en pleine largeur J’ai descendu dans mon jardin Gentil coquelicot de Jean-Baptiste Weckerlin Imprimer les paroles de la chanson ♩ Paroles J’ai descendu dans mon jardin Gentil coquelicot J’ai descendu dans mon jardin bis Pour y cueillir du romarin. Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Pour y cueillir du romarin bis J’n’en avais pas cueilli trois brins Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. J’n’en avais pas cueilli trois brins, bis Qu’un rossignol vint sur ma main Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Qu’un rossignol vint sur ma main, bis Il me dit trois mots en latin Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Il me dit trois mots en latin, bis Que les hommes ne valent rien Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Que les hommes ne valent rien, bis Et les garçons encor bien moins Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Et les garçons encor bien moins, bis Des dames il ne me dit rien Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Des dames il ne me dit rien, bis Mais des d’moiselles beaucoup de bien Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Jean-Baptiste Weckerlin Go to Top French78RPM Lutin record - 10057 (B side)A side is "A Ma Main Droite J'Ai Un Rosier"

Paroles de la chanson Gentil Coquelicot par Chansons Enfantines J'ai descendu dans mon jardin x2 Pour y cueillir du romarin. Refrain Gentil coqu'licot, Mesdames, Gentil coqu'licot, nouveau ! Pour y cueillir du romarin x2 J' n'en avais pas cueilli trois brins Qu'un rossignol vint sur ma main Il me dit trois mots en latin Que les homm's ne valent rien Et les garçons encor bien moins ! Des dames, il ne me dit rien Mais des d'moisell' beaucoup de bien.

. 166 471 348 472 207 9 39 63

j ai descendu dans mon jardin paroles